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Pensées plurielles.
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zabou83
JOSEPHA
SHALE
ppp
cristal
tulipe noire
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Re: Pensées plurielles.
Je commence à te connaître un peu Cristal et je comprends pourquoi tu as retenue ce paragraphe, tellement juste!
Très chère Shale, je comprends aussi très bien ton point de vue au sujet de J.Salomé, hors il s'avère que moi j'apprécie fort ce monsieur , alors à part le critiquer, et juste dire qu'il ne te plait pas, pourrais-tu m'expliquer pourquoi ? la critique constructive fait souvent avancer notre compréhension, et illuminera mon esprit un peu lent .
Donc autre texte de ce Monsieur
Quand je te demande d'être écouté
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me donner des conseils,
je ne me sens pas entendu.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu me poses des questions,
quand tu argumentes,
quand tu tentes de m'expliquer ce que je ressens
ou ne devrais pas ressentir,
je me sens agressé.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu t'empares de ce que je dis
pour tenter de résoudre ce que tu crois être mon problème
aussi étrange que cela puisse paraître,
je me sens encore plus en perdition.
Quand je te demande ton écoute,
je te demande d'être là, au présent,
dans cet instant si fragile où je me cherche
dans une parole parfois maladroite,
inquiétante, injuste ou chaotique.
J'ai besoin de ton oreille, de ta tolérance,
de ta patience pour me dire au plus difficile comme au plus léger.
Oui simplement m'écouter… sans explication ou accusation,
sans dépossession de ma parole.
Écoute, écoute-moi.
Tout ce que je te demande, c'est de m'écouter.
Au plus proche de moi.
Simplement accueillir ce que je tente de te dire,
ce que j'essaie de me dire.
Ne m'interromps pas dans mon murmure,
n'aie pas peur de mes tâtonnements ou de mes imprécations.
Mes contradictions comme mes accusations,
aussi injustes soient-elles, sont importantes pour moi.
Par ton écoute je tente de dire ma différence,
j'essaie de me faire entendre surtout de moi-même.
J'accède ainsi à une parole propre,
celle dont j'ai été longtemps dépossédé.
Oh non, je n'ai pas besoin de conseils.
Je peux agir par moi-même et aussi me tromper.
Je ne suis pas impuissant,
parfois démuni, découragé, hésitant, pas toujours impotent.
Si tu veux faire pour moi,
tu contribues à ma peur,
tu accentues mon inadéquation et
peut-être renforce ma dépendance.
Quand je me sens écouté, je peux enfin m'entendre.
Quand je me sens écouté, je peux entrer en alliance.
Établir des ponts, des passerelles incertaines
entre mon histoire et mes histoires.
Relier des évènements, des situations,
des rencontres ou des émotions pour en faire la trame de mes interrogations.
Pour tisser ainsi l'écoute de ma vie.
Oui ton écoute est passionnante.
S'il te plaît écoute et entends-moi.
Et si tu veux parler à ton tour, attends juste un instant
que je puisse terminer et je t'écouterai à mon tour,
mieux, surtout si je me suis senti entendu.
Jacques Salomé.
Très chère Shale, je comprends aussi très bien ton point de vue au sujet de J.Salomé, hors il s'avère que moi j'apprécie fort ce monsieur , alors à part le critiquer, et juste dire qu'il ne te plait pas, pourrais-tu m'expliquer pourquoi ? la critique constructive fait souvent avancer notre compréhension, et illuminera mon esprit un peu lent .
Donc autre texte de ce Monsieur
Quand je te demande d'être écouté
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me donner des conseils,
je ne me sens pas entendu.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu me poses des questions,
quand tu argumentes,
quand tu tentes de m'expliquer ce que je ressens
ou ne devrais pas ressentir,
je me sens agressé.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu t'empares de ce que je dis
pour tenter de résoudre ce que tu crois être mon problème
aussi étrange que cela puisse paraître,
je me sens encore plus en perdition.
