Boomer II

il faut connaitre la maladie et aussi son mari et pour le moment,le claude qu'elle a en face d'elle n'est plus vraiment le meme
laisse lui le temps et laisse toi aussi un peu de temps,vous avez etabli un dialogue,une porte qui s'ouvre indispensable a votre vie commune

commence dejà a t'apprivoiser TOI parc eque si ta femme ne te connait plus trop,ben toi non plus

il faut que tu te testes un peu,que tu touches un peu a tout pour savoir ce que tu aimes,ce que tu n'aimes plus,ce qui te convient et ne te convient plus
en douceur toujours claude,un jour apres l'autre et pas de pression inutile ok??

pas vu de doublon moi

cristal a écrit:
pas vu de doublon moi

Ca y est!!!!
Vla que cristal est aveugle maintenant!
Rhooooooooooo.....

Hello Claude, je viens de découvrir ton post ce soir, et je vois avec plaisir que vous avez pu discuter tous les deux, c'est une bonne chose.

Je ne suis pas trop d'accord avec mes collègues sur cette histoire, dans le sens où déjà ce n'est pas pour rien que tu n'arrives pas à communiquer, il y a p'têt un effort à faire de ton côté là. La maladie alcoolique est la maladie des émotions et de la communication, certes c'est difficile mais tu peux dépasser cela et mettre des mots sur ta douleur d'un instant présent. Au vu de ce que tu as expliqué, je suis alcoolo moi aussi et ben j'aurais rué dans les brancards aussi Essaies d'imaginer la place de ta femme, c'est terrible à supporter. Le mec, dit rien, se barre en faisant la gueule, y'a de quoi se poser des questions, très franchement, j'aurais agi de la même façon qu'elle. Ok elle est impatiente mais ça se comprend un p'tit peu quand même, j'veux dire qu'elle vit avec l'alcool depuis longtemps elle aussi et que l'espoir de reprendre une vie normale se fait désirer. Claude honnêtement, nous aussi on a des caractères à pas "piquer des vers", il nous faut tout et tout de suite, immédiatement, sous peu. Hors de question d'attendre et de mettre en place.

Hors c'est ce qu'il faut réussir à faire, "anticiper, mettre en place". Peut être pourrais-tu t'organiser pour te prendre une soirée ou une journée rien que pour toi, l'expliquer à ta femme aussi, soirée ou journée qui te permettrait de "respirer, de souffler". Peut être même vous faire des soirées à vous deux, rien que vous pour vous retrouver. Ca peut coûter en terme finances, mais il y a des choix à faire et ces choix là ne sont pas un "luxe" mais un "bien être". Si tu anticipes que tu jalonnes, tu arriveras peut être mieux à t'y retrouver ainsi que ta famille. Si c'est "organisé", ça conviendra peut être mieux à tout le monde chez toi. A réfléchir......

J'ai supprimé le doublon!!

et c'est moi qui passe pour une imbecile shale

cristal a écrit:et c'est moi qui passe pour une imbecile shale

Mais non cristal!!
Il faut juste que t'aille chez l'ophtalmo...

mais c'est pas moi,c'est la chef qui a effacé ton doublon,comment veux tu que je le vois si il a disparu

et arrete de fayoter pour etre ds les petits papiers de la GGG s'il te plait toi

la GGG, elle, au moins ,elle voit les doublons!!!!!

J'ai bien lu ton post Malau.
Et oui je pense que tu as raison.
Oui ma femme a vécu avec l'alcool très longtemps.
Je sais que j'ai mes tords dans cette histoire.
J'en ai conscience.
C'est pourquoi je dis qu'il y a des choses à faire pour faire avancer le truc.
Je suis content car on a avancé encore un peu avec tout ça.
On arrive à voir ce qui cloche afin de corriger en conséquence.
On va y arriver je vous dis.
Ca mettra le temps qu'il faut, mais ça va aller.

