mon histoire

bonjour voila je me commence un fil..... que dire !!!! je suis venue sur se forum conseiller part une personne de mon entourage..... je suis déjà inscrite sur un autre forum celui de l'automutilation....cela fait déjà un ans que je me suis pas couper c'est un bon départ..... M ais il y a de ça 15jours j'ai découvert que j'avais compenser mon automutilation part l'alcoolisme... En faite je ne suis pas forcement dépendante physiquement car je peu me passer de l'alcool des jours durant mais quand je vais pas bien j'aimais boire pour oublier pour être dans un état second qui me donner la sensation de planer comme quand je me mutiler mais en faite c'est juste une compensation.... mon alcoolisme se présente comme ce ci quand je suis en soirée et que je boit on vas dire 4 verre j'ai une sensation bizarre, un de clique qui fait que je boit plus encore et que je me couche ivre se qui m'as fais ouvrir les yeux c'est mes troue de mémoire le lendemain tu te lève et tu te souvient plus de ta fin de soirée c'est frustrant et aussi ma famille ma ouvert les yeux une dispute avec mon conjoint m'a fait ouvrir les yeux ... je suis aujourd'hui suivie part une infirmière que j'ai déjà vue 2 fois et je vois un médecin la semaine pro au centre d'addictologie de ma ville.... voila je ne sais que dire de plus ....

voila déjà bien des années ou je suis rentrée dans l'addiction de l'auto mutilation mais j'ai remarquée que depuis deux ans c’était moins fréquent et la depuis plus d'un ans je ne me suis pas coupée mais voila j'ai appris que j'avais compensée mon addiction ... Depuis un moment (indéfinie) j'ai compensée l'automutilation part l'alcool .... Ceci est un cercle vicieux tu arrête d'un coté pour commencer de l'autre.... j'ai eu une période ou quand j'allais pas bien plus tôt que de me mutiler je buvais histoire de me vider la tête de mes soucis, de compenser la sensation que procure le sang etc..... mais ceci n'est pas une solution en sommes je vous fait part de mon histoire pour savoir si cela est arrivé à d'autres que moi... je vous avoue que pour la première fois de ma vie il y a de cela 3 semaine j'ai décidée de me prendre en mains... je suis aller voir une infirmière dans un centre d'addictologie et cela m'as fait beaucoup de bien de parler avec quelqu'un qui et la pour toi et t'aider, te donner des armes pour avancer.... je l'ai vue 2 fois déjà et la semaine prochaine je vais voir un médecin addictologue pour voir ou j'en suis dans ma vie .... désolé de vous avoir embêter et si vous en êtes ici merci d'avoir prit quelques seconde pour moi.....

autre prtie ecrite dans ma presentation

Te voilà dans ton chez toi   
Quand on parle d'alcoolisme, je dirais qu'il y en a un propre à chacun, mais avec le point commun que tu as perdu la liberté de ne pas boire.
L'alcool/médicament, c'est ça en somme, pour masquer une souffrance ou ne pas se faire de mal "autrement".
Oui, c'est déjà un très grand point ton année sans te faire du mal, super!!!!
As-tu déjà été suivie par un ou une psy pour cette problématique?

Bienvenue parmi nous ma bibounette tu trouveras ici une aide et un soutien de personne qui vivent et on vécu la même chose que nous en se serrant les coudes ont est que plus fort, tu peux être fière des démarche déjà entrepris   

mamou je n'ai jamais été suivie part un psy je me suis sortie de l’automutilation "seule" avec l'aide de personnes sur un forum spécialise une rencontre virtuel avec une personne qui vie la même choses que moi et on c'est entraidées.... et j'en ai parler pour la première fois a l’infirmière personne du corps médical n’était au courant avant


merci mylene mais c'est grâce a toi si j'en suis la aujourd'hui et on sera toujours la l'une pour l'autre quoi qu'il arrive

Oui à deux on seras toujours plus forte et on part à zéro en même temps à quelques jours près  

   ça c'est sur ^^

Ok bibounette   
C'est super de t'en être sortie avec l'aide d'une amie   , bravo, mais..... comme toute addiction, quand on l'arrête, on traite le symptôme.... après, c'est à la cause qu'il est indispensable de s'attaquer.... le dessous de l'iceberg!