Quand je te demande ton écoute,
je te demande d'être là, au présent,
dans cet instant si fragile où je me cherche
dans une parole parfois maladroite,
inquiétante, injuste ou chaotique.
J'ai besoin de ton oreille, de ta tolérance,
de ta patience pour me dire au plus difficile comme au plus léger.
Oui simplement m'écouter… sans explication ou accusation,
sans dépossession de ma parole.
Écoute, écoute-moi.
Tout ce que je te demande, c'est de m'écouter.
Au plus proche de moi.
Simplement accueillir ce que je tente de te dire,
ce que j'essaie de me dire.
Ne m'interromps pas dans mon murmure,
n'aie pas peur de mes tâtonnements ou de mes imprécations.
Mes contradictions comme mes accusations,
aussi injustes soient-elles, sont importantes pour moi.
Par ton écoute je tente de dire ma différence,
j'essaie de me faire entendre surtout de moi-même.
J'accède ainsi à une parole propre,
celle dont j'ai été longtemps dépossédé.
Oh non, je n'ai pas besoin de conseils.
Je peux agir par moi-même et aussi me tromper.
Je ne suis pas impuissant,
parfois démuni, découragé, hésitant, pas toujours impotent.
Si tu veux faire pour moi,
tu contribues à ma peur,
tu accentues mon inadéquation et
peut-être renforce ma dépendance.
Quand je me sens écouté, je peux enfin m'entendre.
Quand je me sens écouté, je peux entrer en alliance.
Établir des ponts, des passerelles incertaines
entre mon histoire et mes histoires.
Relier des évènements, des situations,
des rencontres ou des émotions pour en faire la trame de mes interrogations.
Pour tisser ainsi l'écoute de ma vie.
Oui ton écoute est passionnante.
S'il te plaît écoute et entends-moi.
Et si tu veux parler à ton tour, attends juste un instant
que je puisse terminer et je t'écouterai à mon tour,
mieux, surtout si je me suis senti entendu.
Jacques Salomé.
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
Si tu veux je ressens les textes de Jacques Salomé comme du prêchi-prêcha....Arrivé à la fin, je ne me souviens même plus de quoi il parlait...Ce qu'il dit en une page pourrait être dit en dix lignes....Mais c'est surtout le ton qu'il emploie que je n'aime pas du tout...Pour ma part, je trouve qu'il va bien avec les AA.....Mais bon, c'est mon ressenti, alors n'en tenez pas compte....
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Pensées plurielles.
Tiens c'est amusant que tu le perçoives ainsi, mais justement j'essaye de comprendre l'origine de ton désamour pour cet auteur et je respecte aussi les AA.
Je ne suis absolument pas et résolument pas pour les groupe de paroles AA, je n'apprécie pas leur sectarisme, et les étapes, même s'ils ont de bons résultats pour l'aide aux MA, je ne m'y reconnais pas du tout.
Par contre la façon dont il analyse et expose de façon juste, posée ,ses pensées me plait, où chaque mot choisit a son importance et sa place, ils ne sont pas écrits de façon anodine non plus, bref je m'y retrouve justement!
Pour certains la mer est bleue, et salée point barre, alors que pour d'autres elle sera irisée, ondulante, avec des nuances bleutées, sur lesquels il y a une palette de reflets argentés, dégageant un odeur suave et iodée!
Je ne suis absolument pas et résolument pas pour les groupe de paroles AA, je n'apprécie pas leur sectarisme, et les étapes, même s'ils ont de bons résultats pour l'aide aux MA, je ne m'y reconnais pas du tout.
Par contre la façon dont il analyse et expose de façon juste, posée ,ses pensées me plait, où chaque mot choisit a son importance et sa place, ils ne sont pas écrits de façon anodine non plus, bref je m'y retrouve justement!