J'ai remis tes deux posts dans le même forum...

le dialogue, toujours le dialogue, expliquer et expliquer encore, peu à peu on arrive à être au même niveau.....

vous avez apparement l'intention de mettre du votre chacun de votre coté alors tout devrait bien se passer
a partir du moment où tout est expliqué et dit,on peut savoir où cela cloche et comment faire pour y remedier

il faut du temps mais ça,vous le savez l'un et l'autre,vous avez enfin pu vider vos coeurs l'un en face de l'autre,c'etait indispensable pour la suite

Vous l'aurez remarqué, mes deux topics "boomerII et qui a raison" n'en font plus qu'un.
J'ai demandé à shale de fusionner ces deux topic pour la simple raison que je me suis aperçu après coup que c’était la suite logique de mon histoire.
D'ou , pourquoi avoir deux topics différents....
Voila mes gens.
Encore merci à shale pour avoir pris de son temps pour ça.

boomer a écrit:
Oui ma femme a vécu avec l'alcool très longtemps.
Je sais que j'ai mes tords dans cette histoire.
J'en ai conscience.
C'est pourquoi je dis qu'il y a des choses à faire pour faire avancer le truc.
Je suis content car on a avancé encore un peu avec tout ça.
On arrive à voir ce qui cloche afin de corriger en conséquence.
On va y arriver je vous dis.
Ca mettra le temps qu'il faut, mais ça va aller.

Boomer,

Avec Ton abstinence, ta prise de conscience et la communication engagée avec ta femme tout devrait 'aller' comme tu dis.
Il faut faire simple, expliquer, discuter et communiquer sans cesse pour que l'un et l'autre avanciez ensemble, en vous comprenant...
Les deux sur la même route et dans la même direction...

Je ne suis pas trop d'accord avec mes collègues sur cette histoire, dans le sens où déjà ce n'est pas pour rien que tu n'arrives pas à communiquer, il y a p'têt un effort à faire de ton côté là. La maladie alcoolique est la maladie des émotions et de la communication, certes c'est difficile mais tu peux dépasser cela et mettre des mots sur ta douleur d'un instant présent. Au vu de ce que tu as expliqué, je suis alcoolo moi aussi et ben j'aurais rué dans les brancards aussi Essaies d'imaginer la place de ta femme, c'est terrible à supporter. Le mec, dit rien, se barre en faisant la gueule, y'a de quoi se poser des questions, très franchement, j'aurais agi de la même façon qu'elle.

Bonjour Boomer ,
Je cite Malau car, en lisant ton post je me disais exactement ceci. Je me suis plus identifiée à ta femme qu'à toi en l'occurrence. Elle a supporté longtemps des contraintes que tu lui imposais , celles de l'alcool, et si elle n'est pas en droit d'attendre , comme tu dis, un miracle elle peut tout de même caresser quelques espoirs dont celui de respirer et se reposer sur toi. L'ancien boomer devait pas être très agréable mais si le nouveau ne l'est pas non plus ...quel est le bénéfice ?
L'idéal , après une cure, serait donc de pouvoir s'installer dans ses méditations pour se recontruire paisiblement et le conjoint ...il n'a qu'à s'y faire ! A mon sens ça ne marche pas du tout comme ça. Que l'on se reodnne une vraie place en sortant de l'alcool c'est nécessaire , mais que l'on ne tienne pas compte de la place de l'autre c'est illusoire .
Tout est affaire de concessions . Le combat contre l'alcool nous concerne de façon très intime , il nécessite de s'auto centrer mais autour de nous il y a du réel, du relationnel, des attentes qu'il faut absolument laisser s'exprimer et prendre en considération.
Si l'on ne se sent pas capable d'affronter ceci il faut s'isoler vraiment le temps nécessaire mais on ne peut pas demander à l'autre dont on partage la vie de s'écraser , de disparaître. La notion de maladie entraîne celle de convalescence (ne pas faire de bruit,ne pas déranger le malade,respecter son repos etc.) mais sortir de la maladie alcoolique c'est aussi se ré-ouvrir aux autres non ? Les regarder avec toute l'affection qu'on leur a refusée à cause de l'alcool.
En fait ce post est prétexte pour m'interroger sur une vision trop égocentrique du MA.
La puissance que confère cet état qui régente tout l'entourage "pendant" puis "après" ...je la conteste au fond.
Mais ceci est un sujet de débat.
Bonne journée