  

oui mais voila faut il encore trouver le pourquoi du comment

tout à fait, et ça, c'est le travail de psychothérapie   

oui c'est sur mais pour l'instant on en parle pas je pense que se sera abordé avec le medecin la semaine prochaine

je suis tout à fait d'accord avec toi!
chaque chose en son temps   

merci mamou puis j'ai fait un grand pas de parler de tout ca a quelqu'un d'extérieur

oh oui, ce n'est pas un grand pas, mais un pas énorme!
déjà sortir du déni, se "l'avouer" à soi même, c'est le premier pas!
le suivant, c'est de faire ce choix de te soigner, et tu l'as fait!
tu peux être fière de toi bibou   

oui c'est sur que je devais me rendre compte que c'etait pas normale que j'avais un probleme puis ma soeur m'as aider a le voir
merci de ton soutiens en tout cas   

il n'y a pas de quoi   
c'est toujours un plaisir de venir s'entraider!
tu sais, bcp d'entre nous ont trouvé ici une deuxième famille.... en tout cas, pour moi, c'est ma deuxième maison, et je squatte depuis plus d'un an   
pouvoir mettre des mots sur des maux, mais ça tu connais déjà sur l'autre forum.... pouvoir se livrer, écrire, ça fait énormément de bien, se savoir lu(e), écouté en quelque sorte.
Et puis, faut pas croire, on se paie de sacrés délires aussi, ... parce qu'arrêter de boire ne veut pas dire vie triste, que du contraire   

oui et c'est ça que j'apprécie les forums pour l’échange qu'il apporte l’écoute et d'être compris   
et j'ai bien vue car j'ai survolé quelques fil vous rigoler bien ça remonte le morale ^^

Bonsoir Bibounette  , comme tu dois le savoir, les mutilations, l'alcool ce sont les symptômes d'un mal être bien plus profond. Tant que le mal être ne sera pas éradiqué, tu trouveras de nouveaux symptômes pour essayer d'adoucir le poids que tu as à porter...
Pour ce mal être, il remonte sans doute à très loin dans ton enfance, on le retrouve souvent au moment du stade oral ou un peu plus tard, mais il est là et tu t'es construite sur ce mal être, ce qui donne une construction avec des bases très fragiles. Tu as cherché des étais pour te soutenir, mais l'alcool et les mutilations ne font qu'empirer les choses.
Par contre ce que je note, c'est que maintenant, tu prends les choses sérieusement en main en rencontrant des professionnels qui vont pouvoir t'aider à chercher la cause et à en venir à bout, tout au moins à faire qu'elle soit vivable pour toi.
Et puis nous sommes là, tu peux venir ici pour parler autant que tu veux, il y a presque toujours quelqu'un pour te répondre, et ça fait du bien de poser ses valises quand elles deviennent trop lourdes.
Mais là, tu as fait le bon choix, on va continuer à en parler en faisant connaissance peu à peu!!!!     

ouii tu as raison mais de ou ça vient je ne sais pas car ça remonte très voir trop loin donc je ne peu pas l'expliquer... je pense que je vais avancer plus vite grâce a vous .... je vais bien voir aussi au fils des rendez vous au centre et essayer d’éradiquer tout ça et être plus sereine .... j'avais une petite appréhension en venant car je n'ai que 25 ans mais finalement je vois que ça change rien a l’accueil   

Au contraire, plus tu t'y prends tôt, moins tu perdras d'années dans l'alcool.
Tu sais j'avais aussi un gros problème qui remontait très loin dans mon enfance, ce qui a fait que ma construction psychologique était très fragile et que je me servais de l'alcool pour tenir le coup.
Avec l'aide d'un psy j'ai pu réussir à trouver le pourquoi de cette fragilité, et ensuite j'ai pu travailler là dessus. Le plus gros de ce travail je l'ai fait en cure avec une psy alcoologue et un groupe en psychothérapie de groupe.
Depuis 15 ans que j'ai arrêté l'alcool, je vis très bien, j'ai même fait bien plus de choses pendant ces quinze ans que pendant tout le reste de ma vie...
Je me doutais que tu étais jeune car,je ne sais pas trop pourquoi, on retrouve quasiment toujours le symptôme des scarifications ou mutilations très tôt, dans l'adolescence et le début de notre vie adulte, ensuite on passe à d'autres symptômes.

Oh non l'âge ne change rien, peu importe l'âge, le sexe, la nationalité, etc..... nous sommes "égaux" face à la maladie....
Maintenant, nous avons parfois/souvent une vague idée de l'origine des dérapages, et puis au fur et à mesure, on se rend compte qu'on est à côté de la plaque   
Mais c'est vrai aussi qu'ici, c'est une forme de thérapie aussi, ça c'est clair.
Bcp lisent entre les lignes, apprennent à nous connaître, détectent, etc.. et surtout apportent des réponses ou des pistes de réflexion.

j'ai fais déja un gros travail sur l'automutilation et j'ai meme des flash qui remonte a mon enfance vers 6 ans donc ça vient de loin .... et je pense que ça va me changer la vie le fait de travailler sur moi avec une aide extérieur

oui mamou il t'aide a y voir plus claire et à accepter

tout à fait!
c'est un peu comme si (j'image   ) tu avais devant toi un tas de dossiers en désordre, et au fil du temps, avec ces pistes, tu arrives à les ranger au bon endroit, en étant apaisée!
en tout cas, avec une telle détermination, le singe (l'alcool comme on le nomme ici) va être envoyé bien loin   

oui c'est sur et en plus l'avantage que j'ai c'est que je n'ai pas de dépendance physique au singe, c'est surtout psychologique je pense