Journal de Bord

tout le monde ne devient pas alcoolique, pour le devenir il faut trois choses:

-un terrain fragilisé par des failles psychologiques qui ont souvent eu lieu pendant l'enfance, la toute petite enfance même.

-la rencontre avec ce produit, rencontre qui s'est faite plus ou moins jeune et où on a pu constater l'effet anxiolytique de
l'alcool.

-un élément déclencheur ou des éléments déclencheurs: deuils, divorces, licenciements ou tout autres accidents de la vie.

A ce moment là, notre personnalité n'est pas assez forte psychologiquement pour lutter contre ces coups de la vie et on se souvient que l'alcool nous aide à les oublier. Et là, de verre en verre, la dépendance alcoolique s'installe, un malade alcoolique est né.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…
L’ESTIME DE SOI

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal
lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…
L’AUTHENTICITÉ

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…
LA MATURITÉ

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que c’est pas le moment.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…
LE RESPECT

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations,
tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que s’appelle…
L’AMOUR PROPRE

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plaît et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…
LA SIMPLICITÉ

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert…
L’HUMILITÉ

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de revivre la passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle…
LA PLÉNITUDE


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur,
elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, c’est…
LE SAVOIR VIVRE


Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter, du chaos naissent les étoiles.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai réalisé, que je vous aimais aussi pour de vrai !

...ce dernier post, très chère SO.

Il me parle et illumine mon déjeuner!!!

   ... pour toutes ces merveilleuses pensées.

Bonne journée!

 

C'est ce que j'appelle "vivre en existant".
Bravo So !

So, tu as repris texto les posts de membres, la moindre des choses c'est de les citer, le post sur la façon de devenir alcoolique a été écrit par moi ce matin sur un autre fil, et j'ai déjà lu quelque part le post suivant. Il faut respecter la règle de la charte, quand on utilise les écrits de quelqu'un, on précise qui les a fait ...

oui shale je t'es répondu sur un autre poste... parce que ce texte n'est pas de moi...
comme je disais, je prend des écrits à droite à gauche ou sur le net.. ou de moi et je les mets sur ce journal...
Le but étant de me faire avancer dans mon abstinence et quand je les relis je peux faire le point sur mes recherches personnelles pour analyser mon passé, présent, futur....

la prochaine fois je mettrais le nom de celui qui écrit...
D'ailleurs ce magnifique texte, se trouve sur le forum, c'est crys taline qui la mis et l'auteur je ne sais pas...

Même quand tu prends un texte sur le net, sur le forum aussi bien sûr mais c'est moins grave, ces textes sont protégés et on peut avoir des plaintes si leurs créateurs ne sont pas mentionnés. Je le dis pour tout le monde car souvent on n'y pense pas, mais toujours faire la recherche du nom si vous ne savez pas de qui il est, précisez le et dites où vous l'avez trouvé.
Sur un forum,  il y a aussi des lois à respecter!!  

Au fait, l'autre texte est de Charlie Chaplin, je crois qu'il a été un peu résumé et encore je n'en suis pas sûre...

Tres bien ce GIF animé!!!!

Coop

Je suis qui au juste. . Et bien une femme qui se cherche. . Apprendre à me connaître véritablement. Ne plus faire les mêmes erreurs. Savoir ou sont mes failles pour les soigner. Ne laisser personne y rentrer. Être heureuse avec moi même. Être vrai avec les autres. Ne plus me confondre dans une personnalité qui n'est pas la mienne. Ne plus supporter les toxiques et M écraser. Ne plus être influencé. Rencontrer des vrais gens avec de vrai valeur. Ne plus me morfondre.
Me débarrasser de ma souffrance intérieure. Vivre pour moi pas pour les autres. Ne plus avoir peur.