boomer a écrit:J'ai bien lu ton post Malau.
Et oui je pense que tu as raison.
Oui ma femme a vécu avec l'alcool très longtemps.
Je sais que j'ai mes tords dans cette histoire.
J'en ai conscience.
C'est pourquoi je dis qu'il y a des choses à faire pour faire avancer le truc.
Je suis content car on a avancé encore un peu avec tout ça.
On arrive à voir ce qui cloche afin de corriger en conséquence.
On va y arriver je vous dis.
Ca mettra le temps qu'il faut, mais ça va aller.

Contente de te lire Claude. Oui, il y a des choses à faire, des concessions comme dit Béa, avoir de l'échange est primordial, expliquer, mettre des mots sur tes maux.

Pour toi, c'est ta femme qui s'exprime, de mon côté c'était mes enfants et je leur ai fait vivre un enfer en sortant de cure, il n'y a pas longtemps ma grande m'a dit, on a eu beau aller entendre le Dr Gonnet qui donnait la conférence pour et avec l'entourage à Létra Môman, franchement personne ne nous a dit qu'il fallait s'attendre à ça

Mes enfants ont plus souffert de ma re-construction que de mon alcoolisme. J'affirme et je signe ce que j'écris car c'est très vrai et ça s'explique. J'avais de mon côté l'impression qu'ils pouvaient tout comprendre et tout savoir, comme si c'était écrit sur mon visage, comme si je n'avais rien à leur dire, bon sang mais c'est bien sur, ils devaient deviner Alors j'ai parlé, j'ai essayé du moins, dire, dire, et re-dire. Là, je ne me sens pas bien, là, j'ai un flash, là j'ai peur, etc....... tout en les ménageant quand même un peu vu que c'était des mômes J'ai imprimé aussi un maximum de renseignements sur la maladie afin de leur lire.

Pour la première fois de ma vie certainement, j'ai dû faire des concessions. J'ai appris, je suis tombée, je me suis relevée, ça n'a pas été facile, je suis passée par des moments de et petit à petit j'ai appris à parler, à échanger, à écouter aussi, car je n'écoutais pas vraiment, d'une oreille on va dire !!!!

Mes enfants m'ont rendu le plus grand service qu'ils pouvaient me rendre, ils ont exigé de moi et il m'a fallu faire avec cela. Ca m'a permis de grandir, d'aller au-delà de mes moyens et aujourd'hui je les en remercie.

lorsque j'ai commencé mon abstinence,je me suis soudain retrouvée avec un besoin terrible de ne pas etre "derangée" pour travailler sur moi et pour pouvoir comprendre ce qui m'arrivait.
Mon fils avait a l'epoque 3 ans et j'etais horrifiée de constater que cet enfant que j'aimais plus que tout au monde,qui faisait que ma vie etait valable et utile,de constater donc qu'il me genait dans mon combat !!!!!et pourtant,sans lui,je n'aurais pas tenu le coup

Je me traitais de mère indigne parce que je le mettais devant la tele pour venir sur le forum qui a ete pour moi,ma cure.mais j'avais beau me dire que j'etais une mauvaise mère de reagir ainsi,je sentais au fond de moi que cet "egoisme" serait payant un jour autant pour moi que pour lui.

Si je parle autant de la necessité de se concentrer sur soi c'est que je n'en serais pas là aujourd'hui si je n'avais pas mis tout en oeuvre pour MOI a ce moemnt là de mon combat.Je ne dis pas que j'ai abandonné mon fils ou que je l'ai maltraitée ou meme que je ne m'en occupais pas Mais j'etais incapable de jouer avec lui,de me concentrer sur ses besoins autre que ceux qui sont vitaux,incapable de rire a ses gamineries parce que je n'etais pas encore vivante et que pour exister,il fallait que je me concentre sur moi.

