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Volonté d'arrêter
bonsoir,
je poste donc mon message sur mon compte!
je me suis posée cette question, sans trop savoir : est-ce que vu de l'extérieur mon expérience pourrait s'apparenter à une sorte de délirium trémens?
mon expérience :
j'ai commencé à boire de l'alcool régulièrement vers mes 18 ans. A partir de là, je buvais tous les jours du wisky, du pastis, du vin, de la bierre. jusque tard dans la nuit. Je buvais chaque fois que je voyais des gens, et je ne pouvais plus vivre les choses, n'importe quelle situation, sans m'aider de la sensation d'etre ivre, d'etre détachée.
Des gens ont voulu me faire arréter mais je n'avais pas envie.
j'ai mené ce genre de vie trés angoissante, à cause des dégats sociaux, du fait que j'étais byzarre par rapport aux autres personnes que je connaissais, pendant environ six ans. j'avais l'impression d'etre au centre de l'attention et d'etre trés mal vue, d'etre toujours le problème, voir de détruire les gens de mon entourage. c'était triste à porter. je me sentais coupable, et honteuse.
puis, un beau jour j'ai eu l'impression que l'alcool ne m'apportait plus rien, et qu'il fallait que j'arrete, que c'était fini, que c'était l'heure. je l'ai dit à voix haute pour moi-meme, comme si c'était une sorte de révélation.
de là, je me suis sentie un peu "inspirée" façon de parler, je ne sais pas trop comment le décrire, comme si tout ce que je faisais était symbolique, je le faisais avec un calme ( meme si j'étais triste ) étrange. Puis un jour, j'ai commencé à sentir que j'entrais dans un état différent,je me suis mise à écrire beaucoup sans me relire, à avoir des angoisses, l'impression que quelque chose montait. Que quelque chose arrivait.
J'ai alors été enfermée dans un état d'hallucinations duquel je ne pouvais pas sortir, et qui m'a vraiment fait me sentir au centre de toute l'attention, comme une sorte d'erreur, de monstre, de méchant. je vivais quelque chose de fatiguant, et de triste comme j'avais je ne l'avais vécu. et je me sentais coupée des autres humains.
ça me prenait, et je ne pouvais rien faire, je me suis sentie mourir, j'ai eu l'impression de voler dans l'espace, d'etre observée, à des moments différents.
Puis, j'ai été obsédée par l'idée fixe que j'étais mauvais, damnée, et j'ai cru vivre "le jugement dernier"
J'étais terrorisée, je voyais les gens byzarrement, j'ai cru que j'étais morte. Ca a duré une semaine, et après je suis restée sous le choc pendant des mois, je me suis sentie encore observée tout ce temps mais l'épisode hallucinatoire était derrière moi.
alors je me suis demandé si ça pouvait etre une sorte de délirium trémens. Un sevrage violent et qui fait remonter un rève éveillé dans lequel mes angoisses apparaissent à la surface?
cela fait quelque temps maintenant mais je n'arrive pas à comprendre ce qui m'est arrivé.
je n'ai pas écrit tout le détail, mais peut-etre que quelqu'un pourrait m'éclairer, vu que contrairement à moi, il verrait ce que je raconte de l'extérieur..
merci d'avance, et si rien ne vous vient, tanpis.
Mais merci de m'avoir lue.
Bon courage à tous.
Marlène
je poste donc mon message sur mon compte!
je me suis posée cette question, sans trop savoir : est-ce que vu de l'extérieur mon expérience pourrait s'apparenter à une sorte de délirium trémens?
mon expérience :
j'ai commencé à boire de l'alcool régulièrement vers mes 18 ans. A partir de là, je buvais tous les jours du wisky, du pastis, du vin, de la bierre. jusque tard dans la nuit. Je buvais chaque fois que je voyais des gens, et je ne pouvais plus vivre les choses, n'importe quelle situation, sans m'aider de la sensation d'etre ivre, d'etre détachée.
Des gens ont voulu me faire arréter mais je n'avais pas envie.
j'ai mené ce genre de vie trés angoissante, à cause des dégats sociaux, du fait que j'étais byzarre par rapport aux autres personnes que je connaissais, pendant environ six ans. j'avais l'impression d'etre au centre de l'attention et d'etre trés mal vue, d'etre toujours le problème, voir de détruire les gens de mon entourage. c'était triste à porter. je me sentais coupable, et honteuse.
puis, un beau jour j'ai eu l'impression que l'alcool ne m'apportait plus rien, et qu'il fallait que j'arrete, que c'était fini, que c'était l'heure. je l'ai dit à voix haute pour moi-meme, comme si c'était une sorte de révélation.
de là, je me suis sentie un peu "inspirée" façon de parler, je ne sais pas trop comment le décrire, comme si tout ce que je faisais était symbolique, je le faisais avec un calme ( meme si j'étais triste ) étrange. Puis un jour, j'ai commencé à sentir que j'entrais dans un état différent,je me suis mise à écrire beaucoup sans me relire, à avoir des angoisses, l'impression que quelque chose montait. Que quelque chose arrivait.
