A qui parler de ma maladie

pour répondre à tes quetions;

Bonsoir Marina,



Je suis un homme simple qui aime la vie et ses plaisirs.



Tu me demandes si je t'aime. Je pense que tu voulais dire si je suis attiré par ton profil. Bien sûr que oui sinon je n'aurais pas répondu à ton message.



Ta photo me plaÏt beaucoup, mais je m'interroge, j'ai 42 ans. Qu'est ce qui fait que mon profil a retenu ton attention? Tu es jeune et je pense que tu pourrais très bien rencontrer quelqu'un de ton age avec qui tu pourrais construire ta vie.

Bonsoir les zamis

Besoin de témoigner ma vie,

Je connais bien la vie à deux, j'ai vécu en couple trois fois depuis l'âge de 20 ans.



Première foie, 7 ans et mariage, mais divorce au bout d'un an, elle est parti avec un autre homme. Deux ans pour m'en remettre!
Pour moi c'est une erreure de jeunesse et j'ai complètement oublié cette période.



Après, rencontre avec une femme qui avait trois enfants, amour fou, complicité sexuelle optimum. Nous vivons ensemble 3 ans et je considère ses enfants comme les miens. Je lui dis que j'abandonne mon désire d'enfant puisqu'elle ne désire plus en avoir. C'est compréhensible, elle en a déjà trois!!!! Réponse de sa part, vas t'en, je ne voeux pas te priver de ton désir le plus profond, avoir un enfant. Situation pour moi insoutenable, j'étais vraiement accro. Mais avec le recul je pense qu'elle avait raison, ma vie n'aurait pas été accomplie si je n'avais pas pu tenir dans mes bras un petit bout tout juste sorti du ventre de sa mère.



Après cette séparation, rencontre avec la mère de ma fille. Celà tombe bien, nous sommes tous les deux dans la même recherche. Créer une famille et désir d'enfant réciproque. Nous vivons 1 an de folie, amour, complicité, sorties, bref le rêve. Bien sûr ce qui devait arriver arrivat. Un enfant est là, dans le ventre de sa mère. Moi je suis émerveillé, je vais être papa. Je suis là, j'écoute le ventre, je sent ses mouvements , je lui parle, je suis en extase. Je vais avoir une fille. Le jour de l'accouchement je suis présent, çà ne se passe pas forcément bien. 12 heures de travaille, à chaque fois que ma fille décide de sortir elle est retenue par le cordon ombilical qui est entouré autour de son coup, elle s'étrangle à chaque fois qu'elle veut sortir. Moi je suis là, je vois le monitoring et le battement du coeur de ma fille. Je tiens la main de sa mère et la rassure, tout vas bien, çà va aller!!!! Mais de mon côté je consulte le monitoring, et constate qu'a chaque fois que Chloé veut sortir son rhytme cardiaque s'arrête. Heureusement, hopital très performant en pédiatrie, appel en urgence d'une médecin spécialiste, je dis bien une car je lui en serait toujours reconnaissant. Elle arrive dans le bloc, introduit ses mains dans l'utérus de la la mère de ma fille et réussi à enlever ce cordon autour de son cou. Quelque minutes plus tard, je vois appraître un petit être les yeux grands ouverts, juste en face de moi. C'était ma fille. Je ne suis pas tombé dans les pommes, j'ai soutenu la mère jusqu'au bout. Le premier bain de ma fille c'est moi qui lui est donné. Ce n'est pas pour dénigrer la mère de ma fille, elle a vécu un calver, j'ai tout vécu et vu. Après l'accouchement il y avait du sang partout. La spécialite est restée pour recoudre l'hépisyothomie. Celà a duré plus d'une heure mais elle a fait celà très bien. Après ces moments, j'étais toujours présent je m'occupait de ma fille avec les aides soignantes bien sûr. Au moment ou ma femme est redevenu consciente, je lui ai ammené Chloé pour qu'elle la prenne entre ses bras. Je n'oublirais jamais ce moment là, le plus beau jour de ma vie.

Aujourd'hui, nous sommes séparés, mais restons très proches. Notre fille Chloé est notre petit coeur et rien ne pourra enlever le fait que cet enfant est issu de l'amour. Depuis notre séparation, nous vivons chacun notre vie, mais il est sûre que pour tout ce qui concerne Chloé personne ne pourras nous séparer.