Pour certains la mer est bleue, et salée point barre, alors que pour d'autres elle sera irisée, ondulante, avec des nuances bleutées, sur lesquels il y a une palette de reflets argentés, dégageant un odeur suave et iodée!
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
Et oui, on ne regarde pas la même mer.....(mère?)
Mais je sais que vous êtes beaucoup à aimer Jacques Salomé, alors je pense qu'il vous apporte quelque chose que je n'y trouve pas, ce n'est pas grave, c'est peut-être mon autisme qui me fait voir les choses de façon très différente de vous, c'est possible.....Mais continuez surtout à l'aimez s'il vous fait du bien....
Mais je sais que vous êtes beaucoup à aimer Jacques Salomé, alors je pense qu'il vous apporte quelque chose que je n'y trouve pas, ce n'est pas grave, c'est peut-être mon autisme qui me fait voir les choses de façon très différente de vous, c'est possible.....Mais continuez surtout à l'aimez s'il vous fait du bien....
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Pensées plurielles.
ton autisme t'enlève toute sensation ou émotion,dans les textes de Salomé,tout est dans les ressentis,il touche nos émotions avec ses mots choisi justement pour que cela fasse tilt,on se retrouve beaucoup dans ses textes parce qu'ils nous parlent directement dans le coeur.
Il y a un blocage en toi qui t'empêche de comprendre certaines choses au delà des mots, j'aurais été très surprise que tu y trouves ton comte avec lui
Il y a un blocage en toi qui t'empêche de comprendre certaines choses au delà des mots, j'aurais été très surprise que tu y trouves ton comte avec lui
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: Pensées plurielles.
ah oui mer, (mère) , elle m'emmer2 jusqu'à mon inconscient !!! merci de l'avoir relevé!
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
Non mais tu ne crois pas Cristal que je vais laisser Salomé venir parler avec mon coeur, je voudrais voir ça!!!!
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Pensées plurielles.
quoique tu dises ma pauvre Cristal ça ne va jamais
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
tu as raison Tulipe mais je vais te faire une confidence, c'est pas pour elle que j'écris mais pour les onsaidiens, qu'ils sachent pourquoi shale est souvent bizarre
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: Pensées plurielles.
Petit message que je trouve tout à fait juste!
" Si nous voulons que nos comportements répétitifs servent à quelque chose, il faut rafraîchir notre vision et en tirer un enseignement. Il s'agit de reconnaître l'action des parties destructrices en soi pour être en mesure de changer d'attitude.
Qu'est ce qui engendre ces répétitions? Ce sont ces agglomérations de sentiments, de comportements, de besoins, de croyances et d'attitudes qui se nomment: des complexes.
Or les complexes ne sont pas des choses mortes, loin s'en faut. Ce sont des forces, des valeurs, des émotions, des facteurs. Ils conditionnent notre destin à notre insu et nous en rendent victime. Ils attirent comme des aimants des situations qui ressemblent à celles de notre enfance, des situations venues du même corridor d'expériences que celles déjà vécues. En somme, les complexes inconscients sont les principaux responsables des drames répétitifs et des situations récurrentes de nos vies. " Guy Corneau
" Si nous voulons que nos comportements répétitifs servent à quelque chose, il faut rafraîchir notre vision et en tirer un enseignement. Il s'agit de reconnaître l'action des parties destructrices en soi pour être en mesure de changer d'attitude.
Qu'est ce qui engendre ces répétitions? Ce sont ces agglomérations de sentiments, de comportements, de besoins, de croyances et d'attitudes qui se nomment: des complexes.
Or les complexes ne sont pas des choses mortes, loin s'en faut. Ce sont des forces, des valeurs, des émotions, des facteurs. Ils conditionnent notre destin à notre insu et nous en rendent victime. Ils attirent comme des aimants des situations qui ressemblent à celles de notre enfance, des situations venues du même corridor d'expériences que celles déjà vécues. En somme, les complexes inconscients sont les principaux responsables des drames répétitifs et des situations récurrentes de nos vies. " Guy Corneau
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
" CHAPITRE 1 :
Je descends la rue, il y a un grand trou dans le trottoir, j'y tombe, je suis perdu, je me sens sans aide, ce n'est pas de ma faute, cela me prend une éternité pour trouver le moyen de sortir du trou.