J'ai alors été enfermée dans un état d'hallucinations duquel je ne pouvais pas sortir, et qui m'a vraiment fait me sentir au centre de toute l'attention, comme une sorte d'erreur, de monstre, de méchant. je vivais quelque chose de fatiguant, et de triste comme j'avais je ne l'avais vécu. et je me sentais coupée des autres humains.
ça me prenait, et je ne pouvais rien faire, je me suis sentie mourir, j'ai eu l'impression de voler dans l'espace, d'etre observée, à des moments différents.
Puis, j'ai été obsédée par l'idée fixe que j'étais mauvais, damnée, et j'ai cru vivre "le jugement dernier"
J'étais terrorisée, je voyais les gens byzarrement, j'ai cru que j'étais morte. Ca a duré une semaine, et après je suis restée sous le choc pendant des mois, je me suis sentie encore observée tout ce temps mais l'épisode hallucinatoire était derrière moi.
alors je me suis demandé si ça pouvait etre une sorte de délirium trémens. Un sevrage violent et qui fait remonter un rève éveillé dans lequel mes angoisses apparaissent à la surface?
cela fait quelque temps maintenant mais je n'arrive pas à comprendre ce qui m'est arrivé.
je n'ai pas écrit tout le détail, mais peut-etre que quelqu'un pourrait m'éclairer, vu que contrairement à moi, il verrait ce que je raconte de l'extérieur..
merci d'avance, et si rien ne vous vient, tanpis.
Mais merci de m'avoir lue.
Bon courage à tous.
Marlène
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
Effectivement le délirium tremens se produit quand tu arrêtes brutalement l'alcool, mais il ne dure pas trois mois, en général il dure une journée ou deux jours et il faut qu'il soit pris en charge médicalement car il y a des risques très graves. Mais ce que tu as vécu ne ressemble pas vraiment à ça, notamment pour le temps que ça a duré. Il me semble qu'il existe une sorte d'hallucination alcoolique et que c'est plutôt ce qui t'est arrivé. Je me renseigne et je te dis ça...
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Volonté d'arrêter
merci de ta réponse.
disons que les hallucinations ont durées cinq jours sans interruption, et qu'après j'ai été prise en charge médicalement et delà, je suis restée hébétée et sous le choc, angoissée etc pendant trois mois. mais ces trois mois sans hallucinations, juste de la peur suite à ce que j'avais vécu.. je ruminais.
mais peut-etre qu'effectivement ce n'est pas un "délirium tremens". je me suis posée la question car je suis tombée par hasard sur cette appellation, et il y avait un texte qui parlait d'hallucinations. mais je n'en sais pas plus! et je ne m'y connais pas du tout.
disons que les hallucinations ont durées cinq jours sans interruption, et qu'après j'ai été prise en charge médicalement et delà, je suis restée hébétée et sous le choc, angoissée etc pendant trois mois. mais ces trois mois sans hallucinations, juste de la peur suite à ce que j'avais vécu.. je ruminais.
mais peut-etre qu'effectivement ce n'est pas un "délirium tremens". je me suis posée la question car je suis tombée par hasard sur cette appellation, et il y avait un texte qui parlait d'hallucinations. mais je n'en sais pas plus! et je ne m'y connais pas du tout.
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
depuis tout ce temps, je n'arrive toujours pas à comprendre ce qui m'est arrivé, ce que c'est...
et je n'en ai parlé que ce soir, car avant ça, ça ne m'était pas venu.
j'aimerais comprendre, mais j'ai peur de ne jamais pouvoir.
merci de ta réponse encore une fois, et peut etre à plus tard!!
et je n'en ai parlé que ce soir, car avant ça, ça ne m'était pas venu.
j'aimerais comprendre, mais j'ai peur de ne jamais pouvoir.
merci de ta réponse encore une fois, et peut etre à plus tard!!
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
De toute façon, c'est lié à l'arrêt de l'alcool. Ce peut être un délirium si ça a duré que 5 jours, mais tu aurais eu de la fièvre et les hallucinations sont difficilement supportables, tu peux y laisser la vie.
Par contre l'hallucination alcoolique, je ne connais pas bien, je vais me renseigner et je te dirai...
Tu dis que tu as été prise en charge médicalement, ils ne t'ont pas dit ce que tu avais eu ???
Par contre l'hallucination alcoolique, je ne connais pas bien, je vais me renseigner et je te dirai...
