lutte contre l’alcool
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POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
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Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Ben elle est où la baguette magique qui te permet d'éviter la colère, les émotions, les déceptions, les menteurs, les faibles, les toxiques, tout le tralala qui nous secoue quoi ?! perso, je ne l'ai pas trouvée et j'arrive encore à lutter, je ne sais pas comment j'avoue... des fois, je me dis que ça n'en vaut pas la peine, que je suis vaincue d'avance. Mais j'ai une Put... de fierté qui fait que je suis encore dans la lutte et pas dans l'abaissement ou l'affaiblissement. Car là, je suis dans mon quota maxima. Je me sens chaque matin en colère. Prête à boxer...
Me manque un cap, je l'ai compris, celui de la sagesse, celle de celui qui sait et n'y touchera jamais plus.
Bon, ne m'en veut pas, C le début de la semaine sans mes enfans et le moral n'est pas très folichon, comme d'hab. Comment vivre sans ses enfants ? et là, je n'y mets aucune comparaison, mais entre perdre l'alcool ou mes gosses, y'a pas photos
Lolo T là ?
Me manque un cap, je l'ai compris, celui de la sagesse, celle de celui qui sait et n'y touchera jamais plus.
Bon, ne m'en veut pas, C le début de la semaine sans mes enfans et le moral n'est pas très folichon, comme d'hab. Comment vivre sans ses enfants ? et là, je n'y mets aucune comparaison, mais entre perdre l'alcool ou mes gosses, y'a pas photos
Lolo T là ?
Swoosh- Super Tchatcheur
- 20/05/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Ben c'est là ou la bât blesse justement! Y a pas de baguette magique, juste ta put.....de fierté comme tu dis, ta motivation et les outils que tu as mis en place.
Pas fastoche je sais et c'est là qu'il faut avoir aussi des amis fidèles ou des proches à qui se confier et chez qui décharger une partie du fardeau!
Et faut voir aussi et c'est le plus important de côté positif de ta vie. Un boulot qui te plait, des enfants adorables même si la garde est partagée (tu pourrais les avoir à plein temps et que ce soit de vrais gibiers de potence!), une bonne santé, une vie sociale......ect
Pas fastoche je sais et c'est là qu'il faut avoir aussi des amis fidèles ou des proches à qui se confier et chez qui décharger une partie du fardeau!
Et faut voir aussi et c'est le plus important de côté positif de ta vie. Un boulot qui te plait, des enfants adorables même si la garde est partagée (tu pourrais les avoir à plein temps et que ce soit de vrais gibiers de potence!), une bonne santé, une vie sociale......ect
pascal1- Super Tchatcheur
- 03/03/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Ouiii, j'suis là! Zut de flûte! J'ai tartiné un message et j'ai mal cliqué!
Enfin bon... voulais te dire, Swoosh, par rapport à sa question sur le "hors alcool"
"J'aime pas les épinards! Et heureusement! Parce que si j'aimais les épinards, j'en mangerais!
Et comme j'ai horreur des épinards....."
Sinon, pour ce que vous dites, moi je sais que je ne suis que "sans alcool", même si je n'ai jamais besoin de me dire
"aujourd'hui tu ne bois pas".
Pour la bière, le vin, les apéros, çà je peux en servir vraiment sans arrière-pensée comme tu disais Pascal.
Et aucune émotion soudaine ne me fera plus boire, j'ai bien intégré la conversion!
Mais pour les alcools forts, là non.
J'aime la sensation, et surtout l'effet.
"Se basarder la tête, s'abstraire", çà, ce n'est pas réglé.
Les circonstances qui ont amené les réalcoolisations sont localisées maintenant, et "neutralisées".
Mais il peut y en avoir d'autres, que je n'ai pas encore eu l'occasion d'évaluer.
Quand je disais "avancer cahin -caha", en fait c'était çà. J'avance, je cultive mon jardin, de plus en plus
agréable et vaste,mais si çà se trouve je peux retomber sur un os encore enfoui quelque part... ou laisser de la mauvaise herbe sous mes pieds qui va pousser en liane et me valoir un bon pétage de poire un de ces quatre.
Mais j'ai bon espoir, et je ne me fixe plus de "dead line". çà peut arriver, comme çà peut ne plus arriver.
Si je me dis "là c'est sûr" (je ne boirai plus jamais ou à tous les coups çà va péter"), çà va foirer.
Je laisse une chance au hasard en assainissant le terrain sans oublier de me rouler dedans pour m'amuser
un peu quand même avant d'aller plus loin...
quitte à être jeune au moins dans un domaine, autant en profiter non?