Ce qui est important à présent, vivre le présent... ah oui..hihi
Le bien être savoir ou il se trouve, ce peut être des détails mais qui font du bien. Le temps donnera les réponses si il doit y en avoir.
L'alcool est une solution au bien être. Mais qui a la longue détruit. L'alcool n'est pas un problème c'est une mauvaise solution. .
C'est pourquoi il est primordial de trouver son bien être ailleurs que dans l'alcool. Toutes personnes ont un potentielle à exploiter.
J'ai compris qu'il faut agir et ne plus attendre. Être toujours dans la réflexion est bien il ne peut pas se passer grand chose d'extraordinaire. Par ou commencer. . Est ce qu'on est obligé de suivre le mouvement comme des moutons. Non. Notre bonheur on le défini nous même. On dit que la première impression est la bonne et bien je crois que c'est faux. Avant tout chose il faut apprendre à se connaître pour prendre les bonnes décisions. J'ai toujours été d'échec en échec. . Ce qui ma permi davancer et de me connaître encore et remettre en question ma vie mon destin.. qui n'est jamais celui que l'on crois. .. une nouvelle vie simpose à moi les cartes je les ai en main. .

Je pense qu'il y a deux points sur lesquels je dois travailler. Je suis une personnalité évitante.
Ce qui est un défaut d'estime de soi. Anxieuse et craintive, j'éprouve de l'embarras dans diverses situations. C'est une phobie sociale, pathologie d'ordre psychologique Caractérisée par l'évitement des contacts sociaux de peur d'être rejeté. N'aime pas parler d'eux. C'est un système de protection contre les angoisses.
L'estime de soi aurait été détérioré au cours de lenfance.
Soit par des critiques ou reproches injustifiées de la part de l'entourage.
Il aurait vécu de façon répété des situations ou il se serait senti rejeté.

Il y a aussi la névrose de l'abandon. Ce sont des personnes qui ont l'impression de ne jamais être aimé comme elles y aspirent de ne jamais pouvoir recevoir en retour autant d'amour que celui dont elles ont besoin. angoisses liées à un sentiment d'insécurité affective.
Une agressivité manifeste ou cachée et par une non valorisation de soi.
Il connaît des doutes multiples sur le plan affectif.
Un sentiment de n'avoir sa place nulle part.
Pour moi l'abandonnisme regroupe la dépendance affective, sentiment d'insécurité, la peur du rejet, le repli sur soi, la méfiance, de ne pas être intéressant, que la vie n'a pas de sens, se sentir vide, de passer à côté de sa vie, pas de vie sociale, tristesse, sentiment d'être inutile, la colère. .

05.04.2014

-Avoir un point de référence quand on etais sobre et nous même. 
 ok mais à condition de savoir qui on était au moment de référence. 
Cela reste une énigme pour ma part. 

-l'abstinence révèle notre vrai nature. 
Là je suis tout à fait d'accord. Ce qui est compliqué est justement d'arriver à cerner sa propre personnalité. Sans le produit, sans l'effet miroir, simplement en observant intérieurement qui on est.
Comment on réagit face à la vie en général et cela dans tous les domaines. 

D'accord le psy est là pour aider justement à faire ce travail d'introspection. 
La psy m'a aidé à savoir vivre mes émotions et surtout à relativiser.
Le groupe dans lequel je me suis retrouvée "confiance et estime de soi" m'a fait énormément de bien. Ce n'est pas un groupe de parole. Des exercices de bien être pour retrouver confiance en soi.
Cela a été bénéfique et je l'ai ressenti. 

Suite à ça j'ai fait beaucoup d'efforts en étant plus spontané et naturelle pour aller vers les autres. 
Mettre mes apprioris de côté. Dans un groupe comme celui ci cela marche étant donné qu'on n'a tous un soucis. Dans la vie en société c'est différent. 
J'ai donc décidé de ne plus vouloir M insérer à tout pris. Être moi même sans courir après les gens. 
Il y a tellement de code sociaux de jalousie de jugement d'envie et de réussite sociale. 
La plus belle voiture, la plus belle maison, la famille parfaite....
Du mensonge, je n'y crois plus à cette réussite sociale et matériel. 

Le plus important à mes yeux est la réussite personnelle. Celle où l'on trouve le bonheur par des actes simple. Travailler pour travailler ne m'intéresse pas. 
L'épanouissement passe par la passion et la résultante de "qui suis je?".
Une fois trouvé les pistes pour se connaître véritablement, on peut envisager de s'approprier son être tout entier. 

