envies de se "basarder la tête" après 4 mois de sevrage

bonjour,
bon, moi aprés mon sevrage et ma cure j'avais mal partout, mais j'avais retrouver la forme dans ma tete, mais quand meme faut compter un certain temps pour bien retrouver ces esprit, et physiquement, on en à fait baver à notre corps lors de nos alcoolisations, si bien qu'il lui faut un certain temps, et puis nos anciennes doulheurs ont les sentaient plus avec l'alcool, mais au bout de 5 mois...c'est un peu long, va en discuter avec ton médecin, faut pas tout mettre sur le dos de l'alcool, c'est trop facile et imprudent...tu a peu etre des carences ou autre choses que des vitamines et prise de sang pour controle pourrait arranger! alors t'affoles pas mais va chez le toubib...

a oui,
pour celui qui boit de temps en termps une 8,6 en cachette, et le médecin qui a l'air de dire que c'est pas grave...c'est pas cool, c'est comme ca que j'ai rechutée, et j'ai un ami de mon MAB qui a voulu faire la meme chose, ca a durer bien 3 moi, et maintenant ca commence à etre la cata!... alors c'est rien pas une goutte c'est trop risquer, et ca fait trop ruminer...

Pour tes douleurs, ça ressemble à de l'arthrose, mais va voir un médecin, en tout cas, je ne pense pas que ce soit lié à l'arrêt de l'alcool, si c'est lié, c'est plutôt l'alcool qui a fait des dégâts que tu ressens maintenant...
Pour le médecin, il ne doit pas bien connaître la maladie alcoolique. Effectivement cet homme va gérer pendant quelques temps sa bière en cachette, tout de même, mais à la première contrariété, ou croyant qu'il gère, il va augmenter peu à peu la consommation et je prends les paris que dans six mois, il est redevenu à sa consommation de crise. Il y en a plein sur ce forum qui ont essayé de gérer eux aussi, ils peuvent te dire comment ça s'est terminé!!!

corinne85 a écrit:a oui,
pour celui qui boit de temps en termps une 8,6 en cachette, et le médecin qui a l'air de dire que c'est pas grave...c'est pas cool, c'est comme ca que j'ai rechutée, et j'ai un ami de mon MAB qui a voulu faire la meme chose, ca a durer bien 3 moi, et maintenant ca commence à etre la cata!... alors c'est rien pas une goutte c'est trop risquer, et ca fait trop ruminer...

Oui, toi, Shale et Cristal, vous avez forcément raison. D'autres sur le forum racontent le processus de rechute exactement comme çà.
En fait, aujourd'hui il n'est pas venu au groupe de parole, j'espère qu'il se sera ressaisit, il est sympa.

Dans le genre "rechute", je m'étais fait un bon copain en cure, il en est à sa deuxième redescente depuis avril.
Il me dit que je lui suis nécessaire pour "tenir", il appelle bourré, on prévoit une sortie restau, et à chaque fois il annule par SMS.

Il rentre début septembre pour 3 mois (addicto et dépression). Pour l'instant, je marche sur des oeufs, je n'ai pas envie de le laisser tomber. A chaque fois il se sent morveux, fait le mort, je lui laisse quelques messages pour lui proposer un truc à faire ensemble, et il finit par réapparaitre très bien, me disant que maintenant çà ira...

Je trouve çà déstabilisant, je crois que je vais devoir lui dire de ne plus me contacter quand il a bu.
Et je ne vais pas prendre ses coordonnées pour les vacances.

En tout cas, quand on nous dit en cure qu'il y a environ 80% d'échecs, eh bien c'est vrai.
çà donne le vertige
L.

... ne correspondent pas à des carences, piste déjà explorée, il faut que je refasse une prise de sang à la rentrée.
Vous avez peut-être raison, je paie tous mes abus, les gadins à répétition, les fractures...

J'ai vu mon ostéo ce matin, il m'a dit en rigolant "Euuh, vous n'en n'avez pas marre de tomber?"

Enfin bon, tant que je peux tenir à une table à dessin, je pourrai accepter.

Bonne soirée à vous, et Corinne, tiens bon!