Ma fille a aujourd'hui 8 ans. Elle connaît cette vie depuis qu'elle avait 4 ans. Elle n'a pas forcément des souvenirs d'une vie de famille unie, celà me désole. Mais pour relativiser, moi et la mère de ma fille nous entendons très bien, on va dire que c'est devenu ma meilleure amie et ma confidente et c'est réciproque, car elle me confie tous ses états d'âmes sans tabous. Je pense que nous avons une relation frère et soeur. Nous nous confions mutuellement nos aventures et nos déboirs, sachant pertinamment que nous ne sommes pas fait pour être ensemble. Je répète c'est comme ma soeur, mais ce ne peut être en aucun cas ma conjointe.



Jean-Charles, bises à tous

A quel moment l'alcool a-t-il commencé à prendre trop de place dans ta vie???

moi ,je suis pommée !!!!! qui c'est MARINA ?????

Ne t'occupe pas de MARINA,c'est un contacte d'aujourd'hui.
Le plus important, c'est la naissance de ma fille.

Bises, Jean-Charles

pourtant j'ai bien vu marina

JC tu n'as pas répondu à ma question. A quel moment l'alcool a-t-il commencé à prendre une place trop importante dans ta vie????

je me demande egalement a quel moment tu as pu introduire l'alcool et ce que tu cherchais a cacher avec

la naissance de ta fille est un evenement plus qu'important pour toi,on dirait que tu evoques ta propre delivrance.
As tu eu vent de ton propre accouchement JC??tu n'en parles pas si cela te met mal surtout,nous approchons de moments qui peuvent etre difficile a evoquer alors si tu hne les sens pas,tu zappes surtout ok??

bonne journée JC

Bonsoir, à vous,

Je vais répondre à la question, quand est ce que je me suis tourné vers l'alcool

Ma vie avant, le départ de ma première femme a été pour moi comme une progression constante vers ce que je croyait mon idéal.

Passage du bac études ensuite. Rencontre de ma femme. Début de construction de notre vie à deux, premiere location d'appart, travail le week end et débrouille à deux pour assumer les charges. Petit à petit pendant ces septs ans de vie commune, nous réussissons à construire quelque chose. Nous arrivons alors à envisager des projets de vie tels que de concevoir un enfant, se marier et acheter une maison. Tout celà se réalise dans la même année 1997/1998.
Jusqu'à cette fameuse période, je n'étais pas malade alcoolique, bien sur je conssommais du vin et de l'alcool mais comme tout le monde à l'occasion de fêtes ou de soirées entre amis. Je ne buvais pas chez moi, on ne prenait même pas l'apéro lorsqu'on était tous les deux.

Malheuresement premier coup dur, fausse couche pour le bébé, deuxième coup dur mon père tombe malade d'un cancer celà va aller très vite il décède dans cette même année et pour couronner le tout. Trois jours après avoir emménager dans notre maison que nous avions acheté, ma femme m'annonce qu'elle n'est pas bien et qu'elle désire réfléchir chez sa tante. Je lui dis que je comprend et la laisse partir. Je l'attends tous les soir sur le canapé en regardant la fenêtre en face qui donne sur l'escalier pour accéder à notre porte d'entrée. Cette attente va durer six mois, pendant lesquels ma femme que j'ai de temps en temps au téléphone me répète toujour la même chose, qu'elle n'est pas bien, qu'elle a besion de se retrouver. C'est un ami qui me passe un coup de fil au bout de ces six mois et qui me dit qu'il ne peux pas me laisser comme çà à attendre le retour de ma femme. Il m'annonce qu'il l'à croisé au bras d'un autre homme et qu'elle n'est pas chez sa tante. Alors là tout s'écroule autour de moi, j'ai l'impression de tomber dans un gouffre sans fin. Dans ce même moment, mon père, mon guide, la main qui a toujours été là pour me supporter décède. Là franchement dans cette nouvelle maison que j'avais restaurée, j'avais fait une cuisine américaine avec poutres apparentes. j'ai regardé ces poutres et il en a fallu moins une pour que j'y passe une corde. Je ne l'ai pas fait peut être par peur, mais les mois qui ont suivi furent terribles. Dépression carabinée, resté couché dans le noir sans pouvoir me lever, plus envie de vivre.
C'est pendant cette période que j'ai commencé à prendre la bouteille. Lorsque tous les soirs j'attendais le retour de ma femme, j'étais accompagné par cette fameuse bouteille qui me permettait d'oublier. Car je pressentait que tout ce que j'avais construit depuis que j'existait allait s'effondrer, que j'allais me retrouver dans la situation de quelqu'un qui doit repartir de zéro. Ces huit années vécus avec cette femme pour moi se résumaient à huit années de moins de ma vie, inexistante. Le sentiment que j'éprouvais, c'était d'avoir vécu sur un mensonge, d'avoir été trahi et surtout je ne supportait pas cette lacheté de ma femme qui a quand été capable de me laissser attendre six mois sans être capable de me dire que c'était fini entre nous et qu'elle avait rencontré un autre homme. Elle n'a d'ailleurs jamais pu me le dire de vive voie face à moi même après que je lui ai dit que je savait.