CHAPITRE 2 :
Je descends la même rue, il y a un grand trou dans le trottoir, je prétends que je ne le vois pas, j'y tombe une fois de plus, je n'arrive pas à croire que je suis au même endroit, mais ce n'est pas de ma faute, il me faut un long moment pour en sortir.
CHAPITRE 3 :
Je descends la même rue, il y a un grand trou dans le trottoir, je vois qu'il est là, j'y tombe encore, c'est devenu une habitude, mais mes yeux se sont ouverts, je sais où je suis, j'assume ma responsabilité, j'en sors immédiatement.
CHAPITRE 4 :
Je descends la même rue, il y a un grand trou dans le trottoir, je le contourne.
CHAPITRE 5 :
Je descends une autre rue. "
Pierre Pradervand
Je descends la rue, il y a un grand trou dans le trottoir, j'y tombe, je suis perdu, je me sens sans aide, ce n'est pas de ma faute, cela me prend une éternité pour trouver le moyen de sortir du trou.
CHAPITRE 2 :
Je descends la même rue, il y a un grand trou dans le trottoir, je prétends que je ne le vois pas, j'y tombe une fois de plus, je n'arrive pas à croire que je suis au même endroit, mais ce n'est pas de ma faute, il me faut un long moment pour en sortir.
CHAPITRE 3 :
Je descends la même rue, il y a un grand trou dans le trottoir, je vois qu'il est là, j'y tombe encore, c'est devenu une habitude, mais mes yeux se sont ouverts, je sais où je suis, j'assume ma responsabilité, j'en sors immédiatement.
CHAPITRE 4 :
Je descends la même rue, il y a un grand trou dans le trottoir, je le contourne.
CHAPITRE 5 :
Je descends une autre rue. "
Pierre Pradervand
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
Il faut quand même être un peu con pour y tomber trois fois de suite !!!!
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Pensées plurielles.
oui mais au moins il en est sorti,toi tu es toujours dedans je te signale!!!
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: Pensées plurielles.
CHAPITRE 4 :
Je descends la même rue, il y a un grand trou dans le trottoir, je le contourne. :
En lien avec l'alcool des collègues durant l'expédition de chasse à l'orignal, j'en suis là, avec mon idée, pour l'an prochain, d'y aller la moitié du temps, de réduire mon engagement.
Le chapitre 5, je ne me vois pas encore le faire, mais il sera essentiel un jour. Soit stopper cette activité, soit trouver l'énergie de prospecter un autre territoire et de m'affilier à d'autres copains, ceux-là, beaucoup moins portés sur l'alcool ou carrément sobres. Je ne me vois dans un tel projet pour le moment.
Je réfléchi ici sur ce sujet, encore, merci de me tolérer avec cela :-)
Je descends la même rue, il y a un grand trou dans le trottoir, je le contourne. :
En lien avec l'alcool des collègues durant l'expédition de chasse à l'orignal, j'en suis là, avec mon idée, pour l'an prochain, d'y aller la moitié du temps, de réduire mon engagement.
Le chapitre 5, je ne me vois pas encore le faire, mais il sera essentiel un jour. Soit stopper cette activité, soit trouver l'énergie de prospecter un autre territoire et de m'affilier à d'autres copains, ceux-là, beaucoup moins portés sur l'alcool ou carrément sobres. Je ne me vois dans un tel projet pour le moment.
Je réfléchi ici sur ce sujet, encore, merci de me tolérer avec cela :-)
ppp- Super Tchatcheur
- 24/02/2019
Re: Pensées plurielles.