Parler avec un MA en rechute est toujours dangereux pour un MA qui essaie d'arrêter. C'est toujours celui qui est en rechute qui tire l'autre vers le bas, c'est rarement le contraire, je parle bien sûr en début d'abstinence.
Alors oui, tu le fuis quand il t'appelle alcoolisé, tu zappes ses numéros et tu prends le large....

SHALE a écrit:Parler avec un MA en rechute est toujours dangereux pour un MA qui essaie d'arrêter. C'est toujours celui qui est en rechute qui tire l'autre vers le bas, c'est rarement le contraire, je parle bien sûr en début d'abstinence.
Alors oui, tu le fuis quand il t'appelle alcoolisé, tu zappes ses numéros et tu prends le large....

Bonsoir,
Eh bien c'est fait. En avril, suite à sa première rechute et son attitude, j'avais déjà enlevé son contact dans mes téléphones.
Là je lui ai envoyé un mail (pas envie d'entendre une ombre au téléphone ni de laisser un message anodin).
Je lui ai bien précisé que je l'appréciais, mais que je ne pouvais pas supporter çà (ni l'envie ni les épaules
pour le faire).

Donc je verrai bien dans plusieurs mois, quand il aura fait sa 3e cure. Mais j'en fais mon deuil, je ne peux pas me permettre ce type de relation instable.

Merci pour cette confirmation, qui me permet aussi de ne pas culpabiliser pour continuer à mener ma barque

tu as très bien fait, c'est dejà difficile d'avancer seule,si en plus on traine un boulet derrière soi(boulet n'etant pas péjoratif,c'est une image hein )on perd du temps et de l’énergie

dans ce combat ,c'est concentration sur toi a 100%,l'aide viendra quand tu seras apte et solide

Salut lolo
Christal a raison...Dans les cures et dans la vie de tous les jours on se lie d'amitié envers certaines personnes, et du coup quand il y'a une crise, on cherche à la réconforter ou vice-versa, et comme on est trop jeune dans l'abstinence car pas assez de recul on se met en péril.....Moi j'ai perdu tous mes contactes de mes 3 cures sauf une personne car nous sommes dans la même asso....
Ma nouvelle vie m'a ouvert d'autres horizons et beaucoup de nouveaux ami(e)s , de mes anciens amis il ne m'en reste à peine 5 (ceux qui m'ont soutenus dans mon combat)
tu as raisons de couper les ponts et tu ne vas en mourir, l'autres personnes si elle ne fait rien, te fera entrainer dans sa chute, retour des nuages et à la casse départ....La priorité c'est toi et ton confort personnel, ne va pas jouer les samaritain.

le petit poucet a écrit:
La priorité c'est toi et ton confort personnel, ne va pas jouer les samaritain.

Salut Poucet,
pour les connaissances de cure, c'est vite vu. Et c'est vrai que, récente abstinente, je ne peux pas me permettre.
J'essaie d'être aux aguets concernant les situations à risque, et comme tu dis le confort personnel est important.

J'ai remarqué depuis peu que c'étaient précisément les contrariétés qui laissaient le passage à des flash.
Là j'ai eu un problème de vol au distributeur, eh bien j'ai pensé direct à la vodka!
Par contre, j'ai passé un bon dîner (alcool présent pourtant), et là rien...

Donc, à quelques jours des vacances, j'essaie d'éliminer tout ce qui peut nuire à mon "confort personnel".
Quand il s'agit de sauver sa peau, l'égoïsme est de rigueur, et pour ceux qui ne seront pas du voyage, tant pis.

kikouyou a écrit:Hello lolo,

Raison pour laquelle, il ne faut pas réfléchir à la question est prendre un jour à la fois. Après des cailoux et des rechutes pendant 8 mois, voilà 2 mois et demi que je suis dans une abstinence heureuse.

Perso j'ai trouvé ce plaisir dans des sports qui comportent quelques risques. Je suis toujours prudente mais j'obtiens une immense satisfaction de progresser, de repousser mes limites toujours plus loin

Bonjour,
Vu que je suis dans une période pessimiste, j'ai relu mon post, et donc ton message, qui me frappe aujourd'hui.
"Cailloux et rechutes", qu'entends tu par là?
Des alcoolisations ponctuelles, sur un jour, plusieurs? Tu n'as pas eu besoin de refaire une cure?