J'ai été un peu long, mais je pense que cette période de ma vie à été vraiement un tournant pour moi. Et je dis souvent il y avait la vie d'avant et la vie d'après.

Bises à tous, Jean-Charles

Oui, je me souviens que tu l'avais raconté, excuse moi, je n'ai pas eu le temps de reprendre tout le topic.
Tu t'es servi de l'alcool comme d'un médicament pour soigner ta dépression. C'est vrai qu'au début l'alcool est un très bon anti dépresseur, le meilleur même sans doute, mais le revers de la médaille est là, par la suite, il entraîne la dépendance physique, psychologique et devient alors un profond dépresseur. Il te détruit physiquement, socialement et moralement....
Alors prends soin de toi.
On peut compter aujourd'hui dans les jours où tu n'as pas touché à l'alcool????

Je suis d'accord avec toi.

Mais tu comprends certainement ce que j'ai vécu et si il n'y avait pas eu cette bouteille, je ne serait peut être plus de ce monde.

Aujourdh'hui, j'ai pris conscience que c'est un vrai poison. C'est pour celà que je fait toutes les démarches possibles pour me sortir de çà.
Mais abandonner ce qui pour moi a été un soutien pour survivre est très difficile.
Je le répète je suis très fragile et ait perdu la confiance en moi depuis cette fameuse période.
Tu m'aurais connu avant, tu aurais eu en face de toi une personne toujours sûr de soi, optimiste avec pour maxime à tout problème il y a une solution.

Depuis cette période, je me suis culpabilisé, j'ai perdu toute confiance en moi et n'arrive pas à me projeter dans l'avenir. Je vis au jour le jour et essaye tant bien que mal a continuer une vie sociale. J'aimerait bien me poser un jour et me dire çà y est tu a trouvé ta vie qui te correspond. Mais pour l'instant j'ai l'impression de courir après la vie et non pas de la vivre.

bises, JC

C'est vrai qu'à une époque, beaucoup d'entre nous peuvent dire que l'alcool leur a sauvé la vie, mais le problème vient ensuite, comme je te le disais, l'alcool est à double tranchant... Après nous avoir sauvé la vie, il nous détruit consciencieusement....
Je t'ai demandé si tu avais bu aujourd'hui, comme tu ne m'as pas répondu, je suppose que oui?
Là, il va falloir que tu prennes vraiment conscience que tu es malade alcoolique et de où ça va te mener...
Mais on en reparlera...

C'est un peux honteux que je te réponds, oui.

Le week end est pour moi un combat hebdomadaire.

Me retrouver seul sans objectifs précis me ronge.
Toute la semaine, je me pose la question, qu'est ce tu vas faire ce week end.
Cette semaine je suis même allé sur le site onvatsortir.com. Je voulais trouver une occupation mais malheureusement je n'est pas trouvé de sortie qui m'attirait.
Donc chez moi à touner en rond, pas bu de toute la journée, mais ce soir pulsion je voeux me détendre et n'ai pu m'empêcher d'aller chercher une bouteille.

C'est très frustrant, d'autant plus que cette semaine j'ai réussi à me passer de ce poison. Je me suis en plus rassuré car j'ai réussi à recevoir des clients qui ne me connaissaient pas et qui sont ressortis de mon bureau en me disant merci.

Aujourd'hui j'avais ma fille avec moi, nous sommes allé manger au queek ce midi, après vu le temps nous nous sommes visionné harry potter et après je lui est fait faire ses devoirs. Et enfin je lui est fait à manger ce soir avant que sa mère ne vienne la chercher pour le coucher.

C'est après, que la pulsion est arrivée. Il a fallu que je prennes la voiture pour aller chercher une bouteille. Comme celui qui n'a plus de cigarettes et qui est capable de faire 10 kms pour trouver sa drogue.

C'est désolant mais je l'ai fait.

Bises de JC

Tu n'as pas encore réussi à passer ce moment de solitude qu'est le week-end, mais je sais que tu y arriveras en te préparant psychologiquement. En tout cas, s'il te reste de l'alcool, un conseil, vide le dans l'évier avant de devoir refaire un sevrage, ce qui n'a rien de drôle.
Tu peux t'appuyer sur cette semaine sans alcool que tu as bien vécu. Tu as pu voir que sans alcool tu pouvais faire du bon boulot et remonter dans ton estime. Alors, si tu le veux bien, on continue, ce n'est pas une rechute, juste une réalcoolisation....
Bisous

je te remercie pour tes conseils.