Enorme culpabilité que je traine encore parfois qd je me laisse aller mais au bout du compte,j'ai pu grace a cette totale concentration sur moi me construire et en meme temps construire une meilleure vie pour mon fils,plus sereine et moins stressante.

Je poste ici pour expliquer que OUI le conjoint ou l'enfant est a prendre en compte,bien entendu mais que pour que la reconstruction se fasse,nous /j'ai eu besoin de moment d'interiorisation intense qui me faisait me renfermer sur moi meme,une bulle indispensable pour ma survie.

Dialoguer,il le faut,c'est idispensable pour que la personne qui vit avec nous puisse comprendre,puisse supporter l'insupportable et expliquer du moins essayer que notre vie en depend.
Mon fils a compris parce qu'il n'a jamais douté de mon amour pour lui meme si je n'ai pas fait grand chose pour le lui montrer au debut mais c'etait toujours mieux que ce que je lui montrais alcoolisée ...

Un petit intermède qui me tenait a coeur

Quand j'ai arrêté l'alcool je me plaignais de ma solitude mais je comprends combien c'est difficile de se réinsérer dans un environnement personnel construit de longue date...
Changer les habitudes sans casser , ni bouleverser, tenir compte de l'autre en trouvant sa nouvelle place .
Donner de nouveau sans arrière pensée et redonner confiance après avoir déçu si souvent
Que d'amour nécessaire dans tous ces nouveaux pas ....Je n'ai aucun conseil à donner, je ne sais pas,
Cela m'interpelle, c'est tout

Je crois que chacun a son chemin surtout.
Le mien, avec l'alcool était une clôture agressive , le sentiment ( je dis bien sentiment) de tout porter , et ce dans la plus parfaite indifférence . Avec le recul j'étais comme un oursin , je ne donnais rien , je ne recevais rien. Je ne percevais pas les signes d'affection. Maintenant, lorque je regarde par dessus mon épaule je suis frappée de voir l'amour qui m'entourait même là où je ne donnais plus rien à personne .
L'arrêt de l'alcool a nécessité de la réflexion , de la bagarre intérieure mais beaucoup moins d'intériorité que dans l'alcool où je me vautrais.
Il faut dire aussi que la situation , l'arrêt de front avec Bill , nous amenait naturellement à mieux nous comprendre.
L'un des grands dangers , celui que j'ai perçu de suite, c'était qu'il fallait bel et bien arrêter pour moi, et qu'il ne me fallait pas trouver mon courage dans l'abstinence de l'autre . Au début je pensais "que faire s'il craque ?" c'est contre ça que je me suis armée tout de suite. C'est là que nous nous sommes totalement dissociés .
Mais ma vision de l'arrêt d'alcool est celle d'une bouffée d'air inhalée et d'une ouverture. Justement de cette possibilité offerte de "donner" et non plus de porter.
La singularité de ce chemin m'amène forcément un regard différent sur mon rôle face aux autres.

En revenant de cure, je n'avais qu'une pensée "je suis libre et je veux le rester". Libre allait bien au delà du fait de ne plus boire, j'étais enfin quelqu'un à part entière avec qui il fallait compter, je voyais ma vie avec des yeux nouveaux et il n'était pas question qu'on se mette en travers de mon chemin si ça pouvait mettre un frein à cette liberté.
Avec le recul, je me rends compte combien mon entourage a du s'effacer pour me laisser vivre ce que je voulais vivre, combien d'amour il y a eu aussi autour de moi pour accepter cette transformation totale.
Ensuite peu à peu j'ai intégré à nouveau le cercle familial mais en mettant des limites, il fallait que l'on me laisse ma place et mon indépendance, ce que chacun a fait après en avoir parlé et expliqué le pourquoi de ce choix de vie.
J'ai eu la chance que toute ma famille proche accepte tout ça et peu à peu, tout s'est rééquilibré autour de mon abstinence...