Qu'est ce qui nous anime au plus profond de nous même? 

Se faire plaisir à soi même avant tout et surtout être. Ne plus faire semblant pour plaire. Cela demande une bonne dose d'humilité et de respect.  
Ne pas se perdre en chemin reste compliqué vu tous les aspects qu'il faut prendre en compte. 
Ne pas attendre l'approbation des autres. Notre identité est celle que nous nous fprgeons tout au long de notre vie. 
Nous décidons, nous sommes mettre de notre destin. 

Ce qui en revient à parler d'égoïsme.

Je ne vois pas pourquoi le fait de forger notre identité tout le long de notre vie, de savoir qui on est, te faire plaisir à toi même et ne plus te forcer à faire ce que tu n'aimes pas pour être reconnue dans un groupe tu appelles ça de l'égoïsme....
Il y a une phrase que j'aime bien qui dit " vivre pour soi en tenant compte des autres", ce qui est très différent de la phrase "vivre pour les autres en tenant compte de moi". Tu réfléchiras sur la différence qu'implique ces deux phrases, elle est importante...   

Tu sais, on ne peux aider, aller vers les autres que si l'on prend soin de soi. plus on avance dans son equilibre, son bonheur et sa sérénité, plus on peut donner aux autres sans se faire bouffer. Et la, ce n'est pas de l'egoisme, c'est de la lucidité.

  

Coop

Je suis d'accord avec toi Coop!!! 

06.04.2014

En général, je rumine des que j'ai un oeil ouvert. Ce qui est très fatiguant mentalement. Je suis obligé de me dire stop à moi même.  Alors comment ne pas se sentir folle et bouleversé. 
Parfois le matin au réveil, j'ai peur, je suis triste et je pense même à ce que la vie s'arrête. 
Je n'arrive plus à pleurer sauf peut être le matin j'y arriverais tellement je suis à fleur de peau et vulnérable.  Puis hop je me lève et la journée est partie. 
Celle où je ne sais pas bien à quoi elle sert.
J'ai besoin de donner un sens profond à ma vie.
J'ai envie de partir en voyage humanitaire. 
J'ai envie de passer mon bac mais alors là la question pourquoi faire. 
Bah oui faut un but.
L'argent ne tombe pas du ciel et dans mon ptit bled......
Il y a une solution à tout faut il encore s'en donner les moyens.
Faut il encore savoir dans quelle voie se dirigé. 
J'ai fait plusieurs fois des bilans d'orientation. 
La gamme est large.
Le souci c'est qu'il faut choisir. 
Là encore c'est très compliqué pour ma part de choisir.


Avant je faisais en fonction des autres maintenant je fais en fonction de moi.
L'ego c'est le Moi donc forcément c'est de l'égoïsme. 
Enfin c'est comme ça que je le vois et je me rend compte que ce n'est pas un défaut. 
Un juste milieu à trouver. 
Je ne peux pas prendre en considération trop les autres maintenant car cela M affecte mentalement. 
Prendre le bon mais pas le mauvais.  
Est ce que c'est possible? 
Je ne pense pas donc je me protège mais je ne veux pas devenir sans coeur.

Dans ma personnalité tout est dans le dosage je ne sais pas faire. 
Soit c'est tout ou rien soit c'est noir ou blanc soit c'est trop ou peu....

L'ego c'est effectivement le moi, mais ça n'a rien à voir avec l'égoïsme là... Prendre conscience de soi, de qui on est, de nos possibilités, c'est apprendre à se connaître et faire avec ce qu'on peut apporter.
Là tu écris un tas de phrase pour dire que tu ne peux pas ci ou pas ça, mais tu ne donnes rien de positif, tu ne fais part d'aucune envie de quelque ordre qu'elle soit...
Dans tout ce que tu as écrit, je ne retiens qu'un phrase: "le souci c'est qu'il faut choisir"... Et bien tu as encore la chance de pouvoir choisir, beaucoup n'ont pas cette chance là et pour eux, c'est trouver un boulot, n'importe quoi pour pouvoir manger.
Alors tu sais très bien ce qui t'attirerait, je suis sûre que tu peux me citer trois ou quatre professions qui te conviendraient...