Je réagis comme toi avec les invitations que j'accepte régulièrement de ma bande d'anciens commerçants, les métiers de bouches (traiteurs, bouchers, poissonniers ect...) se sont de sacrés noceurs, et bons vivants! Est-ce de l'intolérance? Sans doute non! une sorte d'agacement, je le pense, du fait qu'ils me renvoient une ancienne image que j'ai rayé de "ma carte mémoire". Quand ils commencent leurs" délires" , je prends congé, et toi tu vas dormir sous ta tente!
Sans doute qu'il nous faut prendre encore plus de recul, de détachement , de "j'en foutisme".Cependant, j'ai aussi de bonnes copines qui certes sont de grosses consommatrices, mais qui savent au moins les soirs où l'on sort ensemble rester sobres et boire très peu, ou tout du moins respecter ma non consommation volontaire et choisie.
Considère cela comme une "étape" morale finale dans la démarche ! ou sinon si ça te pèse, après tout c'est d'abord et toujours ton confort intellectuel et de vie qui priment, alors tu parts et "next" comme dirait l'autre! Apprendre à rester égoïste et dire non, pour son bien-être!
Sans doute qu'il nous faut prendre encore plus de recul, de détachement , de "j'en foutisme".Cependant, j'ai aussi de bonnes copines qui certes sont de grosses consommatrices, mais qui savent au moins les soirs où l'on sort ensemble rester sobres et boire très peu, ou tout du moins respecter ma non consommation volontaire et choisie.
Considère cela comme une "étape" morale finale dans la démarche ! ou sinon si ça te pèse, après tout c'est d'abord et toujours ton confort intellectuel et de vie qui priment, alors tu parts et "next" comme dirait l'autre! Apprendre à rester égoïste et dire non, pour son bien-être!
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
tulipe noire a écrit:Je réagis comme toi avec les invitations que j'accepte régulièrement de ma bande d'anciens commerçants, les métiers de bouches (traiteurs, bouchers, poissonniers ect...) se sont de sacrés noceurs, et bons vivants! Est-ce de l'intolérance? Sans doute non! une sorte d'agacement, je le pense, du fait qu'ils me renvoient une ancienne image que j'ai rayé de "ma carte mémoire". Quand ils commencent leurs" délires" , je prends congé, et toi tu vas dormir sous ta tente!
Sans doute qu'il nous faut prendre encore plus de recul, de détachement , de "j'en foutisme".Cependant, j'ai aussi de bonnes copines qui certes sont de grosses consommatrices, mais qui savent au moins les soirs où l'on sort ensemble rester sobres et boire très peu, ou tout du moins respecter ma non consommation volontaire et choisie.
Considère cela comme une "étape" morale finale dans la démarche ! ou sinon si ça te pèse, après tout c'est d'abord et toujours ton confort intellectuel et de vie qui priment, alors tu parts et "next" comme dirait l'autre! Apprendre à rester égoïste et dire non, pour son bien-être!
Oui Tulipe, tu m'épaules bien ici avec ça :-)
Un seul dans les trois manque de tact en plus, si ce n'était des deux autres, je ne poserais même pas ces questions. Ce troisième, c'est comme s'il faisait de l'alcool, un 5 e copain de chasse, tellement il met l'emphase sur ce poison.
Nous devons aussi apprendre à vivre avec ce produit, même ne le consommant plus. Quelle histoire ...
:-)
ppp
ppp- Super Tchatcheur
- 24/02/2019
Re: Pensées plurielles.
Tu vois je pense que le 3 EM doit se douter qu'il a un problème peut être avec l'alcool, et souhaite sournoisement que cela risquerait de t'inviter à consommer, ou alors à toi d'essayer de lui ouvrir les yeux.
Sinon next ... Tu vois ce que je veux te dire...
Ou alors changer ce 3 em ?
