Un petit retour

Tu as bien fait de revoir ton médecin.. Est-ce que le tranxène t'aide à tenir et calme tes angoisses, en l'augmentant ???
Pour la psy c'est vraiment ennuyeux, tu ne peux pas en prendre une autre, car de toute façon, quand celle-ci reviendra, elle ne sera plus dans le bain, elle aura sans doute oublié pas mal de choses te concernant... Ce serait vraiment important que tu en aies une en ce moment....

Alors Shale pour ta première question écoute depuis ce midi que j'en prends effectivement je suis plus zen, et pour ma psy ça fait pas 3 mois qu'elle est partie non plus, je l'ai vu y'a 8 jours...peut être qu'elle reviendra lundi je ne sais pas, en tout cas si elle revient lundi, je pense que les autres personnels soignants vont lui dire de me donner un rdv assez rapidement car depuis lundi j'y suis allée 2 fois et ils ont bien vu mon état, surtout la secrétaire ce matin quand je suis sortie du bureau de l'alcoologue...

OK, oui c'est une nouvelle plutôt bonne alors, si le tranxène agit déjà, tu seras mieux pour pouvoir travailler avec la psy en espérant qu'elle sera là lundi...
Courage ma grande!!!

Merci ....je suis désolée de mon peu de présence sur le fil des autres mais c'est vrai que là j'avais déjà fort à faire avec moi-même.....

Lola, quand on va mal, il faut apprendre à être égoïste, il faut se soigner et penser à soi. Quand tu iras mieux, tu auras tout le temps d'apporter de l'aide aux autres.
De toute façon pour pouvoir être dans une relation d'aide, il faut aller bien, sinon c'est dangereux pour nous et aussi pour la personne que nous voulons aider....
Il y a du monde pour aider, prends le temps d'aller mieux, c'est le plus important! Bisous

Bonjour à tous....bon j'ai longtemps hésité à venir vous parlez...par pudeur, peur, honte, fierté...je sais pas....voilà en résumé bon j'ai mes 4 tranxènes par jour et on a bien fait de les mettre car en fait nouvelle gestion d'émotion ou plutôt grosse vague d'émotions dans la tronche....ma copine lundi soir et bien a "tranché" entre son mec et moi...dur pour moi même si elle m'avait jamais rien promis....ce qui me gène ce sont les zones d'ombres, 3 jours avant elle en était encore à "je t'aime ma chérie" et à m'embrasser...elle passe le week chez son copain (qui lui maintenant a appris que j'avais des sentiments pour elle) et bizarrement le lundi soir elle m'annonce que nos baisers ne lui manque plus, qu'elle a des sentiments mais pas d'amour...une semaine avant c'était encore l'amour....on perds pas ses sentiments en 2 jours? Non? ou alors j'ai rien compris au genre humain enfin bref...toujours est-il que cette grosse vague d'émotions m'a fait "déraper" mardi midi, oh je n'ai aucune excuses bien sûr, rien ne vaut la peine de boire...mais voilà je l'ai fait 50 cl de bière, que bien sûr je regrette amèrement et que je n'ai pas l'intention que ça se reproduise...j'étais bien par rapport à ça depuis des mois, même mon dernier ex qui m'en a fait voir de toutes les couleurs n'a pas réussi à me faire tomber...et là je sais pas ce qui s'est passé dans ma tête, un court-circuit, je sais pas....voilà je suis pas très fière de ça, mais je me rattrape et je n'ai absolument pas l'intention de recommencer...je dois apprendre vraiment à travailler sur ces émotions...je vois ma psy lundi et je vais tout lui dire et lui dire aussi que je veux avancer et qu'il faut qu'on bosse un max, qu'on creuse, qu'on retourne, je m'en fou peu importe, mais je veux plus être prisonnière de mes émotions....je ne sais pas si c'est possible, si ça fait parti de notre caractère ou nature....

Ce qui a du être le plus dur c'est que finalement tu ne t'attendais pas à ce qu'elle prenne cette décision... La rupture, si rupture il y a, a été brutale et a mis à terre tous tes rêves, tous les sentiments que tu avais pour elle...
Néanmoins, elle n'était pas sûre d'elle, elle était trop hésitante pour que tu sois sûre qu'elle allait quitter son mari pour toi....Elle n'aurait pas été heureuse et toi non plus.
L'alcool, bon c'est un gros caillou, mais on l'enjambe et on oublie et maintenant, il faut te reconstruire une autre vie, plus basée autour d'elle... Tu vas y arriver , j'en suis sûre...
Gros bisous!!

