envies de se "basarder la tête" après 4 mois de sevrage

c'est une très bonne idée la statue a épingler

tiens,je te met le smiley le plus parlant pour imager le petit singe ça,c'est la petite voix qui te dis"allez,juste un,tu l'as bien mérité"

accroche toi lolo et ne vis qu'un seul jour a la fois

cristal a écrit:c'est une très bonne idée la statue a épingler

tiens,je te met le smiley le plus parlant pour imager le petit singe ça,c'est la petite voix qui te dis"allez,juste un,tu l'as bien mérité"

accroche toi lolo et ne vis qu'un seul jour a la fois

Merci pour le smiley, c'est tout à fait çà! tu vois je le voyais différent, le vilain singe: plus petit, plus trapu, des petits doigts crochus aux ongles crasseux qui triturent la cervelle, une vraie saloperie à la Jérôme Bosch quoi!
En tout cas aujourd'hui, il est au placard, et j'attends le retour de mon fiston dans un appart' impeccable.

Toutes ces discussions m'inspirent un tas de dessins et c'est quand même compliqué de les envoyer.
Bonne soirée!
L.

Pour les dessins tu les prends en photo,et les met sur ton ordi
Je serais curieuse de les voir

elsa2 a écrit:Pour les dessins tu les prends en photo,et les met sur ton ordi
Je serais curieuse de les voir

Coucou,
Juste pour essai

Voilà ce que çà donne, j'y comprends rien!
Bon c'est pas grave, je finirai bien par trouver, là j'avoue j'ai la flemme.
Mais j'y arriverai!

Tu les enregistres au format jpeg et tu suis le tutoriel qui est dans le forum de test...Ce n'est pas très difficile, tu verras...

SHALE a écrit:Tu les enregistres au format jpeg et tu suis le tutoriel qui est dans le forum de test...Ce n'est pas très difficile, tu verras...

OK, je trouverai, merci!
L.

SHALE a écrit:Cette réalcoolisation peut jouer le rôle de soupape de sécurité et te permettre de repartir plus sereine vers l'abstinence....
Nous sommes tous avec toi!!!

Bonjour,
J'ai revu mon alcoologue ce matin, et elle a surtout été surprise de la rapidité de l'enchainement entre l'alcoolisation sociale plaisante et modérée, puis le rachat immédiat de la bouteille, suivi de la destruction "dans la foulée" du contenu de la bouteille après le premier verre en solo.

On a parlé longtemps, et elle m'a bien dit que, si j'avais un potentiel de réaction très important, cet incident est la preuve que je n'ai aucune marche de manoeuvre!

Elle m'a aussi appris que certains alcoologues, de plus en plus nombreux, proposaient des séances d'acuponcture dans les centres. Je trouve çà intéressant, vu que çà marche pour le tabac why not?

Je sais qu'en cure nous avions une séance d'acupuncture à la fin du sevrage, ça m'avait fait énormément de bien, alors pourquoi pas, tu peux essayer, tu verras bien...

SHALE a écrit:Je sais qu'en cure nous avions une séance d'acupuncture à la fin du sevrage, ça m'avait fait énormément de bien, alors pourquoi pas, tu peux essayer, tu verras bien...

Merci pour ta réponse,
Oui je verrai bien, de toute façon autant mettre un maximum d'aides en place

Bonsoir,

Sans envie d'alcool particulière, juste des pensées du type "tiens, là d'habitude j'aurais bu", c'est le tour d'envies de médicaments.

J'en ai parlé à l'alcoologue, qui m'a dit de na pas abuser, mais j'ai l'impression de ne faire QUE "tenir"...
et je prends des anxyolitiques le soir comme un soulagement en attendant que çà fasse de l'effet.

Pas de doses énormes (30 gouttes de Valium ou 75mg d'Atarax), mais c'est 3 fois la dose prescrite et j'ai l'impression que c'est le même processus que l'alcoolisation.