Enfin bon... voulais te dire, Swoosh, par rapport à sa question sur le "hors alcool"
"J'aime pas les épinards! Et heureusement! Parce que si j'aimais les épinards, j'en mangerais!
Et comme j'ai horreur des épinards....."
Sinon, pour ce que vous dites, moi je sais que je ne suis que "sans alcool", même si je n'ai jamais besoin de me dire
"aujourd'hui tu ne bois pas".
Pour la bière, le vin, les apéros, çà je peux en servir vraiment sans arrière-pensée comme tu disais Pascal.
Et aucune émotion soudaine ne me fera plus boire, j'ai bien intégré la conversion!
Mais pour les alcools forts, là non.
J'aime la sensation, et surtout l'effet.
"Se basarder la tête, s'abstraire", çà, ce n'est pas réglé.
Les circonstances qui ont amené les réalcoolisations sont localisées maintenant, et "neutralisées".
Mais il peut y en avoir d'autres, que je n'ai pas encore eu l'occasion d'évaluer.
Quand je disais "avancer cahin -caha", en fait c'était çà. J'avance, je cultive mon jardin, de plus en plus
agréable et vaste,mais si çà se trouve je peux retomber sur un os encore enfoui quelque part... ou laisser de la mauvaise herbe sous mes pieds qui va pousser en liane et me valoir un bon pétage de poire un de ces quatre.
Mais j'ai bon espoir, et je ne me fixe plus de "dead line". çà peut arriver, comme çà peut ne plus arriver.
Si je me dis "là c'est sûr" (je ne boirai plus jamais ou à tous les coups çà va péter"), çà va foirer.
Je laisse une chance au hasard en assainissant le terrain sans oublier de me rouler dedans pour m'amuser
un peu quand même avant d'aller plus loin...
quitte à être jeune au moins dans un domaine, autant en profiter non?
lolo6- Super Tchatcheur
- 24/06/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Mais personne n'est à l'abri lolo, ni toi, ni moi, personne, jamais!
pascal1- Super Tchatcheur
- 03/03/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
swoosh,tu devrais t'ouvrir un nouveau post car ce que tu dis est très important et tu touches un point crucial:
car le problème n'est pas celui ci mais plutot"comment vivre avec soi même"!!
tu n'as pas besoin de tes enfants pour exister ...
Comment vivre sans ses enfants ?
car le problème n'est pas celui ci mais plutot"comment vivre avec soi même"!!
tu n'as pas besoin de tes enfants pour exister ...
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
J'aime la sensation, et surtout l'effet.
"Se basarder la tête, s'abstraire", çà, ce n'est pas réglé
Tu l'exprimes très bien"se bazarder la tête,s'abstraire"...S'annuler,se faire inexistant,mourir...
ça me touche,ça.Parce que c'était un de mes gros problèmes,et ça reste une peur de "replonger".Quand je parlais de produits violents,c'était ça;me bazarder la tête.Violemment,fortement.
Besoin d'intensité permanente,vivre à 200 à l'heure,surtout pas de vide;surtout pas de vide...
J'ai passé des années comme ça.Toute ma jeunesse,de 16 ans où je suis parti de chez ma mère,à trente deux ans,age où j'ai compris que j'avais...deux enfants,de deux et quatre ans.Avec des poses bien sûr,mais toujours ça à l'intérieur.Toujours dans des milieux marginaux,décalés,déjantés.Et j'aimais ça.Parce qu'ils me ressemblaient;avec eux,j'étais reconnu comme ayant le droit de vivre.
Avec aussi un immense instinct de conservation,qui m'a toujours évité le pire.Qui fait que je suis là aujourd'hui, malgré tous les dangers dans lesquels je me suis jetté.
.Ce qu'il m'en reste(je l'ai déjà exprimé sur mon post),c'est la peur de comment j'étais avant,mais je ne suis plus comme j'étais avant.
Je connais en moi ce sans limite,et il me fait flipper,mais de moins en moins.Je sais que j'en ai fini avec ça,que j'ai sauvé ma vie de ça.
Je te dis ça,parce que ce besoin quasi irrépréssible de se bazarder la tête,on s'en sort,Lolo,on s'en sort.En allant chercher la cause de tout ça.Je me permet de te le dire parce que j'en suis sorti,sinon je n'oserai pas.Et je sais que tu peut t'en sortir;ça va te régler dix mille problème en même temps...