Tu dis que tu as été prise en charge médicalement, ils ne t'ont pas dit ce que tu avais eu ???
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Volonté d'arrêter
c'est effectivement troublant cette situation !!! et tu en es où avec l'alcool?? tu as totalement arrêté aujourd'hui??
si oui,depuis combien de temps ?? es tu suivi??
si oui,depuis combien de temps ?? es tu suivi??
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: Volonté d'arrêter
ils m'ont parlé d'un mot que je ne connais pas... "cénesthésie" je crois... mais ils ne m'ont rien expliqué,
mais c'était lié à l'alcool ça me semble plutot logique, et ça je ne sais pas s'ils l'ont vraiment pris en compte. Ils sont resté un peu sans commentaire.
mais ça ne m'aide pas trop à comprendre ce que j'ai vécu. je crois que je dois laisser cette chose sans réponse malheureusement!
je n'avais pas de fièvre, effectivement.
les hallucinations du délirium trémens sont insupportables? je ne connais rien à tout ça...
ce qui m'est arrivé était en tout cas trés sombre, et effrayant. Je n'avais jamais connu une telle sensation de terreur avant.
mais c'était lié à l'alcool ça me semble plutot logique, et ça je ne sais pas s'ils l'ont vraiment pris en compte. Ils sont resté un peu sans commentaire.
mais ça ne m'aide pas trop à comprendre ce que j'ai vécu. je crois que je dois laisser cette chose sans réponse malheureusement!
je n'avais pas de fièvre, effectivement.
les hallucinations du délirium trémens sont insupportables? je ne connais rien à tout ça...
ce qui m'est arrivé était en tout cas trés sombre, et effrayant. Je n'avais jamais connu une telle sensation de terreur avant.
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
après cet épisode marquant, on m'a décrétée apte à reprendre contact avec le monde extérieur, on m'a dit que je pouvait sortir d'hopital, que j'étais guérie. Les médecins étaient plutot cool.
Moi j'ai repris l'alcool, mais beaucoup moins qu'avant, ce n'était plus la meme alcoolisation.
Je buvais cinq bierres faibles et puis c'était tout. que de la bierre faible, déjà.
Après j'ai espacé les jours où je buvais ces cinq bierres. mais c'était variable, certains jours j'en buvais plus, parfois meme beaucoup. mais plus d'alcool fort.
aujourd'hui, je bois de temps en temps, dans l'idéal je voudrais ne plus boire du tout, mais parfois ça me prend et ça ne me lache pas et alors je rebois. je suis moins ivre, je fais moins de crises mais je reste chiante alors je voudrais arreter totalement.
j'ai eu un arret total pendant trois mois, j'étais bien heureuse... car je ne pensais pas en etre capable;
mais disons qu'à ce jour, c'est variable, ça dépend, je peux boire une fois par semaine, ou une fois tous les quinze jours, ou meme une fois toutes les trois semaines. mais c'est différent que par le passé, car avant, je ne pouvais pas espacé les jours où je buvais.
Mais je n'ai pas totalement arreté.
En fait j'ai pris la décision de me tenir à un arret total de l'alcool ces temps-ci... ça sera dur.
Moi j'ai repris l'alcool, mais beaucoup moins qu'avant, ce n'était plus la meme alcoolisation.
Je buvais cinq bierres faibles et puis c'était tout. que de la bierre faible, déjà.
Après j'ai espacé les jours où je buvais ces cinq bierres. mais c'était variable, certains jours j'en buvais plus, parfois meme beaucoup. mais plus d'alcool fort.
aujourd'hui, je bois de temps en temps, dans l'idéal je voudrais ne plus boire du tout, mais parfois ça me prend et ça ne me lache pas et alors je rebois. je suis moins ivre, je fais moins de crises mais je reste chiante alors je voudrais arreter totalement.
j'ai eu un arret total pendant trois mois, j'étais bien heureuse... car je ne pensais pas en etre capable;
mais disons qu'à ce jour, c'est variable, ça dépend, je peux boire une fois par semaine, ou une fois tous les quinze jours, ou meme une fois toutes les trois semaines. mais c'est différent que par le passé, car avant, je ne pouvais pas espacé les jours où je buvais.
Mais je n'ai pas totalement arreté.
En fait j'ai pris la décision de me tenir à un arret total de l'alcool ces temps-ci... ça sera dur.
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
Pourrais-tu évaluer exactement ta consommation sur une semaine??
As-tu un suivi médical à ce sujet?
Prends-tu des médicaments?
Ce n'est pas pour être indiscrète mais pour me faire une idée plus précise de ta maladie alcoolique et pouvoir t'aider au mieux..
As-tu un suivi médical à ce sujet?