Consommer pour décompresser, pour "s'abstraire"...
Je travaille là dessus (ingestion, digestion, régurgitation) avec les soignants, mais même si le travail avance vite çà va prendre du temps!
Çà m'inquiète beaucoup, même si les médicaments n'ont pas les effets si désastreux que l'alcool.

Quelqu'un a une idée là dessus?
Je devrais peut-être ouvrir un autre fil sur "après l'alcool, les médicaments?",

je pense que les medicaments tout comme l'alcool te permettent de fuir la réalité,une sorte de protection artificielle pour ne pas affronter de pleine face le reel.

qu'est ce qui te fait peur lolo ds la vie quotidienne?
qu'est ce que tu ne te sens pas apte a affronter seule??

il est clair que les médicaments,utilisés comme tu les utilises vont remplacer l'addiction a l'alcool en devenant une autre addiction.

il faut que tu trouves en toi la protection que tu recherches ds ces artifices mais pour cela,il faut savoir de quoi tu as peur

Oui, c'est intéressant ce que tu dis, c'est souvent le risque après l'alcool de devenir accro aux médicaments, même si le danger social n'est pas le même, c'est toujours une dépendance lourde à porter...
Par contre je ne comprends pas pourquoi tu travailles sur ingestion, digestion, régurgitation ????

SHALE a écrit:Oui, c'est intéressant ce que tu dis, c'est souvent le risque après l'alcool de devenir accro aux médicaments, même si le danger social n'est pas le même, c'est toujours une dépendance lourde à porter...
Par contre je ne comprends pas pourquoi tu travailles sur ingestion, digestion, régurgitation ????

Bonsoir,
En tout cas ,pour les médicaments, je crois que si on localise que l'accrochement vient, on peut lutter avant
d'avoir le nez dedans. Enfin j'espère...

Pour le travail sur le rapport à l'in-diges-gestion surtout, eh bien c'est parce que j'ai découvert, grâce à l'art thérapie, que je n'avais pas un rapport normal avec çà.

Comme avec cette méthode, on produit, il y a une trace (même si l'on n'y a plus accès à la séance suivante, on s'en souvient parce qu'on l'a vu avant d'en discuter).

Pour quelqu'un qui aurait pris l'option peinture, ce serait comme s'il n'utilisait qu'un moyen plastique, des camaïeux de bleus par exemple, ou des lignes droites, ou des flous. Il y a d'ailleurs un bouquin fabuleux sur les oeuvres picturales des malades mentaux, j'aimerais bien le retrouver.

Donc, c'est difficile à expliquer de façon synthétique, mais je n'ai aucune "conscience immédiate" de ce que j'ingère, et plus exactement ce que je consomme.
Un comportement alimentaire et sexuel à surveiller, évidement, car il n'y a pas de limite.

Ingérer en mauvaises doses, pas du tout, trop peu ou trop, avec la régurgitation, l'arrachement, l'expulsion violente au final.

Ici on parle d'alcool, donc par exemple les vomissements douloureux de bile le matin étaient une sorte d'aboutissement salvateur de l'absorbtion massive de la Vodka de la veille. Une libération aussi satisfaisante que celle procurée par l'ingestion du liquide poison!

Le seul cycle complet que j'arrive à faire fonctionner, c'est la production artistique:
à la base une émotion terrible (en beauté, horreur, absurdité) à avaler, à digérer,
...et à ressortir en produisant quelque chose.
Après "c'"est fini, je peux continuer.