Quelque part tu as un immense plaisir avec cette chasse, un peu gâché par ce 3 em, alors à toi de choisir. Mais plus de t'obliger à le supporter .
Enfin c'est mon avis, il vaut ce qu'il vaut.
Tu veux un petit texte
Sinon next ... Tu vois ce que je veux te dire...
Ou alors changer ce 3 em ?
Quelque part tu as un immense plaisir avec cette chasse, un peu gâché par ce 3 em, alors à toi de choisir. Mais plus de t'obliger à le supporter .
Enfin c'est mon avis, il vaut ce qu'il vaut.
Tu veux un petit texte
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
tulipe noire a écrit:Tu vois je pense que le 3 EM doit se douter qu'il a un problème peut être avec l'alcool, et souhaite sournoisement que cela risquerait de t'inviter à consommer, ou alors à toi d'essayer de lui ouvrir les yeux.
Sinon next ... Tu vois ce que je veux te dire...
Ou alors changer ce 3 em ?
Quelque part tu as un immense plaisir avec cette chasse, un peu gâché par ce 3 em, alors à toi de choisir. Mais plus de t'obliger à le supporter .
Enfin c'est mon avis, il vaut ce qu'il vaut.
Tu veux un petit texte
Un soir, alors que nous étions attablés, il m'a demandé des explications sur ma conso avant d'arreter, pour comprendre les raisons de mon choix d'arrêter et d'aller en cure pour le faire. Leur ai donné les explications de base, fonctionnement de l'alcool sur les cerveaux des dépendants, etc. Tout cela, en me prenant en exemple, en leur disant même qu'ils étaient chanceux, eux, de ne pas avoir la dépendance (même si je pense que lui, il l'est dépendant). À un moment, il m'a dit que mes explications les faisaient se sentir coupables. Je lui ai alors dit que je ne faisais que répondre à sa question et que je me prenait en exemple en plus. Il n'a pas répondu, cela lui appartient.
Tout tes textes sont le bienvenus ma chère :-)
ppp- Super Tchatcheur
- 24/02/2019
Re: Pensées plurielles.
Je partage l'avis de Tulipe, il est évident que ce troisième personnage a des problèmes avec l'alcool pour avoir autant envie que tout le monde boive pour le déculpabiliser de ses envies à lui.....Alors je crois qu'il faut que tu revois les modalité de cette chasse, avec qui, comment, où, pour que ce soit gérable pour toi....
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Pensées plurielles.
SHALE a écrit:Je partage l'avis de Tulipe, il est évident que ce troisième personnage a des problèmes avec l'alcool pour avoir autant envie que tout le monde boive pour le déculpabiliser de ses envies à lui.....Alors je crois qu'il faut que tu revois les modalité de cette chasse, avec qui, comment, où, pour que ce soit gérable pour toi....
L'an prochain je coupe mon séjours de moitié, et je n'y vais que lorsque la météo coincide avec l'activité accrue des orignaux. C'est ma première étape. En 4 jours, il n'aura pas le temps de m'importuner autant.
On va voir, c'est dans un an hihihi
ppp
ppp- Super Tchatcheur
- 24/02/2019
Re: Pensées plurielles.
" Toutes nos découvertes ne se font qu’à l’intérieur de nous-mêmes, ce sont des ressentis. Nous comprenons souvent intellectuellement nos étapes et nous les acceptons, mais notre corps et notre inconscient ont besoin de les ressentir, puis, plus tard, de les intégrer et pouvoir passer à l’étape suivante, il est impossible de faire autrement. " André Lemoine
Tiens !! voilà mon ressenti!
Tiens !! voilà mon ressenti!
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
Il a réussi, lui !… Elle a réussi, elle !…
" Combien de fois n’a-t-on entendu cette petite phrase assassine, dès la plus tendre enfance et à chaque âge de la vie, qui s’en vint aussitôt assombrir le regard éteindre le sourire, susurrée mielleusement d’un ton accusateur, qui en disait bien plus long que les quatre mots qui la composent, faisant tacitement référence à lui, à l’autre, celui-ci ou celle-là, bref à tout autre que soi, puisque, bien évidemment, aux yeux du juge sans procès, nous faisions partie de ceux… qui n’avaient pas réussi !