Je flippe un peu d'envoyer ce message,mais bon;j'espère juste ne pas te toucher trop violemment,mais il faut que tu sortes de ça,et c'est possible.
.
"Se basarder la tête, s'abstraire", çà, ce n'est pas réglé
Tu l'exprimes très bien"se bazarder la tête,s'abstraire"...S'annuler,se faire inexistant,mourir...
ça me touche,ça.Parce que c'était un de mes gros problèmes,et ça reste une peur de "replonger".Quand je parlais de produits violents,c'était ça;me bazarder la tête.Violemment,fortement.
Besoin d'intensité permanente,vivre à 200 à l'heure,surtout pas de vide;surtout pas de vide...
J'ai passé des années comme ça.Toute ma jeunesse,de 16 ans où je suis parti de chez ma mère,à trente deux ans,age où j'ai compris que j'avais...deux enfants,de deux et quatre ans.Avec des poses bien sûr,mais toujours ça à l'intérieur.Toujours dans des milieux marginaux,décalés,déjantés.Et j'aimais ça.Parce qu'ils me ressemblaient;avec eux,j'étais reconnu comme ayant le droit de vivre.
Avec aussi un immense instinct de conservation,qui m'a toujours évité le pire.Qui fait que je suis là aujourd'hui, malgré tous les dangers dans lesquels je me suis jetté.
.Ce qu'il m'en reste(je l'ai déjà exprimé sur mon post),c'est la peur de comment j'étais avant,mais je ne suis plus comme j'étais avant.
Je connais en moi ce sans limite,et il me fait flipper,mais de moins en moins.Je sais que j'en ai fini avec ça,que j'ai sauvé ma vie de ça.
Je te dis ça,parce que ce besoin quasi irrépréssible de se bazarder la tête,on s'en sort,Lolo,on s'en sort.En allant chercher la cause de tout ça.Je me permet de te le dire parce que j'en suis sorti,sinon je n'oserai pas.Et je sais que tu peut t'en sortir;ça va te régler dix mille problème en même temps...
Je flippe un peu d'envoyer ce message,mais bon;j'espère juste ne pas te toucher trop violemment,mais il faut que tu sortes de ça,et c'est possible.
.
origine66- Super Tchatcheur
- 16/12/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
je crois que lolo en est sortie également mais n'envisage pas encore de dire "stop, plus jamais"
Elle laisse la vie et le temps faire son oeuvre sans prévoir de plans sur la comète.
Je ne pense pas que c'est "laisser une porte ouverte à" mais simplement qu'on ne sait jamais de quoi demain sera fait.
Peut être aussi la peur du "jamais plus un goutte d'alcool" qui peut prturber un bon moment avant justement ce dont on parlait hier, à savoir le hors alcool.
Moi ce qui me turlupine surtout c'est "pourquoi ce besoin d'alcool fort et de se défoncer rapidement le crâne, le speed dreaking comme disent nos djeuns en ce moment.
Ce besoin correspond il à un mal-être, à un ras le bol qui nécessite de rapidement se retourner la tête pour ne plus penser?
Ou répond il simplement à une envie , un pulsion, un besoin de reconnaitre des états passés?
Sortie de la couette duveteuse, après café et croissants, lolo nous éclairera sans doute!
Bon dimanche à tous sous la neige sans doute (sauf les privilégiés du sud-est qui vont morfler après...)
Ici opération achat de pain ce matin très périlleux mais mission réussie à 100%. Maintenant opération bouffe et on quitte plus la maison sous aucun prétexte!lol
Elle laisse la vie et le temps faire son oeuvre sans prévoir de plans sur la comète.
Je ne pense pas que c'est "laisser une porte ouverte à" mais simplement qu'on ne sait jamais de quoi demain sera fait.
Peut être aussi la peur du "jamais plus un goutte d'alcool" qui peut prturber un bon moment avant justement ce dont on parlait hier, à savoir le hors alcool.
Moi ce qui me turlupine surtout c'est "pourquoi ce besoin d'alcool fort et de se défoncer rapidement le crâne, le speed dreaking comme disent nos djeuns en ce moment.
Ce besoin correspond il à un mal-être, à un ras le bol qui nécessite de rapidement se retourner la tête pour ne plus penser?
Ou répond il simplement à une envie , un pulsion, un besoin de reconnaitre des états passés?
Sortie de la couette duveteuse, après café et croissants, lolo nous éclairera sans doute!
Bon dimanche à tous sous la neige sans doute (sauf les privilégiés du sud-est qui vont morfler après...)