Prends-tu des médicaments?
Ce n'est pas pour être indiscrète mais pour me faire une idée plus précise de ta maladie alcoolique et pouvoir t'aider au mieux..
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Volonté d'arrêter
disons que comme je l'ai déjà dit à l'instant, c'est difficile d'évaluer ma consommation sur une semaine,
puisque ça dépend, mais disons que ce serait six bierres à quatre degrés ou sept bierres maximum, une fois par semaine.
mais ça arrive que je ne boive pas pendant une quinzaine de jours, ou plus.
c'est beaucoup moins qu'à une époque, mais meme ça, je trouve ça trop car je voudrais que ce soit terminé totalement car les jours où je bois je me sens vraiment triste.
sinon, je ne suis pas suivie, et ne l'ai jamais été sauf à l'occasion de cette crise, qui a quelques temps maintenant!
merci de ton attention, je vais quitter pour ce soir
bonne soirée à toi
marlène
puisque ça dépend, mais disons que ce serait six bierres à quatre degrés ou sept bierres maximum, une fois par semaine.
mais ça arrive que je ne boive pas pendant une quinzaine de jours, ou plus.
c'est beaucoup moins qu'à une époque, mais meme ça, je trouve ça trop car je voudrais que ce soit terminé totalement car les jours où je bois je me sens vraiment triste.
sinon, je ne suis pas suivie, et ne l'ai jamais été sauf à l'occasion de cette crise, qui a quelques temps maintenant!
merci de ton attention, je vais quitter pour ce soir
bonne soirée à toi
marlène
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
la dernière fois que j'ai bu, j'en ai bu 10 à cinq degrés.
sinon, je ne prends pas de médicaments.
bonne soirée et merci!
marlène
sinon, je ne prends pas de médicaments.
bonne soirée et merci!
marlène
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
Nous pourrons en reparler si tu le souhaites, juste une chose à ajouter, l'alcool, au bout d'un certain temps devient un profond dépresseur, ce qui explique ton envie de pleurer quand tu bois maintenant. Dans la mesure où tu ne peux pas arrêter complètement, il y a encore une dépendance psychologique qui est active...
Bonne nuit:smile:
Bonne nuit:smile:
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Volonté d'arrêter
bonjour shale,
je viens de lire le dernier message où tu dis " dans la mesure où tu ne peux pas complètement arreter, il y a une dépendance psychologique qui est active", et je voudrais savoir ce que c'est que cette "dépense psychologique"
moi j'ai bu toutes ces années mais je ne m'y connais pas en "alcool" et de savoir ça pourrait peut-etre m'aider.
qu'est-ce qu'une dépendance psychologique?
merci
marlène.
je viens de lire le dernier message où tu dis " dans la mesure où tu ne peux pas complètement arreter, il y a une dépendance psychologique qui est active", et je voudrais savoir ce que c'est que cette "dépense psychologique"
moi j'ai bu toutes ces années mais je ne m'y connais pas en "alcool" et de savoir ça pourrait peut-etre m'aider.
qu'est-ce qu'une dépendance psychologique?
merci
marlène.
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
en fait j'ai bu toutes ces années, et je ne sais pas comment l'alcool me "tient"... comment il opère pour que je n'en sorte pas.
merci, si tu me lis..
marlène
merci, si tu me lis..
marlène
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
On trouve en gros trois types de dépendances et souvent, on passe de l'une à l'autre au fur et à mesure que notre alcoolisme grandit car il ne va jamais en diminuant:
- la dépendance sociale,
- la dépendance psychologique,
- la dépendance physique.
La dépendance sociale
C'est l'alcool convivial, beaucoup d'alcooliques commencent à boire par ce biais. Il est de bon ton en France de fêter tout et n'importe quoi autour d'un verre. Il est parfois difficile de refuser et on en prend vite l'habitude. On l'attend même ce verre au bout d'un moment, l'alcoolisme social fait son apparition , tout est bon pour prendre un pot et boire de l'alcool.Mais cette dépendance sociale peut parfois en rester là, la personne ne ressentant pas par ailleurs le besoin de boire de l'alcool.
La dépendance psychologique
La dépendance vis-à-vis de l’alcool commence à être grave lorsque la consommation n’a plus pour objet le plaisir de goûter un bon vin , le partage d' un moment de convivialité avec des amis , mais lorsque cette consommation recherche avant tout les effets de l'alcool . Si le but est de retrouver l’effet désinhibant, la capacité à faire oublier ou l’effet anti-stress, par exemple, alors la consommation devient dangereuse. C’est ainsi que, petit à petit, la dépendance psychologique peut s’installer.On se sert alors de l'alcool comme d'un médicament.
