Commencer une nouvelle vie?

A peu près 2 mois ,ça dépend des personne en fait mais c'est à peu près 2à3 mois  C'est super que tu ailles bien, tu arrives à occuper tes journées?

Oh oui, pas de problème pour m'occuper. 

Au passage, je me suis remise disponible sur le marché de l'emploi, j'ai eu un retour hier par une agence et j'ai quelques opportunités intéressantes. A suivre... 

Même plus peur du réveil-matin, ni de l'haleine de poney, ni des valises sous les yeux rouges. 

je ne sais pas si c'est une bonne idée, mais j'aime les bouquins un peu psy genre développement personnel. J'en trouverai sûrement des sympas (j'en ai sur la rupture, sur les pervers narcissiques...) qui ne me donneront pas l'envie de boire, qu'en pensez-vous?

Ok, je note pour le taux de gamma. Encore attendre un peu pour voir les fruits de mes "efforts" noir sur blanc. 

Si tu veux des vidéos YouTube sur les pn je peux te donner des liens et deux ou 3 bouquins très explicites.
Qui était ton pn sans indiscrétions ?  Ton père. Ta mère ?  Ton frère ? Autres ? 
Déjà  se sortir de l'alcool c'est fort.  Mais en plus des griffes  d'un pn la perso je suis pas prête de me faire avoir une seconde fois. 
Parce que niveau pn  j'ai eu une maîtresse femme !!!

tulipe noire a écrit:Si tu veux des vidéos YouTube sur les pn je peux te donner des liens et deux ou 3 bouquins très explicites.
Qui était ton pn sans indiscrétions ?  Ton père. Ta mère ?  Ton frère ? Autres ? 
Déjà  se sortir de l'alcool c'est fort.  Mais en plus des griffes  d'un pn la perso je suis pas prête de me faire avoir une seconde fois. 
Parce que niveau pn  j'ai eu une maîtresse femme !!!

Mon PN à été mon compagnon (enfin, quand il en avait décidé) pendant 5 ans. Mon ex, quoi. 

Charmant à ses heures, odieux la plupart du temps. 
Des fois, j'avais peur de rentrer chez lui après le travail, mais mon appart était loué pour courts-séjours, pour me sortir de mes soucis financiers. 
Dernière rupture, je me suis refugiée chez ma mère temporairement, avec mon chien et toutes mes affaires. 5 semaines de camping dans son appart une chambre. Et puis lui et moi on s'est revus. Jusqu'à la dernière fois ou sa propre mère l'a entendu gueuler à mon encontre (il était question de mon père. Rien à voir quoi...). Elle m'a proposé de me reconduire chez moi. Ce que j'ai accepté.

PN et alcoolique de surcroît (dans le déni. Moi je suis alcoolique, lui pas, bien sûr. Moi, je ne suis qu'une sous-merde. Lui, essayait de me tirer vers le haut). 
Violent en paroles (mais pas que). Surtout sous influence.

Haineux vis-à-vis de ma famille, de mes amis. Surtout mon père. Plus que bipolaire. tripolaire?

Il m'a fallu 5 ans pour m'en apercevoir... (notes que si je n'avais pas été bourrée la plupart du temps, je l'aurais peut-être cerné plus tôt. Encore que... c'est très doué, les pn... et on pense que ça n'arrive qu'aux autres, quand on est au moins au courant de l'existance de ce phénomène)

L'auteur Sophie Lambda à sorti une très chouette BD sur le sujet d'ailleurs. "Et tant pis pour l'amour". Je m'y suis reconnue à 100%.

Salut tous, 

Un mois et quelques jours d'abstinence.

Sans problème. Presque trop facile. 

Tellement trop facile, que (et comme lors de chaque arrêt), je me pose des questions. Je n'en ai pas envie là, maintenant. 
Mais je vois déjà arriver les futures questions, "quoi, tu ne pourras plus jamais boire?" 
Comme si c'était une obligation sociale. Comme si sans boisson on est un excentrique (ce qui est déjà un peu le cas, avec ou sans lol)
Et puis c'est pas une question de ne pas pouvoir, c'est de ne plus VOULOIR.

Je sais comment ça se passe pour moi, pour l'avoir expérimenté plusieures fois: allez, un petit verre en terrasse... puis le lendemain un autre... 

Soit, on en est pas encore là. 

Suffit de me rappeler les années galère dans ma saoulographie. Je me suis d'ailleurs commandé un bouquin "le bonheur inattendu de la sobriété", et d'autres suivront, pour ne pas oublier.

c'est aussi ce qui me tient à disatnce, me souvenir de mes pires moments alcoolisée  je ne veux plus jamais voir ça
Tu ne bois pas parce que tu ne veux pas boire pas par punition, c'est ce qu'il faut dire aux autres,c'est ton choix et c'est le bon choix
Bravo pour ton mois passé 

Bravo Arwen, et aussi, merci pour la référence de ce livre "Le bonheur inattendu de la sobriété", je pars sur Google à l'instant :-)


Le bonheur inattendu de la sobriété : Gray, Catherine, Mickey, Gaboriaud: Amazon.ca: Livres

Salut tous !

Petit coucou !

Pour vous dire que tout va bien, pas d’embûches insurmontables.

Bizarrement, comme si je n’avais jamais picolé.

Lorsqu’on me propose une dégustation de cava pour les fêtes, je la refuse, tout simplement, naturellement. Pas même tentée. J’ai été me promener seule au marché de nowel, pas tentée non plus malgré les effluves. Plusieurs restos en famille ; rien a signaler. 

Ma famille est enchantée, vous pensez bien. 

J’en suis a 5 mois d’abstinence. :)

Bravo, ce sont de très bonnes nouvelles. Tu peux être très fière de toi...Tu vas passer un beau Noël . Je me souviens de mon premier noël sans alcool, c'était magique. Je pouvais ramener tous ceux qui avaient trop bu, j'étais très fière de moi également...

Bravo Arwen, 5 mois, c'est énorme tu peux être très fière de toi ,tu vas passer l'un des meilleurs Noel de ta vie tu vas voir

Merci ;)

Je ne suis pas très « fêtes », relax avec mes parents et mon grand-père (je suis plutôt misanthrope lol). Et pour mon grand-père, on se doute que ce sera son dernier réveillon, même si il est encore bien pour ses 88 ans, autonome et sédentaire.

Donc tout le monde est au courant, mon père est également abstinent (depuis 38 ans…)
Je veux dire : pas de pièges, ni d’alcool caché dans des sauces etc.

J’ai eu une fois de la glace dans laquelle il y avait des traces de marsala. Pas versé dessus ni flambé, mais dans la composition de la recette (glace industrielle) Je n’en ai pas repris, c’est tout, mais ça ne m’a fait ni chaud ni froid. Pas d’envie de reprise d’un verre ni rien. J’ai juste évité de culpabiliser ou de focaliser dessus ! Ne pas donner au singe plus d’importance qu’il n’en mérite !