Ici opération achat de pain ce matin très périlleux mais mission réussie à 100%. Maintenant opération bouffe et on quitte plus la maison sous aucun prétexte!lol
pascal1- Super Tchatcheur
- 03/03/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Coucou Pascalou!
"jouer avec le feu" c'est ce que j'ai trop longtemps fait! après c'est l'addiction et toutes ses contraintes!
un jour: on se réveille!
"jouer avec le feu" c'est ce que j'ai trop longtemps fait! après c'est l'addiction et toutes ses contraintes!
un jour: on se réveille!
littlewing- Super Tchatcheur
- 11/03/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
ou pas..................
pascal1- Super Tchatcheur
- 03/03/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Salut les chipies (Pascal inclus )
Moi aussi cette idée de ma bazarder la tête me manque et je ne sais comment la retrouver sans produit. A une époque, la première clope du matin me faisait tourner la tête et j'adorais ça. Comme les 2 verres. J'en fume 20 par jour aujourd'hui des clopes sans plus jamais retrouver cette sensation et j'ai bu plus d'une bouteille de vin les dernières fois pour la ressentir...
A ce jour, plus rien ne me fait cet effet et ça me manque. En fait, je dis à moitié faux là. J'ai toujours cette sensation de "vidage" de cerveau quand je prends mes gamins dans mes bras, mais la différence, c'est que je ne suis pas la seule à décider (accessoirement, il faut qu'ils soient là )
Ce me fait repenser à cette idée que quand on est devenu drogué à qlq chose on reste drogué à vie.... ça me rend triste car je vais devoir passer à côté de sensations que j'adorais et que je pourrai jamais remplacer.
Pascal, C quoi à ce jour ton plaisir égoïste ?
Bisous et bon dimanche, moi je grimace, encore de la neige, alerte orange
Moi aussi cette idée de ma bazarder la tête me manque et je ne sais comment la retrouver sans produit. A une époque, la première clope du matin me faisait tourner la tête et j'adorais ça. Comme les 2 verres. J'en fume 20 par jour aujourd'hui des clopes sans plus jamais retrouver cette sensation et j'ai bu plus d'une bouteille de vin les dernières fois pour la ressentir...
A ce jour, plus rien ne me fait cet effet et ça me manque. En fait, je dis à moitié faux là. J'ai toujours cette sensation de "vidage" de cerveau quand je prends mes gamins dans mes bras, mais la différence, c'est que je ne suis pas la seule à décider (accessoirement, il faut qu'ils soient là )
Ce me fait repenser à cette idée que quand on est devenu drogué à qlq chose on reste drogué à vie.... ça me rend triste car je vais devoir passer à côté de sensations que j'adorais et que je pourrai jamais remplacer.
Pascal, C quoi à ce jour ton plaisir égoïste ?
Bisous et bon dimanche, moi je grimace, encore de la neige, alerte orange
Swoosh- Super Tchatcheur
- 20/05/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
en venant sur le forum: je pense que c'est déja un grand pas! c'est qu'il y a quelque part le désir de s'en sortir, non?
maintenant:" l'affaire n'est pas dans le sac", faut parfois du temps.....
maintenant:" l'affaire n'est pas dans le sac", faut parfois du temps.....
littlewing- Super Tchatcheur
- 11/03/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
En venant sur un forum pour les alcooliques, je suis partiellement sortie de mon déni. Mais pour être honnête, je pensais : pfff, y'a pire que moi, OUF, chui pas si dans la merde que ça...
Et au fil des posts et avec MCR j'ai accepté. Je ne bois plus. Mais je souffre encore. Et ça, ça me gonfle.
Et au fil des posts et avec MCR j'ai accepté. Je ne bois plus. Mais je souffre encore. Et ça, ça me gonfle.
Swoosh- Super Tchatcheur
- 20/05/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
bon dimanche à tous
c'est vrai que lorsqu'une drogue nous atteint, est ce qu'il est possible d'en oublier les effets ?
moi je suis accro et addic à une chose qui me manque mais je n'ai pas aujourd'hui le moyen de retrouver : l amour
il me manque et parfois il me vient l'envie d'aller le rejoindre,
je pense pas manquer à grand monde,
bon je suis triste et j'ai le blues du dimanche
mais j'ai pas envie de retourner dans l'alcool car ma vision des choses est tellement superficielle, inexistante, brumeuse, même si je suis triste, seule, je suis claire dans ma tête et droite dans mes escarpins, c'est le plus important
c'est vrai que lorsqu'une drogue nous atteint, est ce qu'il est possible d'en oublier les effets ?
moi je suis accro et addic à une chose qui me manque mais je n'ai pas aujourd'hui le moyen de retrouver : l amour
il me manque et parfois il me vient l'envie d'aller le rejoindre,
je pense pas manquer à grand monde,
bon je suis triste et j'ai le blues du dimanche
mais j'ai pas envie de retourner dans l'alcool car ma vision des choses est tellement superficielle, inexistante, brumeuse, même si je suis triste, seule, je suis claire dans ma tête et droite dans mes escarpins, c'est le plus important
Invité- Invité
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Bonjour!