L'alcool est bien évidement incompatible avec cette création, c'est une chance. :dans:

Ça me semble un peu compliqué, mais si tu t'y retrouves, alors pourquoi pas...

j'ai un peu de mal a saisir mais comme le dit Shale,l'important c'est que ça te convienne et te fasse avancer

cristal a écrit:j'ai un peu de mal a saisir mais comme le dit Shale,l'important c'est que ça te convienne et te fasse avancer

Une paille, oui, que c'est compliqué! Pourtant là j'ai essayé de faire simple

Mais bon comme vous dites, l'important c'est que çà me convienne, et heureusement, l'art.t c'est son boulot,
elle a été formée pour

Bon dimanche!
L.

cristal a écrit:je pense que les medicaments tout comme l'alcool te permettent de fuir la réalité,une sorte de protection artificielle pour ne pas affronter de pleine face le reel.

qu'est ce qui te fait peur lolo ds la vie quotidienne?
qu'est ce que tu ne te sens pas apte a affronter seule??

il est clair que les médicaments,utilisés comme tu les utilises vont remplacer l'addiction a l'alcool en devenant une autre addiction.

il faut que tu trouves en toi la protection que tu recherches ds ces artifices mais pour cela,il faut savoir de quoi tu as peur

salut Cristal et Shale,
Je suis consciente de tout çà, mais là, même si je suis contre les médocs, mon Art-T et l'alcoologue m'ont conseillé aujourd'hui d'en prendre un peu pour décompresser et ne pas craquer;

Il y a le travail en psy qui avance bien, le groupe de parole aussi, mais là j'avoue, c'est le gros coup de moud

J'ai trop de choses sur le dos. Depuis la cure, mes très proches me refont confiance, c'est bien ,mais tout repose à nouveau sur ma tête. Comme s'ils se lâchaient, eux.

Je n'ai pas eu le temps de me reposer, je suis seule avec mon fils sans appui du père depuis 10 ans, mon meilleur ami et soutien de toujours fait sa crise d'ado à 50 balais, s'installe dans un statut de SDF mais il est souvent ici et commence à peser car il ne fait rien pour s'en sortir,. depuis trois ans je lui trouve des boulots, autant pisser dans un violon; je l'héberge certaines nuits, il a accès à l'appart' quand je n'y suis pas, mais la rue le change et tout vire en mesquineries matérielles débiles.

Et s'il n'a pas mon aide matérielle, il va se barrer en province, ce qui est impensable car on est complémentaires, enfin moi j'ai besoin de lui et mon fils aussi vu que le père le voit trois fois par an...

Là mon fils est parti en vacances pour 2 semaines, je culpabilise de ne pas accueillir mon ami qui est dehors
çà commence à tourner vinaigre à cause de mesquineries matérielles.

Je sais très bien mettre des limites, mais là j'ai besoin de calme, et de profiter de l'appart', petit, toute seule.

Je n'ai pas envie de boire, mais c'était plus confortable quand les autres me voyaient clairement "pas en état".

Là je crois que je vais me boucler par protection. Mais vraiment, ras le bol, je fais des efforts pour péreiniser les bienfaits de l'abstinence, mais j'ai quand même bien l'impression de me sentir faible, pas solide du tout.
la peur et l'angoisse, c'est de voir que je suis trop sollicitée pour avoir la paix.

Un rien est insupportable...

S'ajoure à çà un gros souci lié au silence que j'ai choisi pour la cure, mais là je vais ouvrir une autre discussion, avec un titre approprié.

à+,

lolo,pour pouvoir aider les autres,il faut être apte a le faire
ce que je veux dire c'est que tu ne peux pas apporter une aide efficace si tu n'es pas bien toi même!!
l'aide sera vécu comme une contrainte et reçue comme telle ce qui n'est bon ni pour toi ni pour la personne que tu aides.