Je demande çà parce que je suis quasi certaine d'avoir encore des chutes de volonté pendant ces vacances
J-4 ...

Et là, me dire "un jour après l'autre", çà sonne aux abonnés absents dans ma tête

En plus je ne pourrai même plus venir ici pour en parler, les boules...
J'aurai accès à un ordi,ma boîte mail perso, mais pas question que mes visites se voient dans l'historique (que je ne pourrai pas effacer sans que çà fasse louche).

alors on vient tous avec toi!
On se fera tout petits mais tu pourras compter sur nous car tu sentiras notre présence.

Je demande çà parce que je suis quasi certaine d'avoir encore des chutes de volonté pendant ces vacances
J-4 ...

ça s'appelle préparer sa réalcoolisation ça lolo!!!!
il n'y a aucune raison pour que tu ne te sortes pas des griffes du petit singe si tu emportes toutes les armes que tu as acquises depuis des semaines d'abstinence

alors NON,tu n'auras pas de rechutes car tu sais gerer les flashs maintenant et tu sais quoi répondre a ceux qui te proposeront de l'alcool alors,NON,tu n'auras pas de cailloux sur ta route et tu vas passer de très belles vacances le plus loin possible de ta famille,au bord de la mer et dès que tu seras invitée,tu sauras avant d'y aller contre attaquer les assauts du petit singe

si tu veux de nouveau des conseils pour tenir le coup lors de receptions,tu le dis sinon,relis ce qui t'a été dit et aussi "la boite a outils"

cristal a écrit:

Je demande çà parce que je suis quasi certaine d'avoir encore des chutes de volonté pendant ces vacances
J-4 ...

ça s'appelle préparer sa réalcoolisation ça lolo!!!!
il n'y a aucune raison pour que tu ne te sortes pas des griffes du petit singe [/img]

Ben oui mais... sans être dans ses griffes, je pense que je re-sentirai bien un de ses sales poils
que je trimballe et qui peuvent sortir de n'importe où.
Mais bon, aujourd'hui j'ai une telle envie que j'ai invité un copain à dîner pour me surveiller...

bien sur que tu seras tentée,il ne va pas te laisser te debarrasser de lui sans réagir,faut pas rêver
mais tu as ce qu'il te faut en toi pour le contrer encore faut il que tu veuilles le contrer et rester ds le combat!!

ça ne va pas être facile lolo mais tu peux le faire et revenir après tes vacances abstinente et victorieuse

tu en es a combien de jours,semaines même si je ne m’abuse ??

lolo6 a écrit:

kikouyou a écrit:Hello lolo,

Raison pour laquelle, il ne faut pas réfléchir à la question est prendre un jour à la fois. Après des cailoux et des rechutes pendant 8 mois, voilà 2 mois et demi que je suis dans une abstinence heureuse.

Perso j'ai trouvé ce plaisir dans des sports qui comportent quelques risques. Je suis toujours prudente mais j'obtiens une immense satisfaction de progresser, de repousser mes limites toujours plus loin

Bonjour,
Vu que je suis dans une période pessimiste, j'ai relu mon post, et donc ton message, qui me frappe aujourd'hui.
"Cailloux et rechutes", qu'entends tu par là?
Des alcoolisations ponctuelles, sur un jour, plusieurs? Tu n'as pas eu besoin de refaire une cure?

Je demande çà parce que je suis quasi certaine d'avoir encore des chutes de volonté pendant ces vacances
J-4 ...

Et là, me dire "un jour après l'autre", çà sonne aux abonnés absents dans ma tête

En plus je ne pourrai même plus venir ici pour en parler, les boules...
J'aurai accès à un ordi,ma boîte mail perso, mais pas question que mes visites se voient dans l'historique (que je ne pourrai pas effacer sans que çà fasse louche).