Parfois,on ne trouve pas d'autres moyen pour évacuer le trop plein,on est pas assez armée pour trouver tout de suite de quoi se protéger et c'est l'alcool qui vient à l'esprit 
Bon,tu as pu évacuer le trop plein avec cette bière mais tu as aussi compris que ce n’était pas la solution en reprenant le chemin de l'abstinence,tu vas pouvoir faire de ce caillou qq chose de positif: tu as trouvé ta faille et tu vas travailler dessus plus en profondeur pour pouvoir gérer un peu mieux tes émotions.

ne t'en veux pas lola,tu n'as pas réussi a trouver autre chose que l'alcool sur le moment,dans quelques temps,tu auras un moyen bien moins nocif pour contrer ce qui t'envahit mais il faut aller trouver cet outils en toi avec ta psy.
Tout va bien si tu repars au combat ma belle et tu sais quoi,tu n'y vas pas seule

Merci

Bonjour à tous....un petit retour après presque 1 an d'absence ici, en tout cas pour parler de moi, sinon je suis régulièrement le fil des autres....je reviens aujourd'hui (même si c'est très dur pour moi) pour vous parlez un petit peu de ce qui s'est passé et de mes "petits" soucis avec l'alcool...Bon pour résumer un peu l'année dernière, malgré une année assez chargée en émotion et en difficultés, je n'ai pas bu, des pensées oui mais je n'ai pas bu...par contre depuis la fin de l'année dernière c'est un peu plus compliqué, je m'affirme certes dans certaines décisions de ma vie personnelle, donc là c'est plutôt avancer, par contre les pensées alcool deviennent un peu plus récurrentes....les fêtes se sont passées et là je ne sais pas pourquoi les choses ont basculées...déjà pour commencer il y a la partie festive de l'alcool, le côté quand je vois les gens bien tranquilles, je suis pas à l'aise car je me suis mise dans la tête le "et pourquoi pas moi?"...ensuite dans ma vie de tous les jours, j'ai commencé à y penser un peu plus, même pas forcément en mode festif, mais aussi quand ça n'allait pas....j'ai eu quelques "craquages" que j'assimilais au fait de faire péter une soupape....seulement mes alcoolisations que j'ai pu avoir (sauf une je vous en parle après) n'étaient pas comme avant, à savoir alcool fort pour me déchirer la tête, non là on était juste sur une bière voir même des fois pas entière et basta, donc aucune anesthésie mais pourtant mieux...par contre du coup un moment donné j'ai fait l'erreur du débutant de se dire "bon ok je peux boire une bière de temps en temps et tout va bien, donc sans vraiment m'en rendre compte au début, et sans problèmes particuliers j'ai recommencé à en boire, une par jour puis de 33 cl je suis passé à 50 cl, ça a duré 8-10 jours et là j'ai percuté et je me suis dis "oh là stop! tu vas repartir en couilles, ça redevient une habitude" donc là de nouveau tout stoppé...bien sûr là la machine un peu réactivée, j'ai eu quelques jours assez compliqués, comme un sevrage mais c'est passé assez vite...par contre mon problèmes il est avec les pensées, ça revient souvent, pas 24h/24 mais assez souvent, alors soit en mode festif quand je suis en soirée, une sorte de "mal à l'aise", soit quand un truc ne vas pas dans ma vie...depuis ce passage des 8 jours, il m'est arrivé de nouveau de re-craquer mais idem une bière, voir la moitié et basta, sans suite les autres jours, parce que je sais que c'est mauvais pour moi et qu'il ne faut pas....on en a beaucoup parlé avec l'alcoologue et ma psy, et après de multiples questions de sa part sur ce que je ressentais, sur ma façon de voir les choses quand je bois, elle pense, bien sûr pour les pensées il faut qu'on creuse, mais pour elle, elle pense que c'est parce que je me suis mise la pression toute seule face à ça en commençant à me dire "et pourquoi pas moi?" "que je vais avoir 40 ans (ça aussi ça me travaille beaucoup, c'est con ce n'est qu'un âge certes mais moi j'ai du mal avec ça) et que l'abstinence zéro pour peut être encore autant me fait chier", faut dire le terme, et que du coup pour elle dans mon cerveau, je pense à ça, je me mets la pression toute seule, au point d'en faire presque une "obsession", mais que c'est purement psychologique, que en fait du coup bah je pense tellement qu'à ça, que du coup j'achète et je bois 2, 3 gorgées, donc on est vraiment pas sur de la recherche de défonce ou d'anesthésie, mais comme elle dit sur le côté je pense à ça, je me prive et que du coup bah au bout d'un moment rien que le fait de s'autoriser le geste, je fais redescendre la pression et donc la lutte...mais pas envie de boire jusqu'à plus soif, d'ailleurs à part les fameux 8 jours où là oui j'ai commencé à y reprendre goût, les autres fois où c'est arrivé après une moitié de 33 cl j'en étais même limite dégoutée et ça partait dans l'évier...et après il se passe des jours et des jours où j'y pense oui, mais sans que ce soit obsessionnel, jusqu'au moment où...je ne sais pourquoi un trop plein, un ras le bol...je vais acheter et je bois ces 2, 3 gorgées, qui n'ont donc bien-sûr aucun effets, ni anesthésiant, ni de défonce, juste oui comme dit ma psy, le fait que je me sois autorisée, je relâche....là récemment sentimentalement ça a été compliqué et pourtant malgré que je sois pas forcément au top moralement, il m'arrive d'y penser mais je ne craque pas, car j'arrive à garder à l'esprit que c'est inutile et dangereux pour moi....mais ça peut revenir n'importe quand....alors le pourquoi de ces pensées, ça je ne l'explique pas encore, j'arrive pas vraiment à mettre le doigt dessus....par contre je sais ce que je ne veux pas, à savoir reboire, mais voilà par moment il y a ces pensées et ces luttes qui sont plutôt désagréables...Voilà, j'ai essayé de résumer au mieux...c'est pas vraiment facile d'expliquer ce qui se passe dans ma tête comme ça à l'écrit, mais voilà....