SHALE a écrit: il fallait que l'on me laisse ma place et mon indépendance, ce que chacun a fait après en avoir parlé et expliqué le pourquoi de ce choix de vie.
J'ai eu la chance que toute ma famille proche accepte tout ça et peu à peu, tout s'est rééquilibré autour de mon abstinence...

Boomer,

Je cite Shale pour encore et toujours souligner la nécessité de communiquer, d'échanger, de dire, de décrire et d'expliquer les transformations que tu vis afin que ton entourage (ton épouse) les prennent en
considération et les accepte...
Ta place et ton indépendance se gagnent sur ce point.
Bien à Toi

Bonsoir mes gens.
J'ai bien lu vos posts.
Ça m'ouvre un peu plus les yeux.
J'avance.
Je me rends compte de pas mal de choses.
Ça va de mieux en mieux.
Ma femme a bien compris aussi.
On commence à vivre comme un couple "normale".
Oh, tout n'est pas rose tout le temps, bien sure, mais ça progresse.
On règle les soucis, un par un.
Rien de très grave, mais ces petites choses bien chiantes.
J'aimerais juste que ça me lache un peu d’ailleurs.
Changement complet de la partie chauffage sur ma voiture (2000 euros), mon ex FAI qui me fait chier et me bouffe un temps incroyable, ma box TV qui merde et orange injoignable, mon compte en banque qui devient ingérable, beaucoup de frais à prévoir sur ma deuxième voiture mais pas les moyens,etc.....
Vous voyez, rien de très grave , juste des tracas de la vie.
Mais que c'est chiant.
Là ou je suis content, c'est que ça ne m’empêche plus de dormir.
Ça aurait été à l'époque où je buvais, alors là attention l'angoisse.
Gros progrès sur ce point.
Je me rends bien compte aujourd'hui ce qu'est l’après cure.
C'est pas simple, mais pas impossible , loin de là.
C'est vraiment un travaille de longue haleine l’arrêt de l'alcool.
C'est là aussi qu'il y a une grosse différence avec mes précédentes tentatives.
Avoir compris.
Je repasserais plus tard.
Quelqu'un d'arrivé (chut, ma belle mère).

On règle les soucis, un par un.

il n'y a que comme cela que ça peut marcher claude,un souci après l'autre sinon,c'est l'embouteillage et la panique

pour tes problèmes de voiture,de Tv,de facture ou familiaux,c'est toujours un par un pour ne pas etre debordé

Je me rends bien compte aujourd'hui ce qu'est l’après cure.
C'est pas simple, mais pas impossible , loin de là.
C'est vraiment un travaille de longue haleine l’arrêt de l'alcool.

Oui c'est un travail de longue haleine mais chaque jour sans alcool te permet de vivre mieux le suivant et de toujours etre en mesure d'affronter un nouveau problème en t'empechant de te laisser depasser par les evenements
sans alcool,nous arrivons a anticiper,a reajuster,a modifier pour que le pb quel qu'il soit puisse etre gerable et supportable.
dans l'alcool,c'est impossible et nous l'avons tous vecu

si tu savais comme je suis heureuse de te lire boomer,lire et participer a ta renaissance est un pur bonheur pour nous

Cette cure tu l'abordais aussi très différemment, ce n'est pas étonnant que le résultat ait été tout autre et tant mieux!!!
Tu te rends compte que si tu buvais, ces problèmes du quotidien t'angoisseraient un maximum car tu étais arrivé au stade où l'alcool avait un rôle de dépresseur...
Là, ce n'est pas drôle mais pas impossible si tu les prends un par un et que tu cherches la meilleure solution pour chacun.
Un conseil, pour joindre Orange, tu vas dans une boutique France Télécom et tu appelles de chez eux, comme ça tu ne paies rien...
Pour les frais d'auto, tu peux sans doute payer en trois fois, la plus part des garagistes le fond....
Et puis comme on dit, plaie d'argent n'est pas mortel, même si c'est tout de même très pénible!!!