Tu as résumé l'état de beaucoup d'entre nous sur le forum! mais l'important maintenant, c'est l'instant présent et de le vivre le mieux possible!
Tu as résumé l'état de beaucoup d'entre nous sur le forum! mais l'important maintenant, c'est l'instant présent et de le vivre le mieux possible!
littlewing- Super Tchatcheur
- 11/03/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Jolie toumou' suis triste aussi tu sais. Je ne comprends pourquoi je ne comprends rien à rien
Lolo debout !!!!!!!! on squatte chez toi là
Lolo debout !!!!!!!! on squatte chez toi là
Swoosh- Super Tchatcheur
- 20/05/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
désolé pour mon message,je m'expliquerai d'une façon que j'espère plus claire ce soir sur mon fil
origine66- Super Tchatcheur
- 16/12/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Pfffouh la la! Quelle activité!
Les abeilles du dimanche!
Pff, mais j'émerge moi! Pas de fiston dans le coin, films la nuit et grasse mat obligée!
çà me change des périodes d'alcool où je me réveillais aux aurores
C'est intéressant comme d'hab de vous lire, et Pascal tu résumes bien. Quel esprit de synthèse!
"jamais" . Ce sont deux notions que je trouve complètement incompatibles avec la notion de vie.
J'aime bien cette phrase de Kafka "L'éternité c'est long, surtout vers la fin".
Oui, moi çà me turlupine aussi. Parce que çà c'est profond. "S'abstraire", "poser ses valises" ailleurs....
Ce n'est pas forcément avec l'alcool. La dernière fois, j'ai pris l'alcool parce que çà me
paraissait moins risqué que les médocs, qui me font flipper.
Et les drogues (coco, héros), çà n'a jamais pris parce que j'ai essayé mais comme j'ai trouvé çà "trop bien"
et j'ai tout de suite localisé le danger.
L'alcool, je me suis faite avoir parce que çà a été festif sur 80% de la durée...
Et puis l'alcool maladie, les consol abusives quotidiennes, c'est toujours resté lié au téléphone,
un vertige, une débauche de mots. Je n'ai jamais bu un verre seule sans téléphoner ni écrire.
Et la dernière fois çà a été çà aussi.
Je "travaille" çà avec mon art-thérapeute, et je comprends beaucoup de choses.
Je sais ce qu'il y a dans la valise, ce secret de famille pourri qui tourne autour de ma naissance,
dont j'ai déjà parlé sur ce fil ou l'ancien je ne sais plus,
et 14 ans après l'avoir appris il faut que je prenne les choses en main. Sans doute rencontrer mon
géniteur, voir à qui je ressemble et voir si c'est cet intellectuel pervers qui m'a été décrit.
Bon, comme c'est un prof de maths, c'est tout l'un ou tout l'autre, hein!
En ce moment, et avant ce moment qui arrivera ou non, j'essaie de faire en sorte de
"ne pas avoir de timbres à coller" (plus haut sur ce fil),
pour éviter d'arriver à ce stade où c'est "bingo"!
Et je fais en sorte d'avoir une belle vie, d'en profiter doublement maintenant qu'il n'y
a plus l'éthanol entre elle et moi. Voilà!
Et en vous écrivant, je réalise qu'il y a eu la cure certes, mais aussi vous ici depuis 6 mois
maintenant.
Pfff, quand on me demande "comment tu fais", c'est malin, je suis obligée de parler de vous aussi!
ps: cet aprèm' j'ai du boulot, donc à plus tard!
Les abeilles du dimanche!
Pff, mais j'émerge moi! Pas de fiston dans le coin, films la nuit et grasse mat obligée!
çà me change des périodes d'alcool où je me réveillais aux aurores
C'est intéressant comme d'hab de vous lire, et Pascal tu résumes bien. Quel esprit de synthèse!