Alors il faut savoir mettre ses limites et se proteger.Tu sais très bien que tu as besoin de te ressourcer et que tu n'es pas apte a donner de l'aide MAIS tu culpabilises et c'est là que ça coince

tu n'es pas la mère de tous les melheureux lolo,tu n'as pas non plus a assumer le role de sauveur tu as TA propre vie a gerer et là,personne ne t'aide!!
De plus,trouver trop de solutions pour ceux qui sont ds le besoin ce n'est pas non plus les aider,tu leur enlèves une responsabilité qu'ils sont en droit de trouver eux même!!
on ne grandi pas si on n'a pas les armes pour affronter la vie,si tu mâches le travail de tout le monde,comment veux tu qu'ils se renforcent eux même??

alors ce que tu fais n'est bon ni pour toi qui perd des forces et t’affaiblis ni pour eux qui se complaisent ds cette facilité de vie puisque tu fais tout a leur place!!

il faut que tu penses d'abord a TOI et surtout ne pas culpabiliser de le faire,tu n'as que TOi a prendre en charge,les autres ont leur propre défenses.

pour ton fils,c'est autre chose sauf si il est en age de se prendre en charge mais n'oublie pas que tu dois avoir un espace a toi pour te reconstruire,tu n'as pas a mettre ta vie de coté pour privilégier celles des autres.!!

tu as peut etre besoin de ton ami mais tu as encore plus besoin de TOI

Je partage entièrement ce que te dit Cristal, tu ne peux pas aider tout le monde, commence par t'aider toi... A mon avis, tu as assez de boulot comme ça pour y arriver!!

cristal a écrit:lolo,pour pouvoir aider les autres,il faut être apte a le faire
ce que je veux dire c'est que tu ne peux pas apporter une aide efficace si tu n'es pas bien toi même!!
l'aide sera vécu comme une contrainte et reçue comme telle ce qui n'est bon ni pour toi ni pour la personne que tu aides.

les autres ont leur propre défenses.
tu as peut etre besoin de ton ami mais tu as encore plus besoin de TOI

Bonjour,
Merci pour vos réponses rapidess,
C'est vrai que là, il faut que je ne profite tranquillement de mon appart, qui est petit en plus.
Mais c'est pas évident quand il y a quelqu'un qui m'a toujours aidée qui "piaffe" à la porte.
La culpabilité, c'est bien de çà qu'il est question.

De toute façon il faut bien se préserver.

Et apprendre à quitter la fuite aussi, car hier j'étais tellement mal que j'ai vraiment abusé du Valium. çà, c'est mauvais, mmais je ne savais plus quoi faire de ma peau
Et avoir dormi autant, c'est comme la gueule de bois, mal-être, honte, déception, promesses de ne pas recommencer...

Là çà va pas mieux, je retourne chez l'alcoologue dans 10mn pour son acuponcture,
de toute façon je ne veux pas reboire, mais je ne sais pas ce qui se passe.

Je suis contente que mon fils ne soit pas là pour voir çà. à 13 ans, il est tellement content d'avoir retrouvé sa mère que ce serait dommage qu'il me retrouve avec encore 10kg de moins dans un appart en désastre

çà me déprime, j'aimerais bien comprendre comment j'ai attrapé ce fonctionnement d'addict, çà craint.



Bonne journée,
L.

Une difficulté passagère j'espère.

tu comprendras ce fonctionnement avec ta thérapeute mais tu vas reussir a surmonter cela,tu vois dejà d'où vient le problème et c'est de cette façon qu'on arrive a le résoudre

ce besoin d'aider est une façon pour nous d'exister,c'est d'ailleurs la seule façon jusqu'a ce qu'on se rende compte de la valeur que l'on a et de l'importance que l'on a SOI pour SOI

cela s'appelle la confiance en soi lolo,c'est long a venir qd on a été condtionnée pour casser cette estime de soi mais lorsque l'on reprend confiance en ses capacités,alors la vie prend une tout autre couleur

tu n'as besoin de personne pour vivre lolo,et tu n'as besoin que de ta reconnaissance a toi pour savoir que tu es qqn de bien.ce n'est pas de l'egoisme c'est vivre sa propre vie
n'attend rien des autres et tout de toi faire en fonction de soi tout en tenant compte des autres

cristal a écrit:tu comprendras ce fonctionnement avec ta thérapeute mais tu vas reussir a surmonter cela,tu vois dejà d'où vient le problème et c'est de cette façon qu'on arrive a le résoudre

cela s'appelle la confiance en soi lolo,c'est long a venir qd on a été condtionnée pour casser cette estime de soi
-...._faire en fonction de soi tout en tenant compte des autres