Hello lola,

ça fait plaisir de te lire sur le forum "malgré" ce que tu traverses.
Je dirais bien sûr, fais attention.... tu ne ressens ni défonce, ni détente, mais le risque est là... et le geste d'aller acheter l'alcool aussi....
Je suis certaine que les pro en alcoologie vont arriver à la rescousse pour t'aider à y voir plus clair.

C'est "bien" de pouvoir déjà décortiquer la gestuelle et le quand arrivent ces pensées et actions, et pour ma part, il y a cette dépendance psychologique qui mise en évidence; c'est ce "réflexe" alcool qui arrive en premier.

Merci de ta confiance ma belle 

Effectivement le fait de penser à l'alcool à temps complet ou presque, correspond à une situation où tu ne te sens pas très bien, quelque chose que tu vis mal, ton âge peut-être ou autre chose, je n'en sais pas assez sur toi pour avoir une idée....
Par contre, même si ce n'est que deux ou trois gorgées, c'est tenter le diable, le jour où l'émotion sera plus forte, ce sera la bouteille entière et tu connais la suite, tu l'as déjà vécu et ça reviendra si tu laisses l'alcool reprendre peu à peu le pouvoir sur toi...
As-tu d'autres médicaments à prendre pour l'alcool et pour ces angoisses ????
Vas-tu dans un groupe de parole ?????
Pour le moment, ce n'est pas dramatique, mais c'est dangereux......

le problème n'est pas ces 2 ou 3 gorgées qui effectivement ne te mettent pas mal mais c'est cette autorisation que tu te donnes parce que là,tu as cassé ta barrière anti alcool et tu vas peu à peu t'autoriser de plus en plus pour en arriver à ta dose où tu es mal et où tu retombes dans la dépendance..
Le problème du premier verre n'est pas le verre que tu bois mais l'interdit que tu as cassé et qui finalement t'autorise à en boire un autre  
Mais je vois que tu es toujours suivi et que tu te prends en main,fais attention parce qu'a ce jeu là,c'est toujours le petit singe qui est le plus fort,parfois,on peut rester 6 mois,un an sans retomber dans l'enfer de l'alcool mais au final,la maladie reprend le dessus  
continue à voir ton alcoologue et ta psy mais sache que boire un verre de temps en temps c'est joeur à la roulette russe et c'est vraiment dommage quand tu es si près du but  

tiens nous au courant ma belle,moi aussi je suis contente de te revoir parmi nous