Coucou Lolo ,

J'ai bu des fois comme ça parce qu'une occasion spéciale se présentait. Un excellent repas s'accompagne d'un bon vin par exemple. Et des occasions, c'est fou comme on peut en trouver beaucoup. Je pensais contrôler . Mais les cailloux ponctuels sont devenus des rechutes de plusieurs semaines, toujours sous "contrôle". Je ne buvais pas avant 19h et je me donnais le droit à X verres. Puis je me suis aussi donné le droit de ne pas contrôler 1 fois par semaine. .. Histoire classique de rechute .

Mais à chaque fois que je suis repartie au combat, je ne pensais qu'au jour même. Je pense que si je m'étais dit : je ne boirais plus jamais, j'aurais complétement déprimé et je ne l'aurais pas accepté. Quand une envie venait, je me disais : ah non, pas aujourd'hui

J'ai aussi évité les lieux dangereux: pas de bars, pas de terrasses. Quoi que l'année passée quand je suis partie à Sharm El Shek, le soir, je profitais de la terrasse avec un bon jus de fruit et ça allait .

Cela fait peu de temps que de voir les autres boire ne me pose plus aucun problème. Mais c'est vrai que les sorties bar ne m'intéressent plus. Je m'y ennuie .

Ce qui m'a énormément aidé est d'oser enfin faire ce que j'avais envie depuis longtemps, de vivre plutôt que de rêver ma vie. C'est mon fils qui m'a donné le déclic en me faisant découvrir les Via Ferrata. J'ai toujours aimé le sport et là m'y suis remise à fond . J'ai changé de cercle de connaissances. En fait ce que je te raconte là, ne c'est pas fait en un jour, c'est un résumé de 2 ans de ma vie.

Je n'ai jamais fait de cure. J'ai 2 psychanalyses à mon actif et depuis 1 an, ce site qui m'a énormement aidée, qui m'a à chaque fois empêchée de couler complétement et m'a permis de trouver la force de me relever et de repartir au combat.

Raconte nous comment vont se dérouler tes vacances, on va pouvoir t'aider à repérer les pièges auxquels tu devras faire attention. Quand on est préparé, c'est plus facile

cristal a écrit:bien sur que tu seras tentée,il ne va pas te laisser te debarrasser de lui sans réagir,faut pas rêver
mais tu as ce qu'il te faut en toi pour le contrer encore faut il que tu veuilles le contrer et rester ds le combat!!

tu en es a combien de jours,semaines même si je ne m’abuse ??

Bonsoir,
J'ai arrêté le 13 février en entrant en cure jusqu'au 13 mars.
J'ai fait un écart une soirée fin juin.

Je suis suivie par une alcoologue, une art thérapeute et je vais en groupe de parole tous les jeudis.

Je fais tout contre l'alcool, mais j'ai encore des problèmes comportementaux de consommation de tout à régler.
Les médicaments (il y a quelques semaines j'ai repéré le même processus que pour l'alcool), le tabac, le chocolat...

je suis aimantée par tout ce qui peut me nuire. Les médecins m'alertent, j'arrête, puis je m'autorise "une bonne foi",
pour me lâcher.

Je travaille là dessus avec la psy. Je sais d'où çà vient, mais l'entité qui est tapie dans mon cerveau revient toujours.
Il faut l'apprivoiser, mais c'est du boulot, et en attendant les années passent.

J'ai quand même fait beaucoup de progrès, mais il "lui" faut sa dose de destruction.
"Il" a arrêté d'étendre ses choix de substances à 18 ans, quand j'ai fait une TS.

Je dis çà car ensuite j'ai eu l'occasion de tester( une fois pas plus) la coke, l'héro, les champi, le Poppers, un
peu tout ce qui trainait. Je me suis toujours méfiée, et çà n'a jamais accroché.

Là, je ne bois plus, mais en cure j'ai repris le tabac, que je vais stopper car l'asthme me rattrape, et je
goinfre 2-3 kg de chocolat par semaine, j'ai pris 8 kg depuis l'arrêt d'alcool, je m'en fous mais mon foie me rappelle à l'ordre et je dois arrêter aussi ces quantités énormes (une petite tablette, c'est trop frustrant, je préfère me priver un mois et me faire une "mégadose" de temps en temps).