Bonjour,
Oui c'est vrai, çà se travaille. Hier j'ai vu mon alcoologue, qui m'a piqué les oreilles, je suis ressortie de là bien zen.
Puis un dîner avec un ami de cure, c'était sympa et je n'ai pris aucun médoc. Couchée à 4h, mais tant pis, je n'ai pas d'obligations le matin.
Vu que j'avais vidé 1/3 du flacon de Valium la veille au soir, là je trouve que le quota est dépassé.

Je peux me faire confiance, petit à petit.
Mais c'est vrai qu'avec l'alcool, on perd profondément cette confiance et cette estime de soi.

Pendant les derniers mois, je me démaquillais sans miroir le soir, et j'évitais aussi les photos.

Pour mon ami "squatter", il ne viendra que quand je ne suis pas là , il a bien compris.
Bon, c'est reparti pour un tour!
Bonne journée!

Bonsoir,

J'ai deux questions auxquelles je ne trouve pas de réponse satisfaisante

La première:
j'ai arrêté de boire en cure le 13 février (un accident de parcours cependant une seule soiréeen juin), et je souffre de courbatures vraiment difficiles à supporter. Point de vue médical, rien à signaler on dirait. Des anciens buveurs m'ont dit que, suite à une cure, c'était normal, mais au bout de 5 MOIS je ne comprends pas.

D'autres me disent aussi que comme avant je ne bougeais plus beaucoup, c'est "la remise en route". Est-ce-que quelqu'un a déjà eu çà si longtemps?
Ça me fait peur. Quelqu'un m'a dit "Oh les alcoolos de longue date, quand ils arrêtent çà déraille tout, mon oncle a arrêté et est mort deux ans après". J'en ai entendu quelques autres dans le même genre, de la part de gens qui ne savaient pas pour moi.
C'est crétin mais çà marque, ce genre de propos, çà inquiète.

La deuxième:

En groupe de parole, il y a un homme qui a fait sa cure un peu après moi. Il trouve qu'il lui reste un léger problème, il boit de temps en temps sa 8,6 en cachette, jamais plus d'une ou deux et 2-3 fois par moi. Il dit qu'il est conscient que çà reste un petit problème, et son médecin lui a dit que s'il pouvait gérer comme çà, "çà n'avait rien d'affolant s'il savait se limiter".

Là c'est le mystère! Son médecin, c'est celui que l'on a tous eu en cure.
Ou est-ce qu'il ment?

çà m'intéresserait d'avoir vos avis
L.

Désolée, en fait je ne voulais pas ouvrir une nouvelle discussion, mais écrire ce message sur le fil "envie de se basarder la tête après 4 mois"...

je vais remettre ton post sur ton fil

pour tes deux questions:
pour tes douleurs,qui te dit que ce sont des courbatures?? la meilleure solution est d'aller voir ton medecin,il ne faut pas tout mettre non plus sur le dos de l’arrêt de l'alcool,ça peut être autre chose.
tu peux etre en carence de magnésium qui donne des crampes ou un eautre carence,le mieux est de faire un bilan sang

, il boit de temps en temps sa 8,6 en cachette, jamais plus d'une ou
deux et 2-3 fois par moi. Il dit qu'il est conscient que çà reste un
petit problème, et son médecin lui a dit que s'il pouvait gérer comme
çà, "çà n'avait rien d'affolant s'il savait se limiter".

et entendre ça,ça me fait dresser les cheveux sur la tête un conseil pour ce monsieur,qu'il change vite de medecin pour son problème d'alcool
le seul traitement efficace pour un MA est le ZERO alcool et il n'y a pas d’exception

je laisse les autres te répondre