Effectivement c'est tout à fait çà. Avec une incapacité intellectuelle complète à envisager la notion de "toujours" ouje crois que lolo en est sortie également mais n'envisage pas encore de dire "stop, plus jamais"
Elle laisse la vie et le temps faire son oeuvre sans prévoir de plans sur la comète.
Je ne pense pas que c'est "laisser une porte ouverte à" mais simplement qu'on ne sait jamais de quoi demain sera fait.
Peut être aussi la peur du "jamais plus un goutte d'alcool" qui peut prturber un bon moment avant justement ce dont on parlait hier, à savoir le hors alcool.
"jamais" . Ce sont deux notions que je trouve complètement incompatibles avec la notion de vie.
J'aime bien cette phrase de Kafka "L'éternité c'est long, surtout vers la fin".
Moi ce qui me turlupine surtout c'est "pourquoi ce besoin d'alcool fort et de se défoncer rapidement le crâne, le speed dreaking comme disent nos djeuns en ce moment.
Ce besoin correspond il à un mal-être, à un ras le bol qui nécessite de rapidement se retourner la tête pour ne plus penser?
Oui, moi çà me turlupine aussi. Parce que çà c'est profond. "S'abstraire", "poser ses valises" ailleurs....
Ce n'est pas forcément avec l'alcool. La dernière fois, j'ai pris l'alcool parce que çà me
paraissait moins risqué que les médocs, qui me font flipper.
Et les drogues (coco, héros), çà n'a jamais pris parce que j'ai essayé mais comme j'ai trouvé çà "trop bien"
et j'ai tout de suite localisé le danger.
L'alcool, je me suis faite avoir parce que çà a été festif sur 80% de la durée...
Et puis l'alcool maladie, les consol abusives quotidiennes, c'est toujours resté lié au téléphone,
un vertige, une débauche de mots. Je n'ai jamais bu un verre seule sans téléphoner ni écrire.
Et la dernière fois çà a été çà aussi.
Je "travaille" çà avec mon art-thérapeute, et je comprends beaucoup de choses.
Je sais ce qu'il y a dans la valise, ce secret de famille pourri qui tourne autour de ma naissance,
dont j'ai déjà parlé sur ce fil ou l'ancien je ne sais plus,
et 14 ans après l'avoir appris il faut que je prenne les choses en main. Sans doute rencontrer mon
géniteur, voir à qui je ressemble et voir si c'est cet intellectuel pervers qui m'a été décrit.
Bon, comme c'est un prof de maths, c'est tout l'un ou tout l'autre, hein!
En ce moment, et avant ce moment qui arrivera ou non, j'essaie de faire en sorte de
"ne pas avoir de timbres à coller" (plus haut sur ce fil),
pour éviter d'arriver à ce stade où c'est "bingo"!
Et je fais en sorte d'avoir une belle vie, d'en profiter doublement maintenant qu'il n'y
a plus l'éthanol entre elle et moi. Voilà!
Et en vous écrivant, je réalise qu'il y a eu la cure certes, mais aussi vous ici depuis 6 mois
maintenant.
Pfff, quand on me demande "comment tu fais", c'est malin, je suis obligée de parler de vous aussi!
ps: cet aprèm' j'ai du boulot, donc à plus tard!
lolo6- Super Tchatcheur
- 24/06/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
j'étais pas au courant pour "ton secret de famille" , tu devais pas encore me brancher à l'époque....lol
Donc t'as une valoche à ouvrir aussi ou à laisser fermée concernant ton géniteur.
A voir si celà te tarabuste vraiment quitte à en souffrir ou laisser faire le temps.
La voilà peut être la cause des besoins de défonce je suppose les jours de cafard, les jours ou tu te demandes" qui suis-je ou erre je?"
Je te donne juste mon avis de (vieux...) mec
Tu es heureuse professionnellement, socialement sentimentalement. Pourquoi t'imposer une épreuve supplémentaire face à un gars qui, s'il a connaissance de ton existence, n'a pas fait le moindre geste pour te voir?
A moins que cela ne soit essentiel à ton équilibre!
Allez je te laisse à tes copies si t'as même pas le temps d'une sieste occupée....
Bon courage!
Donc t'as une valoche à ouvrir aussi ou à laisser fermée concernant ton géniteur.
A voir si celà te tarabuste vraiment quitte à en souffrir ou laisser faire le temps.
La voilà peut être la cause des besoins de défonce je suppose les jours de cafard, les jours ou tu te demandes" qui suis-je ou erre je?"
Je te donne juste mon avis de (vieux...) mec
Tu es heureuse professionnellement, socialement sentimentalement. Pourquoi t'imposer une épreuve supplémentaire face à un gars qui, s'il a connaissance de ton existence, n'a pas fait le moindre geste pour te voir?