Une chose que je peux dire, c'est que depuis que je suis sur ce forum, je ne me sent plus seul.
J'ai enfin trouvé des personnes à qui parler sans complexe ni retenue. Je ne me sent plus seul, même si je l'ai déjà dis que la mère de ma fille est très présente.
Mais je met moi même des barrières pour les préserver, elle connaissent ma maladie mais je ne leur dit pas forcément toutes les étapes que je franchit, abstinance, rechute, réabstinance et rerechute.
Aujourdh'ui, j'ai eu ma fille toute la journée, celà c'est très bien passé. Elle est partie de chez moi en me faisant de gros gros calins et en me disant qu'elle m'aimait de tout son coeur. Je l'ai regardé partir et ai pensé à ce moment précis que c'était elle qui me faisait tenir et que pour rien au monde je ne voudrait la décevoir.

bises, JC

tu sais,ce qui compte ce n'est pas le fait d'avoir bu ce week end,ça,c'est juste un derapage,ce qui importe,c'est que tu sois revenu ici,que tu ais vidé ton coeur,que tu ais dit "j'ai craqué".
Tu aurais pu couper les ponts,tu aurais aussi pu faire semblant mais NON jean charles,tu as parlé,tu as dit la verité parce que tu veux t'en sortir.

Tu n'imagines meme pas la force que tu as deployé pour venir ici,c'est ça le combat JC et c'est aussi ça ta victoire.il ne faut pas regarder que le coté negatif des choses il y a toujours le revers de la medaille qu'il faut mettre en avant:alors oui tu as bu MAIS TU CONTINUES le combat et il n'y a que cela qui compte

l'alcool est une drogue dure JC,on ne peut pas arreter en disant "j'arrete" et puis voilà,on passe direct au zero alcool!!ça ne se passe pas comme cela
On commence par se mettre ds la tete qu'on est malade et qu'on doit effectivement ne plus boire,puis on essaye de toutes ses forces,puis on tombe ... et on se relève.Et c'est en se relevant qu'on acquiert de nouvelles forces ,des forces indispensable pour poursuivre la lutte
Alors ne te focalise pas sur cette rechute,elle est comme une soupape qui a laché trop de pression.C'est pas grave,ce n'est pas le plus important,ce qui importe JC,c'est de repartir au combat encore plus fort

pour ce qui est de la confiance en toi,elle n'est pas partie elle fait partie de toi,elle est juste cachée derrière d'enormes barrières que tu as erigées durant toutes ces années mais ne t'inquiète surtout pas,elles vont toutes tomber une a une

pour le moment JC,c'est un jour après l'autre,"aujourd'hui je ne bois pas" et tu vas arriver en douceur a te sortir de cet enfer

Bravo d'avoir ete honnete avec toi meme,tu commences enfin a te donner de la valeur,c'est un grand pas en avant

Salut Lindy,
Je te passe un petit coucou car pas eu de nouvelles de toi depuis quelques jours.
Est ce que tu vas bien.
Pour moi, week-end difficile. Je n'ai pas pu m'empêcher d'aller chercher une bouteille.

J'ai vraiement du mal à supporter cette solitude et le week end est toujours pour moi une angoisse et un moment à passer à tourner en rond et à ruminer.
Quand viendra le jour où je pourrais retrouver cette sérénité et cette joie de vivre que j'ai perdu.
bises à toi, Jean-CHARLES

JC,le week end est derrière maintenant alors regarde devant toi,c'est là que ça se passe
avant d'arriver au prochain week end,tu as 5jours de semaine et c'est là que tu vas trouver la force d'affronter le prochain WE .
Alors un jour après l'autre et a chaque jour suffit sa peine d'accord??
As tu tenu le coup aujourd'hui??où en es tu là??

Le week-end prochain, n'attend pas le jour même pour le préparer. Prévois déjà des sorties, des activités, quelque chose qui te fasse bouger et rencontrer des gens... Regarde les programmes de ce qui se passe dans ta ville, vois ce que tu pourrais faire.
Il faut que ce week-end ne ressemble pas aux autres pour couper avec cette association "week-end = alcool".
Mais tu vas voir qu'il se passera bien, on t'aidera à prévoir tout ce qu'il faut ...

Ou j'en suis ce soir?

Je suis entrain de regarder la télé MEN IN BLACK II. Je trouve çà marrant, surtout le chien.
Je suis allé faire les courses, ce soir au menu roll mops truite saumonnée et paté de tête bio.