Alors Shale pour répondre à tes questions...pour l'instant le traitement est toujours inchangé depuis des mois, à savoir du quitaxon (anti dp), dépamide 2 par jours (régulateur d'humeur) et tranxène 10 mg 2 à 3 par jours suivant comment je me sens...mais je revois l'alcoologue le 30 et bien-sûr je vais lui parler de tout ça, même si je pense il est déjà au courant par ma psy et on verra ce qu'il propose...en ce qui concerne les groupes de paroles, au centre addicto il n'y en avait plus depuis quelques temps (ils sont en restructuration et c'est un peu compliqué, même au niveau des activités), mais je pense que ça va revenir....par contre mon autre soucis, c'est mon association d'ancien buveur, là aussi les choses partent un peu à la dérive suite à des mésententes entre le Président et le trésorier et disons que cette association se désertifie peu à peu, même des anciens ne veulent plus y venir...mais mon plus gros soucis est le suivant avec cette asso, le Président a une grande confiance en moi et au fil du temps j'ai commencé à m'impliquer de plus en plus, intervention au centre de cure, voir les malades en sevrages au centre addicto...mais maintenant je commence a avoir un problème de conscience avec ça...prêcher la bonne parole d'un côté et avoir ces passages de l'autre, mais en même temps comme j'expliquai à ma psy, bizarrement ou pas d'ailleurs, c'est aussi ce qui me tient je pense et m'empêche de basculer totalement, car quand je parle aux curistes ou autres, tout ce que je leur dit c'est un peu comme si je me le disais à moi aussi (je sais pas si c'est très clair)...dernièrement j'ai du aider une dame, sur demande de son assistante sociale, une femme prête à arrêter mais qui a peur pour la cure, et la suite...Le Président m'a confié ce cas car la dame en question ne voulait pas parlé à un homme (mal à l'aise), j'ai donc eu un premier rdv avec elle, chez elle à son domicile...et le lendemain son assistante sociale m'appelle pour me dire qu'elle était agréablement surprise du travail que j'avais pu faire sur elle, qu'elle était beaucoup plus sûre d'elle, moins peur, encore plus motivée...alors oui tout ça c'est gratifiant...mais là entre moi et ma conscience, j'ai du mal...et l'autre soucis (ça c'était la partie intéressante de mon asso, qui fait que je tiens..) c'est que je suis dans une asso où bizarrement je ne me sens pas de leur parler de mon problème et c'est là que c'est grave (car c'est tout de même le but), mais ce qu'il s'est passé déjà depuis quelques mois, parfois il y a des personnes que l'on ne voit plus (en général dans une asso c'est pas bon signe) et par deux fois quand le Président et encore plus le trésorier (le Président c'est """"un peu""" calmé), ils demandaient si quelqu'un avaient des nouvelles de telles ou telles personnes, et moi il m'est arrivé d'en avoir pour certains qui avaient "rechutés" tout en essayant de s'en sortir et là ils se mettent à en rire et tourne tout en dérision, alors forcément après ça on a pas trop envie de parler de son cas personnel...donc là je n'ai pas encore renouvelé ma carte d'adhésion, j'hésite encore, je ne sais pas quoi faire, d'un côté cette asso m'apporte de part l'aide aux autres, mais d'un autre côté je n'ose pas parler de mes propres problèmes et je fais souvent tampon entre le président et le trésorier c'est usant...et aussi la désertification qui fait que chaque semaine bah en général on est 3, un ptit nouveau très sympathique mais qui bien sûr après 3 semaines d'abstinences ne peut pas m'aider et de l'autre le trésorier et ses blagues vaseuses, sans arrêt les mêmes en boucles à qui je ne veux absolument pas parler de mes problèmes....donc voilà...c'est un peu le bordel dans l'asso, dans ma tête, je ne retrouve pas ce qu'on attends d'une asso, mais malgré tout il y a les interventions au centre de cure qui m'aide mais qui pour l'instant me donne des pbs de conscience...je ne sais pas trop quoi faire....

Merci pour ton témoignage, Lola.

Il m'est arrivé souvent depuis 2011 d'avoir des pensées comme les tiennes
Mais au final, cette licence que je me donnais à boire "avec modération" a toujours débouchée sur la licence IV.
Cela, c'est mon expérience et ne t'aide pas dans ton résonnement, dans tes obsessions.

Il y a toujours la joie de retrouver l'abstinence, mais après?

Paco

pour l'assoc,si tu te sens bien à aider et que cela t'aide,et bien poursuis,cela peut justement être un soutien pour arrêter définitivement de boire,comme tu le dis,ce que tu expliques au MA,tu te l'expliques aussi à toi même et tu t'aides en même temps qu'eux  
Pour le fait de parler ou pas,je pense que tu devrais en parler en tête à tête avec le président,tu as l'air plus en confiance avec lui qu'avec le trésorier,si tu n'en parles pas,alors tu es en contradiction avec tout ce que tu dis aux autres donc à toi même.Tu peux aussi lui dire pourquoi tu n'osais pas en parler,c'est important parce que souvent,ils ne se rendent pas compte et cela pourra justement éviter que d'autres aient le même raisonnement que toi.Donc aies confiance dans le président et parle lui seul si tu préfères

c'est un peu ce que je pensais faire Cristal, avant de prendre la décision de partir, lui en parler seul à seul....par contre je ne pense pas que ça changera pour les autres, le trésorier fait boulette sur boulette quand il parle au gens, il est ingérable et le président baisse les bras, ce qui crée le malaise pour tout le monde...

