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L'envie de vivre sans, mon déclic
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L'envie de vivre sans, mon déclic
Moi j'en étais arrivé sur les 3 derniers mois à passer d'une fois ou deux par mois, à minimum 2 par semaines..
Je sentais bien que mon estime de moi en prenais un coup, mais on ignore le plus souvent.
Puis jeudi dernier, je me suis retrouvé chez des gens que je ne connaissait pas après un concert de métal, à boire une connerie au litchi que je n'aimais pas.
Avec une question que l'on m'a posé et qui m'est resté dans la tête : "mais qui tu connais ici?". Je ne m'était même pas rendu compte qu'il n'y avais pas les copains avec qui j'étais allé au bar.
C'était le coup de trop. Ça m'a fait un électrochoc. C'est maintenant ou jamais qu'il fallait que j'arete et que je reprenne les reines.
1ere fois que je reconnaissais l'alcool comme un vrai problème
Et pas question de le faire à la légère.
Carnet de route pour m'aider, avoir les idées clairs et pouvoir relire mon témoignage ma motivation, réfléchir à des substitue... internet pour me renseigner, rechercher des témoignages...
RDV avec médecin pour avoir aide médical au cas ou..
lu sur internet : "le désir de boire ne dure que maxi 5 minutes, certes intense est dur, mais une fois ces 5 minutes passées, il vous sera facile de profiter".
Ca m'a bien motivé car je sais que c'est vrai.
J'ai eu beaucoup de symptôme, la première semaine avec un pic très puissant le 3 ème jour .
témoignage du 6eme jours :
"Sensation de fièvre, barre dans la tête, tremblement, insomnie.
Dur mais supportable. Mon corp me fait comprendre ce qu'il veut. Mais moi aussi je sais ce que JE VEUX et je serais le plus fort!
Toujours ces dents sérrés, indéssérables...
J'ai pas encore toucher au médoc, si je peut éviter, j'évite. Puis entretien d'embauche demain, je ne veux pas arriver shooter."
Un peu plus tard dans la soirée :
"J'ai mon moral qui fuit, qui fait du yoyo. Aujourd'hui je pleure, je ne peut pas dormir.
Je suis partie me promener, je sais que ça va reprendre dans ma chambre, mais je l'espère un peu moins fort. C'est le soir que je suis vulnérable.
Des fois, même souvent j'ai l'impression d'avoir la gueule de bois, pas une forte mais une persistance...
Des fois aussi, j'ai l'impression que la douleur n'est pas réel, quelque secondes, et paf celle ci reprend à ne plus m'en faire douter.
Heureux de faire ce chemin.
Tout les matins, ça va extrêmement bien, une sorte de breack, ça aide vraiment à tenir le soir. On pense au matin et on attend"
Pendant cette période j'ai tenu grâce à des substitues :
- la musique aide beaucoup, j'en écoutais jusqu'à 12, 14h par jour
- l'air frais fait du bien aussi
-vivre lentement, marché très lentement, en ralentissant son corps, on ralenti aussi la perception de la douleur.
Je faisais les 3 en même temps et ça m'a vraiment permis de tenir.
Puis chaque jour un peu moins de symptôme, d'abord discret à pene perceptible. Puis on se rend compte que ça va mal qu'à partir de 18h, puis 20h alors qu'au début c'était 10h et on sais que c'est gagné pour le sevrage physique, que le plus dur est derrière soi.
Sans alcool, je vie, je ne subit plus. Je recommence à être capable (doucement) de me projeter dans l'avenir pour projeter des choses le lendemain, ou le sur lendemain. Avant je ne pouvais pas, il fallait que au cas ou, je soit libre pour mon besoin d'alcool.
Aujourd'hui, 10eme jour d'abstinance, je vois les changements :
moi qui n'était vraiment pas du matin, je me lève EN FORME, à 9, 10h même quand je me couche tard.