A moins que cela ne soit essentiel à ton équilibre!
Allez je te laisse à tes copies si t'as même pas le temps d'une sieste occupée....
Bon courage!
pascal1- Super Tchatcheur
- 03/03/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
je vais devoir passer à côté de sensations que j'adorais et que je pourrai jamais remplacer.
je reprend une phrase de swoosh juste pour dire que tu auras bien d'autres sensations bien plus fortes et bien plus exaltantes car elles seront vraies et issue de situations,de personnes réelles et NON TOXIQUES!!!
tu ne peux pas dire que tu ne pourras jamais remplacer ces sensations,ce n'est pas parce que tu n'as pas encore réussi a trouver comment les remplacer qu'elles n'existent pas!!
commence déjà à t'aimer pour ce que tu es,à savoir qui tu es sans role a tenir (juste être toi même)et alors tu seras apte a ressentir ces sensations extraordinaires
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Cristal, tes mots me rappellent les conseils qu'on me donnaient quand j'étais enceinte de mon fils (le prems des 3).
"Tu verras... être maman C magnifique.... tu te sentiras différente dès que tu le verras... tu l'aimeras d'un amour absolu au premier regard..."
J'ai adoré entendre ça !
Sauf que qd ce gaillard est né, ben ça ne s'est pas du tout passé comme ça. Je ne me suis pas sentie maman et je ne l'ai pas aimé au premier regard. Ca m'a pris exactement 4 jours avant de l'accepter, de l'intégrer et de l'aimer. Je passe toujours popur une mauvaise mère quand je raconte ça.
Bref
Tout ça pour dire que je me méfie des conseils même de personnes que j'estime car "chacun sa route" et la mienne est tordue
Bon désolée encore une fois Lolo, je crois que je vais finir par ouvrir un autre fil et arrêter de jouer les Bernard (Lermitte)
"Tu verras... être maman C magnifique.... tu te sentiras différente dès que tu le verras... tu l'aimeras d'un amour absolu au premier regard..."
J'ai adoré entendre ça !
Sauf que qd ce gaillard est né, ben ça ne s'est pas du tout passé comme ça. Je ne me suis pas sentie maman et je ne l'ai pas aimé au premier regard. Ca m'a pris exactement 4 jours avant de l'accepter, de l'intégrer et de l'aimer. Je passe toujours popur une mauvaise mère quand je raconte ça.
Bref
Tout ça pour dire que je me méfie des conseils même de personnes que j'estime car "chacun sa route" et la mienne est tordue
Bon désolée encore une fois Lolo, je crois que je vais finir par ouvrir un autre fil et arrêter de jouer les Bernard (Lermitte)
Swoosh- Super Tchatcheur
- 20/05/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
"je vais devoir passer à côté de sensations que j'adorais et que je pourrai jamais remplacer."
Cristal, çà c'est Swoosh qui dit çà, moi ce n'est pas du tout ma problématique!
Le "décollage" procuré par l'alcool, je peux me le procurer tout à fait sans alcool, pour
une fois que le fait d'être "trop cérébrale" est vraiment utile, je ne m'en prive pas!
La soupape, elle pourrait aussi bien être médicamenteuse, dans ces cas où j'ai besoin de m'abstraire.
De toute façon je suis en train de bien avancer là dessus en art-T.
La valoche, elle trimballe l'identité qu'on m'a collée sur le dos sans que je le sache jusqu'à mes 33 ans. Toute la famille, les amis et le bled au courant ...
Le géniteur, bizarrement il m'a suivie scolairement, très content des résultats d'ailleurs, toujours reparti souriant
devant les bulletins invariables (1ere ou 2e de la classe, et zéro de conduite pointé, gros dossier chaque trimestre).
Donc c'est à moi de voir, c'est ce dont je m'occupe en thérapie.
En tout cas j'ai lu un tas de trucs là dessus, et je suis résolument pour dire les choses aux enfants
quand ils sont petits. Ils peuvent grandir avec, se construire même sur des drames.
Par contre, leur mentir, les laisser se construire dans les non dits et les sous entendus, et qu'ils
s'écroulent le jour où ils découvrent le pot au roses, çà c'est néfaste!
çà fait 14 ans que je sais, et c'est maintenant seulement que c'est "mon" problème.
La famille n'a plus rien à voir avec çà.
Bref, il n'y a aussi que maintenant que je peux réfléchir sainement, ayant "dépollué" ma vie
de beaucoup de choses.