Pour l'aide que tu apportes aux malades alcooliques en centre de cure ou ailleurs, c'est une très bonne chose, mais pour l'assoc, ça craint... Il n'y a pas d'autres associations dans le coin où tu habites, il  y a assez de MAB pour que tu en trouves un où tu te sentes bien...Alors oui, essaie de parler au président, c'est tout de même à lui de gérer ce qui ne va pas dans sa section, s'il ne le fait pas, la section va se casser la figure....Je ne sais pas dans quel MAB tu es, mais tu peux trouver d'autres sortes de MAB ou une autre section du MAB où tu étais. Comme tu as commencé à apporter de l'aide à l'extérieur, ils te mettront vite à nouveau à contribution et une nouvelle dynamique de groupe ne pourra que t'aider, enfin, il me semble.....

J'allais poser la même question que shale par rapport à une autre association...
C'est quand même, par ce comportement, l'hôpital qui se fout de la charité 

Alors pour vous répondre Shale et Mamou, je l'ai déjà envisagé en effet, nous avons la chance d'avoir 5 assos sur ma ville mais....la seule qui fonctionne réellement c'est une autre association et pour avoir testé pendant 8 mois c'est vraiment pas mon truc, ça ne me corespond pas...et malheureusement les autres qui restent finctionnent encore moins bien que la notre, elles ne s'investissent même dans rien...ce qui me plaisait dans celle-ci, j'y suis depuis un peu plus de 2 ans maintenant c'est justement ce côté investissement du président dans l'aide, centre de cure, école, collège, entreprise...mais voilà le trésorier manque sérieusement de pédagogie et de psychologie et le président a tenté de le lui dire mais on ne le changera pas, je pense qu'il ne se rends même pas compte....et maintenant le président baisse les bras, il fait ses trucs de son côté et surtout lui maintenant est beaucoup plus sur une autre ville et je pense qu'il attends la fin de ses 2 ans qui lui reste de présidence et il ira dans un MAB à Epernay...il a déjà largement un pied dedans et dans cette ville ça fonctionne plutôt bien, alors que dans ma ville ce MAB c'est une cata aussi....donc voilà le tour est vite fait....et si le président arrête le trésorier reprendra la présidence mais là on court à la catastrophe, il est trop vieux jeu, refuse toutes nouveautés d'aide en disant que c'est de la "connerie"...donc là on avancera plus du tout....mais bon voilà ça c'est le futur...le présent c'est que je fais beaucoup tampon entre les deux, l'un se plaignant de l'autre et c'est usant à la longue...demain il y a la fameuse femme en questiin que j'ai aidé, elle vient demain c'était convenu avec son assistante sociale pour que je sois présente...mais j'appréhende les réactions du trésorier, quand je l'ai prévenu d'y aller doucement parce qu'elle est déjà pas à l'aise, il a rigolé...donc je sais pas trop à quoi m'attendre, si c'est pour démonter tout ce que j'ai réussi à faire avec elle ça va pas le faire et là je risque de me rebiffer, chose que je ne fais pas jusque maintenant....

Et bien tu te rebiffes, ça lui fera peut-être pas de mal d'être recadré à cet homme, s'il n'est pas capable, il faut le lui dire et vite même avant qu'il ne bousille toute la section!!!!

Tout d'abord, j'ai supprimé le nom du groupe que tu nommais  , on ne peut en favoriser un plus que l'autre en les nommant, mais tu ne le savais pas 

Serait-ce possible que le trésorier soit démis de ses fonctions ou alors qu'il y ait une bonne mise au point en mettant en évidence la diminution du nombre des membres?

Tu pourrais en parler à Yves Mouchet et à Patrick Masson sur Facebook, ils seraient en mesure de te conseiller par rapport à ce qui se passe dans ton MAB...

Désolée Mamou je l'ignorais, pour le reste il n'y a que le président qui peut prendre des mesures, mais il a baissé les bras, le trésorier très têtu 65 ans, 35 ans d'armée derrière lui, je pense pas qu'on puisse lui faire entendre quoi que ce soit...et Shale je t'ai répondu en privé, je ne pouvais malheureusement pas expliqué ici sur le fil....