Donc c'est de cette partie de moi-même que je me méfie.
C'est compliqué, je sais...

kikouyou a écrit:
Coucou Lolo ,

J'ai bu des fois comme ça parce qu'une occasion spéciale se présentait. Un excellent repas s'accompagne d'un bon vin par exemple. Et des occasions, c'est fou comme on peut en trouver beaucoup. Je pensais contrôler . Mais les cailloux ponctuels sont devenus des rechutes de plusieurs semaines, toujours sous "contrôle". Je ne buvais pas avant 19h et je me donnais le droit à X verres. Puis je me suis aussi donné le droit de ne pas contrôler 1 fois par semaine. .. Histoire classique de rechute .

Mais à chaque fois que je suis repartie au combat, je ne pensais qu'au jour même. Je pense que si je m'étais dit : je ne boirais plus jamais, j'aurais complétement déprimé et je ne l'aurais pas accepté. Quand une envie venait, je me disais : ah non, pas aujourd'hui

J'ai aussi évité les lieux dangereux: pas de bars, pas de terrasses. Quoi que l'année passée quand je suis partie à Sharm El Shek, le soir, je profitais de la terrasse avec un bon jus de fruit et ça allait .

Cela fait peu de temps que de voir les autres boire ne me pose plus aucun problème. Mais c'est vrai que les sorties bar ne m'intéressent plus. Je m'y ennuie .

Ce qui m'a énormément aidé est d'oser enfin faire ce que j'avais envie depuis longtemps, de vivre plutôt que de rêver ma vie. C'est mon fils qui m'a donné le déclic en me faisant découvrir les Via Ferrata. J'ai toujours aimé le sport et là m'y suis remise à fond . J'ai changé de cercle de connaissances. En fait ce que je te raconte là, ne c'est pas fait en un jour, c'est un résumé de 2 ans de ma vie.

Je n'ai jamais fait de cure. J'ai 2 psychanalyses à mon actif et depuis 1 an, ce site qui m'a énormement aidée, qui m'a à chaque fois empêchée de couler complétement et m'a permis de trouver la force de me relever et de repartir au combat.

Raconte nous comment vont se dérouler tes vacances, on va pouvoir t'aider à repérer les pièges auxquels tu devras faire attention. Quand on est préparé, c'est plus facile

Bonsoir,
Les pièges? Le besoin de vacances (au sens strict du terme, en latin "vacare"=être sans...)
En vacances, on quitte ses activités habituelles, souvent le boulot, mais comme pour moi l'arrêt d'alcool c'est un boulot à temps plein pour l'instant, çà va être assez paradoxal!

L'abstinence, c'est aussi des vacances super, mais comme je viens de l'écrire à Cristal, il y a autre chose...

Pour les situations à risque, j'ai bien lu et relu, bien intégré.
C'est de moi et de mon fonctionnement d'addict de merde que j'ai peur!

Mais toi, quand tu parles de 2 ans de ta vie, c'était 2 ans de démarches infructueuses pour arrêter ou "juste" deux ans de problèmes d'alcool? çà change tout!

Je ne sais pas à quel moment je suis devenue MA. J'ai commencé à le réaliser il y a 2 ans et à l'admettre complétement peu à peu. Mais des abus, des cuites, j'en ai eu pendant des années. Je buvais réguliérement depuis lgtmps mais ne me sentais pas dépendante et puis en parallèle il y avait l'herbette. Comme toi, dans ma jeunesse, j'ai un peu tout expérimenté avec une certaine réserve pour les drogues particulièrement dangereuses. Depuis l'âge de 15 ans je vis avec des addictions que j'ai plus ou moins maîtrisé, arrêté, canalisé, recommencé.

Donc c'est 2 ans de démarches que je ne qualifierais pas d'infructueuses mais de laborieuses

kikouyou a écrit:Donc c'est 2 ans de démarches que je ne qualifierais pas d'infructueuses mais de laborieuses

Ah je comprends. Eh bien "laborieuses" prend tout son sens!
çà m'inquiète, mais çà me rassure aussi.

Enfin çà a marché, bravo!

Et la sereinité, çà doit être génial!
Merci,