La dépendance physique
Dernier stade de la dépendance à l’alcool, elle se caractérise par des troubles physiques qui disparaissent lors de la prise d’alcool. Ces troubles peuvent se caractériser par des tremblements ou des sueurs. Les symptômes disparaissent lorsque le niveau d’alcool dans le sang est suffisant. On se lève le matin en tremblant et il nous faut d'urgence un verre d'alcool pour calmer les tremblements et le mal être physique que l'on ressent.
La dépendance est toujours le fruit d’une rencontre entre un produit dont on connaît le pouvoir désinhibant , un déclencheur ou un environnement favorable et un individu fragile : elle n’est jamais systématique. Par « environnement favorable », on entend le contexte culturel, éducatif et par déclencheur on pense à un choc, un deuil, un accident, un licenciement ou autre. Par « individu fragile », on parle d'une personne qui s'est construit sur des failles souvent liées au stade oral et qui n'a pas une résistance forte aux aléas de la vie, c'est aussi souvent une personne ayant peu de résistance à la frustration!
On ne peut répondre simplement à la question « à partir de quand est-on dépendant ? ». La réponse ne réside pas uniquement dans le nombre de verres consommés, mais dépend surtout de notre façon de boire.Quand on a perdu la liberté de ne pas boire, on peut se considérer comme dépendant. Une campagne récente de sensibilisation du gouvernement « L’alcool, pas besoin d’être ivre pour en mourir » résume bien cette situation.
- la dépendance sociale,
- la dépendance psychologique,
- la dépendance physique.
La dépendance sociale
C'est l'alcool convivial, beaucoup d'alcooliques commencent à boire par ce biais. Il est de bon ton en France de fêter tout et n'importe quoi autour d'un verre. Il est parfois difficile de refuser et on en prend vite l'habitude. On l'attend même ce verre au bout d'un moment, l'alcoolisme social fait son apparition , tout est bon pour prendre un pot et boire de l'alcool.Mais cette dépendance sociale peut parfois en rester là, la personne ne ressentant pas par ailleurs le besoin de boire de l'alcool.
La dépendance psychologique
La dépendance vis-à-vis de l’alcool commence à être grave lorsque la consommation n’a plus pour objet le plaisir de goûter un bon vin , le partage d' un moment de convivialité avec des amis , mais lorsque cette consommation recherche avant tout les effets de l'alcool . Si le but est de retrouver l’effet désinhibant, la capacité à faire oublier ou l’effet anti-stress, par exemple, alors la consommation devient dangereuse. C’est ainsi que, petit à petit, la dépendance psychologique peut s’installer.On se sert alors de l'alcool comme d'un médicament.
La dépendance physique
Dernier stade de la dépendance à l’alcool, elle se caractérise par des troubles physiques qui disparaissent lors de la prise d’alcool. Ces troubles peuvent se caractériser par des tremblements ou des sueurs. Les symptômes disparaissent lorsque le niveau d’alcool dans le sang est suffisant. On se lève le matin en tremblant et il nous faut d'urgence un verre d'alcool pour calmer les tremblements et le mal être physique que l'on ressent.
La dépendance est toujours le fruit d’une rencontre entre un produit dont on connaît le pouvoir désinhibant , un déclencheur ou un environnement favorable et un individu fragile : elle n’est jamais systématique. Par « environnement favorable », on entend le contexte culturel, éducatif et par déclencheur on pense à un choc, un deuil, un accident, un licenciement ou autre. Par « individu fragile », on parle d'une personne qui s'est construit sur des failles souvent liées au stade oral et qui n'a pas une résistance forte aux aléas de la vie, c'est aussi souvent une personne ayant peu de résistance à la frustration!
On ne peut répondre simplement à la question « à partir de quand est-on dépendant ? ». La réponse ne réside pas uniquement dans le nombre de verres consommés, mais dépend surtout de notre façon de boire.Quand on a perdu la liberté de ne pas boire, on peut se considérer comme dépendant. Une campagne récente de sensibilisation du gouvernement « L’alcool, pas besoin d’être ivre pour en mourir » résume bien cette situation.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Volonté d'arrêter
merci pour le texte que tu m'as envoyé shale. alors je dirais qu'à la lecture de ce texte, je ne suis pas dépendante physiquement, pas de tremblements en tout cas, ni de suées
mais je pense avoir eu cette crise d'hallucinations parceque j'ai beaucoup bu, tellement que ça l'a causé;
enfin, je suis dans une dynamique d'arret de l'alcool, et je ne voudrais pas me rater.