Je profite mieux de se qui m'entoure, des sons autour de moi.
Et qui l'eut cru, je trouve même les filles plus jolie en règle générale :).
Je suis content aussi d'avoir gardé une trace de mon sevrage physique pour ne jamais l'oublier.
Je sais qu'un jour, ça sera à mon cerveau de m'inciter, d'atténuer tout ça, de baisser ma garde.
Mais ce jour la, je lui lirais mon expérience, les difficultés rencontrés et je me rappellerais pourquoi je me bat.
En lisant d'autre témoignage, c'est une chance pour moi d'avoir eu ce déclic maintenant.
Ce combat, je le fait pour mi et uniquement pour moi. Je ne suis pas encore assez fort pour en parler à la famille ni aux amis proche. En effet qu'est-ce pour eux, ne pas boire pendant 10 jours? ils ne comprendraient pas.
Je sentais bien que mon estime de moi en prenais un coup, mais on ignore le plus souvent.
Puis jeudi dernier, je me suis retrouvé chez des gens que je ne connaissait pas après un concert de métal, à boire une connerie au litchi que je n'aimais pas.
Avec une question que l'on m'a posé et qui m'est resté dans la tête : "mais qui tu connais ici?". Je ne m'était même pas rendu compte qu'il n'y avais pas les copains avec qui j'étais allé au bar.
C'était le coup de trop. Ça m'a fait un électrochoc. C'est maintenant ou jamais qu'il fallait que j'arete et que je reprenne les reines.
1ere fois que je reconnaissais l'alcool comme un vrai problème
Et pas question de le faire à la légère.
Carnet de route pour m'aider, avoir les idées clairs et pouvoir relire mon témoignage ma motivation, réfléchir à des substitue... internet pour me renseigner, rechercher des témoignages...
RDV avec médecin pour avoir aide médical au cas ou..
lu sur internet : "le désir de boire ne dure que maxi 5 minutes, certes intense est dur, mais une fois ces 5 minutes passées, il vous sera facile de profiter".
Ca m'a bien motivé car je sais que c'est vrai.
J'ai eu beaucoup de symptôme, la première semaine avec un pic très puissant le 3 ème jour .
témoignage du 6eme jours :
"Sensation de fièvre, barre dans la tête, tremblement, insomnie.
Dur mais supportable. Mon corp me fait comprendre ce qu'il veut. Mais moi aussi je sais ce que JE VEUX et je serais le plus fort!
Toujours ces dents sérrés, indéssérables...
J'ai pas encore toucher au médoc, si je peut éviter, j'évite. Puis entretien d'embauche demain, je ne veux pas arriver shooter."
Un peu plus tard dans la soirée :
"J'ai mon moral qui fuit, qui fait du yoyo. Aujourd'hui je pleure, je ne peut pas dormir.
Je suis partie me promener, je sais que ça va reprendre dans ma chambre, mais je l'espère un peu moins fort. C'est le soir que je suis vulnérable.
Des fois, même souvent j'ai l'impression d'avoir la gueule de bois, pas une forte mais une persistance...
Des fois aussi, j'ai l'impression que la douleur n'est pas réel, quelque secondes, et paf celle ci reprend à ne plus m'en faire douter.
Heureux de faire ce chemin.
Tout les matins, ça va extrêmement bien, une sorte de breack, ça aide vraiment à tenir le soir. On pense au matin et on attend"
Pendant cette période j'ai tenu grâce à des substitues :
- la musique aide beaucoup, j'en écoutais jusqu'à 12, 14h par jour
- l'air frais fait du bien aussi
-vivre lentement, marché très lentement, en ralentissant son corps, on ralenti aussi la perception de la douleur.
Je faisais les 3 en même temps et ça m'a vraiment permis de tenir.