Et combien de fois cette petite phrase insidieuse n’est-elle allée se lover en nos strates les plus intimes, faisant éclore, au choix ou tous ensemble : regrets et remords, une belle culpabilité et même un bout de honte, un diffus sentiment d’échec et d’injustice, et la révolte, et l’envie de tout envoyer en l’air tant qu’à faire ?
Pour parvenir un jour à ce que cette phrase nous fasse sourire. Si, si. Parce que, à supposer que l’on n’ait pas réussi là où l’accusateur voit un succès éclatant, c’est sans doute que nous avons découvert de plus intéressantes ascensions, déplacé nos objectifs et nos priorités, et « réussi » en des domaines qui nous semblent bien plus enrichissants que le ptit boulot, le ptit dodo… avec son ptit manteau, avec son ptit chapeau, avec sa ptite auto… comme disait Brel
Nous prenons alors un air entendu, assuré, épanoui, détaché, nous disant intérieurement que finalement, nous sommes heureux, riches de nos expériences in chiffrables, et fort contents alors, tout compte fait, de… « n’avoir pas réussi »… " Auteur inconnu
Dans un tout autre registre! Un autre texte, qui me conduit à la réflexion suivante, c'est de nos échecs que l'on apprend à avancer!
" Combien de fois n’a-t-on entendu cette petite phrase assassine, dès la plus tendre enfance et à chaque âge de la vie, qui s’en vint aussitôt assombrir le regard éteindre le sourire, susurrée mielleusement d’un ton accusateur, qui en disait bien plus long que les quatre mots qui la composent, faisant tacitement référence à lui, à l’autre, celui-ci ou celle-là, bref à tout autre que soi, puisque, bien évidemment, aux yeux du juge sans procès, nous faisions partie de ceux… qui n’avaient pas réussi !
Et combien de fois cette petite phrase insidieuse n’est-elle allée se lover en nos strates les plus intimes, faisant éclore, au choix ou tous ensemble : regrets et remords, une belle culpabilité et même un bout de honte, un diffus sentiment d’échec et d’injustice, et la révolte, et l’envie de tout envoyer en l’air tant qu’à faire ?
Pour parvenir un jour à ce que cette phrase nous fasse sourire. Si, si. Parce que, à supposer que l’on n’ait pas réussi là où l’accusateur voit un succès éclatant, c’est sans doute que nous avons découvert de plus intéressantes ascensions, déplacé nos objectifs et nos priorités, et « réussi » en des domaines qui nous semblent bien plus enrichissants que le ptit boulot, le ptit dodo… avec son ptit manteau, avec son ptit chapeau, avec sa ptite auto… comme disait Brel
Nous prenons alors un air entendu, assuré, épanoui, détaché, nous disant intérieurement que finalement, nous sommes heureux, riches de nos expériences in chiffrables, et fort contents alors, tout compte fait, de… « n’avoir pas réussi »… " Auteur inconnu
Dans un tout autre registre! Un autre texte, qui me conduit à la réflexion suivante, c'est de nos échecs que l'on apprend à avancer!
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Pensées plurielles.
Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude, refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement celui qui évite la passion et son tourbillon d’émotions, celles qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les cœurs blessés.
Il meurt lentement celui qui ne change pas de cap lorsqu'’il est malheureux au travail ou en amour, celui qui ne prend pas de risque pour réaliser ses rêves, celui qui, pas une seule fois dans sa vie n’a fuit les conseils sensés.
Vis maintenant !
Risque-toi aujourd’hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d’être heureux !
Pablo Neruda – Prix Nobel de littérature 1971
Bon week-end!!!
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
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