Je lis certains témoignages sur ce forum et je trouve ça touchant.
bonne soirée et courage à ceux qui essayent et qui galèrent. moi-meme j'ai vraiment vécu de nombreuses rechutes; c'est trés douloureux mais c'est déjà bien de vouloir.
marlène
mais je pense avoir eu cette crise d'hallucinations parceque j'ai beaucoup bu, tellement que ça l'a causé;
enfin, je suis dans une dynamique d'arret de l'alcool, et je ne voudrais pas me rater.
Je lis certains témoignages sur ce forum et je trouve ça touchant.
bonne soirée et courage à ceux qui essayent et qui galèrent. moi-meme j'ai vraiment vécu de nombreuses rechutes; c'est trés douloureux mais c'est déjà bien de vouloir.
marlène
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
Physiquement, non, mais psychologiquement, c'est presque sûr. La dépendance physique peut suivre de près la dépendance psychologique, alors il vaut mieux te soigner maintenant, pendant qu'il en est encore temps.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Volonté d'arrêter
tu dis avoir vécu de nombreuses rechutes,étais tu réellement dans une démarche de soin ou voulais tu juste "faire attention"??
pour réussir ce combat contre l'alcool,il faut être convaincue a 100% que l'alcool doit être éradiqué de sa vie,si on lui laisse un espoir de revenir,alors tu peux être sure qu'il va s'y engouffrer
est ce que tu es prête a te séparer définitivement de l'alcool ??? si oui,alors il va falloir trouver des aides pour mettre toutes les chances de ton coté
pour réussir ce combat contre l'alcool,il faut être convaincue a 100% que l'alcool doit être éradiqué de sa vie,si on lui laisse un espoir de revenir,alors tu peux être sure qu'il va s'y engouffrer
est ce que tu es prête a te séparer définitivement de l'alcool ??? si oui,alors il va falloir trouver des aides pour mettre toutes les chances de ton coté
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: Volonté d'arrêter
Bonjour marlene
Bienvenue avec nous
Pour les hallucinations comme tu le dis c'est peut être la conséquence d'une trop grande consommation. Qui ta fait perdre les pédales surtout si tu continuais à t alcooliser.
En même temps, prend tu d'autres drogues?
Tu as peux être aussi certains troubles qui sont à voir avec un psychiatre.
As tu encore des problèmes de ce type?
Bien à toi
Bienvenue avec nous
Pour les hallucinations comme tu le dis c'est peut être la conséquence d'une trop grande consommation. Qui ta fait perdre les pédales surtout si tu continuais à t alcooliser.
En même temps, prend tu d'autres drogues?
Tu as peux être aussi certains troubles qui sont à voir avec un psychiatre.
As tu encore des problèmes de ce type?
Bien à toi
so- Super Tchatcheur
- 08/06/2013
Re: Volonté d'arrêter
bonjour, je n'avais pas vu que vous m'aviez répondu.
Je vous remercie de vos réponses et de votre attention.
J'en suis à mon 6éme jour de sevrage parceque je me lance dans un arret définitif de l'alcool car j'ai bu pendant Dix ans et j'ai envie d'arreter.
Je n'ai jamais pris d'autre drogues, mis à part un joint de ci de là pendant une semaine il y a longtemps mais sans conséquences!
Les hallucinations, je me suis renseignée sur internet ces jours-ci et ce qui corresponds le mieux à ce que j'ai eu ça me semble etre " le délire onirique".. plutot que le délirium trémens : je me suis répondue à moi-meme finalement
les médecins que j'avais vu à l'époque m'ont diagnostiquée "hallucinations cénesthésiques", mais ça ne veut pas dire grand chose c'est comme de dire " elle hallucine des hallucinations".
alors que l'onirisme, c'est un rève eveillé et c'est déjà plus rapproché de moi.
Mais je crois que c'était du au sevrage brutal ou à la décision de ne plus boire, car mentalement je m'étais dis "c'est fini l'alcool" alors que pendant un an et demi je consommais tous les jours environ 5 bouteilles de vin blanc plus des bierres, plus certains jours des alcool fort.
Ca a été trés dur, et après ça j'ai ralenti mon alcoolisation. Je suis passée de cinq bouteille de vin à Cinq bierres faibles tous les jours...
Puis après je me suis arrétée pendant 3 mois, et ça a été une première mais j'étais isolée de la ville à ce moment là et dès que j'ai été obligée de cotoyer des amis pour qu'ils m'hébergent, j'ai rebu une fois.... puis un mois après une fois... puis une fois, une semaine après encore une fois... et l'habitude n'en est pas au point où j'en étais à avoir capituler sur le fait de vivre sobre, mais bon, elle est quand meme installée insidieusement et à sa manière... meme si je bois pas tous les jours.
Je voudrais dans l'idéal etre loin de l'alcool et ne plus y toucher.