Par contre je suis désolé je ne peux m'empêcher de finir la bouteille achetée hier, c'est plus fort que moi

Je me suis donné un objectif, ne pas boire, cette semaine.

Et vous avez raison, il faut que j'antcipe le week-end prochain. Je vais tâcher de trouver quelque chose à faire. Mais sur BLOIS, là ou j'habite ce n'est pas facile, il ne se passe pas grand chose. Il n'y a pas de théatre, pas de salle de spectacle, pas de lieu ou l'on peut rencontrer du monde. C'est une ville très refermée sur elle même. Si tu ne fais pas parti du réseau social tu restes seul. Les seuls endroits ou tu peux sortir c'est le z64, une boite de nuit où tu ne rencontres que des addos et le xxl boite de qui reçoit des personnes à la dérive et qui ne cherchent que des plans cul.
En écrivant, je réfléchi et me dis que je connais quelques personnes qui seraient heureux de me revoir. Je vais essayer de les contacter pour que l'on se voit ce week-end.
Je vais essayer d'anticiper. C'est vrai depuis quelque temps, je me laisse mener par les évènements. Il faut que je reprenne le contrôle et que je me prenne en charge.
Quand je vous disais que d'être sur ce forum m'aidait. Je me rends compte que c'est de plus en plus vrai chaque jours qui passe.

Bises à vous, Jean-Charles

Reprendre contact avec des amis est une très bonne idée à mener à bien!!! Tu les contactes assez tôt pour qu'ils soient libres ce week-end.
La bouteille que tu finis, le geste qui t'aurait aidé symboliquement, c'était de jeter le reste du vin dans l'évier. C'était marquer fortement ton désir d'arrêter, tu n'as pas encore pu le faire, mais ça viendra....

Tu avances a ton rythme JC mais l'important,c'est que tu avances
alors si cette bouteille n'est pas finie ce soir,tu jettes le reste pour ne plus en avoir demain ok??et tu appelles demain tes amis
mais attention,ne sois pas deçu ou mal si ils ne peuvent pas d'accord?? si ça marche,c'est genial mais si ça n'est pas possible,ne te met pas cela sur le dos...Nous sommes si sensible jean charles que la moindre contrarieté prend des proportions inouis alors pars aussi avec l'idée qu'ils peuvent avoir prevu autre chose ok??

tu vas y arriver JC,c'est bien parti

Sur internet tu as pas mal de sites concernant les sorties ou activités à Blois, en voilà un par exemple, mais il y en a beaucoup d'autres.

http://www.cityvox.fr/agenda_blois/Agenda

J'ai vu aussi qu'il y a ou va y avoir un festival de la BD, c'est le moment d'y aller pour avoir des dédicaces, si tu aimes les BD...

Je me répette, mais merci à vous deux.

Je vais me connecter sur le site indiqué par shale.

Je sais que le week-end prochain, c'est BD BOUM. Un rendez vous annuel avec tous les ecrivains de BD. C'est vrai que c'est un évènement exeptionnel et reconnu dans ce milieux. Je penses que c'est un rendez vous incontournable pour tous les amateurs de BD.
Je ne suis pas forcément attiré par ce genre d'art, c'est pourquoi je n'ai pas envisagé d'y aller ce week-end.
Je préfère les livres, c'est mon passe temps favori. Lorsque que je me met dans un bouquin, j'oublie tout et rentre dans l'histoire. C'est pour moi un moyen de m'évader et de me mettre à la place des protagonistes de l'histoire.

Voilà ce que j'avais à dire ce soir.
Bises à vous et à bientôt, Jean-Charles

Je ne suis pas non plus une fan de BD mais j'aime bien les festivals qui concerne ce style littéraire. Il y a une ambiance particulière, tu rencontres les dessinateurs en personne, c'est assez sympa... Mais il y a pas mal de choses, des spectacles, des concerts, des sorties.... Je suis sûre que tu vas trouver....

C'est pour moi un moyen de m'évader et de me mettre à la place des protagonistes de l'histoire.

tu vois donc qu'il y a d'autre moyen que l'alcool pour s'evader

si le BD BOUM n'est pas trop loin de chez toi,pourquoi ne pas y faire un saut tu n'as rien a perdre a aller jeter un coup d'oeil,au pire,ça ne te plait pas et tu rentres,au mieux,tu passes un bon moment avec plein de trucs a nous raconter
met ce rdv ds un coin de ta tete pour le moment,ne dis pas NON tout de suite ok??

passe une bonne fin de soirée,je vais me coucher,je bosse demain
bonne nuit et n'oublie pas,plus de trace de bouteille demain ok??