Par contre Pascal, je ne sais pas où tu as vu que j'ai une vie sentimentale heureuse?
Euuuh! Pas grand chose ne survit à l'alcool, mais l'abstinence fait aussi le ménage!
Je verrai bien quand çà me prendra, pour l'instant j'ai pas la place!
Et puis comme je n'aime que les artistes ou les voyous.... [quote]
C'est çà d'avoir des goûts risqués, faut vraiment peser le pour et le contre!
Je ne crois pas, de toute façon, que c'est ici que j'en parlerai quand je serai "tout contre"
Swoosh la bernardine! J'ai vu ton message! Oui, çà m'intéresserait bien aussi de parler de la
maternité, de la cohabitation "femme / mère", mais rouvre un fil! C'est vrai avec ton verrou sur l'ancien,
on dirait la ceinture de chasteté d'une femme du moyen âge qui se ballade!
Cristal, çà c'est Swoosh qui dit çà, moi ce n'est pas du tout ma problématique!
Le "décollage" procuré par l'alcool, je peux me le procurer tout à fait sans alcool, pour
une fois que le fait d'être "trop cérébrale" est vraiment utile, je ne m'en prive pas!
La soupape, elle pourrait aussi bien être médicamenteuse, dans ces cas où j'ai besoin de m'abstraire.
De toute façon je suis en train de bien avancer là dessus en art-T.
Donc t'as une valoche à ouvrir aussi ou à laisser fermée concernant ton géniteur.
La voilà peut être la cause des besoins de défonce je suppose les jours de cafard, les jours ou tu te demandes" qui suis-je ou erre je?"
Je te donne juste mon avis de (vieux...) mec
Tu es heureuse professionnellement, socialement sentimentalement. Pourquoi t'imposer une épreuve supplémentaire face à un gars qui, s'il a connaissance de ton existence, n'a pas fait le moindre geste pour te voir?
La valoche, elle trimballe l'identité qu'on m'a collée sur le dos sans que je le sache jusqu'à mes 33 ans. Toute la famille, les amis et le bled au courant ...
Le géniteur, bizarrement il m'a suivie scolairement, très content des résultats d'ailleurs, toujours reparti souriant
devant les bulletins invariables (1ere ou 2e de la classe, et zéro de conduite pointé, gros dossier chaque trimestre).
Donc c'est à moi de voir, c'est ce dont je m'occupe en thérapie.
En tout cas j'ai lu un tas de trucs là dessus, et je suis résolument pour dire les choses aux enfants
quand ils sont petits. Ils peuvent grandir avec, se construire même sur des drames.
Par contre, leur mentir, les laisser se construire dans les non dits et les sous entendus, et qu'ils
s'écroulent le jour où ils découvrent le pot au roses, çà c'est néfaste!
çà fait 14 ans que je sais, et c'est maintenant seulement que c'est "mon" problème.
La famille n'a plus rien à voir avec çà.
Bref, il n'y a aussi que maintenant que je peux réfléchir sainement, ayant "dépollué" ma vie
de beaucoup de choses.
Par contre Pascal, je ne sais pas où tu as vu que j'ai une vie sentimentale heureuse?
Euuuh! Pas grand chose ne survit à l'alcool, mais l'abstinence fait aussi le ménage!
Je verrai bien quand çà me prendra, pour l'instant j'ai pas la place!
Et puis comme je n'aime que les artistes ou les voyous.... [quote]
C'est çà d'avoir des goûts risqués, faut vraiment peser le pour et le contre!
Je ne crois pas, de toute façon, que c'est ici que j'en parlerai quand je serai "tout contre"
Swoosh la bernardine! J'ai vu ton message! Oui, çà m'intéresserait bien aussi de parler de la
maternité, de la cohabitation "femme / mère", mais rouvre un fil! C'est vrai avec ton verrou sur l'ancien,
on dirait la ceinture de chasteté d'une femme du moyen âge qui se ballade!
lolo6- Super Tchatcheur
- 24/06/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
Vilaine
Je viens juste d'ouvrir un nouveau fil, tout en vert !!
Je viens juste d'ouvrir un nouveau fil, tout en vert !!
Swoosh- Super Tchatcheur
- 20/05/2012
Re: POUVOIR DIRE NON sans expliquer à tous...
"Par contre Pascal, je ne sais pas où tu as vu que j'ai une vie sentimentale heureuse?"
Je l'ai supputé mais peut être me trompe je!
pascal1- Super Tchatcheur
- 03/03/2012
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