Je me suis observée recemment faire rechute sur rechute et, dans les intervalles où j'étais sobre... je suppliais vraiment quelque chose de me permettre d'arreter ou je priais.. puis je recommençais..
ce qui fait que j'essaye maintenant de trouver des réponses mentales plus fortes que les raisons qui me poussent à penser que j'ai un interet à boire. et ça a marché plus d'une fois, j'ai repoussé la suggestion" j'ai envie de boire... ce serait bien", mais je reste vigilante au jour le jour car je ne suis pas dupe de la difficulté surtout mentale dans mon cas, le conflit mental qu'il va y avoir entre moi et l'alcool.
je me calque sur mes trois mois sobres aussi....
par contre je ne veux pas voir de psy car les fois où j'en ai vu c'est précisément là que je me suis sentie déprimée.. vraiment déprimée... c'est à se demander si c'est pas tout ça qui m'a fait m'enfermer dans l'alcool aussi fermement.. car à l'époque de mon adolescence on m'a forcée à voir un psy et je suis devenue suite à ça de plus en plus alcoolique alors qu'au départ j'étais moins retranchée dans ma coquille..
je ne veux plus m'infliger ça.
je sais que vous vous etes des spécialistes du sevrage et de l'alcool car vous avez su arreter.
je me dis qu'en venant sur ce forum je pourrais me mettre en direct pendant que je me sevre et voir si ça marche ou pas de me sevrer seule... puis si ça en venait à échouer là je ferai quelque chose!!
bref c'est mon 6eme jour passé dans cet état d'esprit de sevrage total... alors mon idée c'est de rendre "public" ma démarche pour que d'autres que moi voient en direct si ça marche ou pas!!comme ça si j'échoue je passerai au stade supérieur dans mes démarches..
voilà, je vous ai répondu un peu tardivement mais je ne pensais pas qu'on m'avait répondu.
En tout cas, je suis rarement sur internet car chez moi, l'alcool est sucité par la communication et donc j'essaie de rester loind du monde... et du net... pendant un temps.
bonne journée à vous
marlène
Je vous remercie de vos réponses et de votre attention.
J'en suis à mon 6éme jour de sevrage parceque je me lance dans un arret définitif de l'alcool car j'ai bu pendant Dix ans et j'ai envie d'arreter.
Je n'ai jamais pris d'autre drogues, mis à part un joint de ci de là pendant une semaine il y a longtemps mais sans conséquences!
Les hallucinations, je me suis renseignée sur internet ces jours-ci et ce qui corresponds le mieux à ce que j'ai eu ça me semble etre " le délire onirique".. plutot que le délirium trémens : je me suis répondue à moi-meme finalement
les médecins que j'avais vu à l'époque m'ont diagnostiquée "hallucinations cénesthésiques", mais ça ne veut pas dire grand chose c'est comme de dire " elle hallucine des hallucinations".
alors que l'onirisme, c'est un rève eveillé et c'est déjà plus rapproché de moi.
Mais je crois que c'était du au sevrage brutal ou à la décision de ne plus boire, car mentalement je m'étais dis "c'est fini l'alcool" alors que pendant un an et demi je consommais tous les jours environ 5 bouteilles de vin blanc plus des bierres, plus certains jours des alcool fort.
Ca a été trés dur, et après ça j'ai ralenti mon alcoolisation. Je suis passée de cinq bouteille de vin à Cinq bierres faibles tous les jours...
Puis après je me suis arrétée pendant 3 mois, et ça a été une première mais j'étais isolée de la ville à ce moment là et dès que j'ai été obligée de cotoyer des amis pour qu'ils m'hébergent, j'ai rebu une fois.... puis un mois après une fois... puis une fois, une semaine après encore une fois... et l'habitude n'en est pas au point où j'en étais à avoir capituler sur le fait de vivre sobre, mais bon, elle est quand meme installée insidieusement et à sa manière... meme si je bois pas tous les jours.
Je voudrais dans l'idéal etre loin de l'alcool et ne plus y toucher.
Je me suis observée recemment faire rechute sur rechute et, dans les intervalles où j'étais sobre... je suppliais vraiment quelque chose de me permettre d'arreter ou je priais.. puis je recommençais..
ce qui fait que j'essaye maintenant de trouver des réponses mentales plus fortes que les raisons qui me poussent à penser que j'ai un interet à boire. et ça a marché plus d'une fois, j'ai repoussé la suggestion" j'ai envie de boire... ce serait bien", mais je reste vigilante au jour le jour car je ne suis pas dupe de la difficulté surtout mentale dans mon cas, le conflit mental qu'il va y avoir entre moi et l'alcool.
je me calque sur mes trois mois sobres aussi....
par contre je ne veux pas voir de psy car les fois où j'en ai vu c'est précisément là que je me suis sentie déprimée.. vraiment déprimée... c'est à se demander si c'est pas tout ça qui m'a fait m'enfermer dans l'alcool aussi fermement.. car à l'époque de mon adolescence on m'a forcée à voir un psy et je suis devenue suite à ça de plus en plus alcoolique alors qu'au départ j'étais moins retranchée dans ma coquille..
je ne veux plus m'infliger ça.
je sais que vous vous etes des spécialistes du sevrage et de l'alcool car vous avez su arreter.
je me dis qu'en venant sur ce forum je pourrais me mettre en direct pendant que je me sevre et voir si ça marche ou pas de me sevrer seule... puis si ça en venait à échouer là je ferai quelque chose!!
bref c'est mon 6eme jour passé dans cet état d'esprit de sevrage total... alors mon idée c'est de rendre "public" ma démarche pour que d'autres que moi voient en direct si ça marche ou pas!!comme ça si j'échoue je passerai au stade supérieur dans mes démarches..
voilà, je vous ai répondu un peu tardivement mais je ne pensais pas qu'on m'avait répondu.
En tout cas, je suis rarement sur internet car chez moi, l'alcool est sucité par la communication et donc j'essaie de rester loind du monde... et du net... pendant un temps.
bonne journée à vous
marlène
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
j'ai suivi pas mal de fils, et c'est marrant que vous appeliez l'alcool le singe parceque dans mon délire onirique il était question de moi qui boit et qu'on appelait le singe. Et c'était à l'alcool que ça s'adressait!
sinon je crois que l'alool chez moi est une défense systématique à une impression de me sentir envahie par les gens.
voilà pourquoi quand je me suis isolée à la campagne en ne faisant que dessiner et en restant seule j'ai tenu.
j'ai replongé byzarrement que quand j'ai malheureusment du quitter ce paradis pour me retrouver à la merci de personnes qui m'hébergeaient car à l'époque je n'avais pas de logement!
c'est une "protection" contre l'état d'esprit des autres, le fait qu'ils me parlent etc...
c'est un isolement artificiel..
sinon je crois que l'alool chez moi est une défense systématique à une impression de me sentir envahie par les gens.
voilà pourquoi quand je me suis isolée à la campagne en ne faisant que dessiner et en restant seule j'ai tenu.
j'ai replongé byzarrement que quand j'ai malheureusment du quitter ce paradis pour me retrouver à la merci de personnes qui m'hébergeaient car à l'époque je n'avais pas de logement!
c'est une "protection" contre l'état d'esprit des autres, le fait qu'ils me parlent etc...
c'est un isolement artificiel..
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
voilà pourquoi je vais rester discrète sur ce forum mais je compte y aller pour noter le nombre de jours où je reste sobre!! je lis aussi les fils...
bon merci à vous et à bientot!
bon merci à vous et à bientot!
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
pour répondre à une question à laquelle j'ai oublié de répondre et que vous m'avez posée : non, je n'ai plus d'hallucinations depuis cinq ans et avant ça, je n'en avais pas eu. c'était vraiment lié à cet sorte de rève éveillé, puis c'est parti.
Donc, non je n'ai pas de symptomes psy, et aussi pour répondre à crystal en particulier : j'ai envie d'arreter sans faille, je ne me dis pas "je vais reboire une fois ou deux de ci de là".. je me dis que c'est fini.
voilà!
bonne journée, je me reconnecterai plus tard et je lirais vos réponses s'il y en a..
marlène
Donc, non je n'ai pas de symptomes psy, et aussi pour répondre à crystal en particulier : j'ai envie d'arreter sans faille, je ne me dis pas "je vais reboire une fois ou deux de ci de là".. je me dis que c'est fini.
voilà!
bonne journée, je me reconnecterai plus tard et je lirais vos réponses s'il y en a..
marlène
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
Re: Volonté d'arrêter
Tu as une bonne attitude marlene en disant : je me dis que c'est fini.
Parce que le contrôle quand on est alcoolique n'est pas possible. Et la vie est belle sans alcool.
Bravo pour tes jours sans, tu es sur la bonne voie. Passe un bon dimanche
Parce que le contrôle quand on est alcoolique n'est pas possible. Et la vie est belle sans alcool.
Bravo pour tes jours sans, tu es sur la bonne voie. Passe un bon dimanche
Crystal_ine- Super Tchatcheur
- 10/03/2012
Re: Volonté d'arrêter
merci beaucoup à toi crystal-ine, je viendrais quotidiennement pour noter jour après jour mon abstinence!
bon courage et bon dimanche à tous ceux qui sont sur ce forum!
marlène
bon courage et bon dimanche à tous ceux qui sont sur ce forum!
marlène
marlène nouvelle- Grand Tchatcheur
- 27/09/2013
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