Puis chaque jour un peu moins de symptôme, d'abord discret à pene perceptible. Puis on se rend compte que ça va mal qu'à partir de 18h, puis 20h alors qu'au début c'était 10h et on sais que c'est gagné pour le sevrage physique, que le plus dur est derrière soi.
Sans alcool, je vie, je ne subit plus. Je recommence à être capable (doucement) de me projeter dans l'avenir pour projeter des choses le lendemain, ou le sur lendemain. Avant je ne pouvais pas, il fallait que au cas ou, je soit libre pour mon besoin d'alcool.
Aujourd'hui, 10eme jour d'abstinance, je vois les changements :
moi qui n'était vraiment pas du matin, je me lève EN FORME, à 9, 10h même quand je me couche tard.
Je profite mieux de se qui m'entoure, des sons autour de moi.
Et qui l'eut cru, je trouve même les filles plus jolie en règle générale :).
Je suis content aussi d'avoir gardé une trace de mon sevrage physique pour ne jamais l'oublier.
Je sais qu'un jour, ça sera à mon cerveau de m'inciter, d'atténuer tout ça, de baisser ma garde.
Mais ce jour la, je lui lirais mon expérience, les difficultés rencontrés et je me rappellerais pourquoi je me bat.
En lisant d'autre témoignage, c'est une chance pour moi d'avoir eu ce déclic maintenant.
Ce combat, je le fait pour mi et uniquement pour moi. Je ne suis pas encore assez fort pour en parler à la famille ni aux amis proche. En effet qu'est-ce pour eux, ne pas boire pendant 10 jours? ils ne comprendraient pas.
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Bonjour etiennv,
Bienvenu parmi nous!
Tout d'abord bravo pour tes 10 jours, c'est du bon boulot!!!!
Merci aussi pour ton témoignage....
Bienvenu parmi nous!
Tout d'abord bravo pour tes 10 jours, c'est du bon boulot!!!!
Merci aussi pour ton témoignage....
mamou- Super Tchatcheur
- 25/03/2013
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
bonjour Etiennv et bienvenue sur Onsaide !
bravo pour ces 10 jours, tu as fait déjà un énorme effort.
Il va falloir maintenant mettre toutes les chances de ton côté pour bien vivre ton abstinence dans la durée, mais nous allons en parler au fur et à mesure...
bravo pour ces 10 jours, tu as fait déjà un énorme effort.
Il va falloir maintenant mettre toutes les chances de ton côté pour bien vivre ton abstinence dans la durée, mais nous allons en parler au fur et à mesure...
chouchou- Super Tchatcheur
- 22/08/2012
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
:hello: etienne!
Bravo pour tes 10 jours!
Bravo pour tes 10 jours!
Ludvina- Super Tchatcheur
- 17/02/2012
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Tu racontes ton sevrage d'une manière très intéressante, on ressent bien les différentes étapes et le moment où l'alcool lâche prise.
Mais il y a l'après sevrage, car l'abstinence n'est pas un but en soi, c'est le commencement d'une nouvelle vie et cette nouvelle vie il faut la préparer pour que l'alcool ne puisse pas à nouveau s'y immiscer....
Es-tu suivi par un psy? Ce serait une bonne chose. Il y a les CSAPA, dans chaque ville, où tu peux rencontrer gratuitement psy, alcoologue, infirmiers alcoologues qui peut te suivre. Il y a aussi les MAB, mouvements d'anciens buveurs qui peuvent t'apporter une aide de proximité et puis il y a ce forum où tu peux venir parler jour et nuit...
On va continuer d'ailleurs à discuter de tout ça, si tu le veux bien...
Mais il y a l'après sevrage, car l'abstinence n'est pas un but en soi, c'est le commencement d'une nouvelle vie et cette nouvelle vie il faut la préparer pour que l'alcool ne puisse pas à nouveau s'y immiscer....
Es-tu suivi par un psy? Ce serait une bonne chose. Il y a les CSAPA, dans chaque ville, où tu peux rencontrer gratuitement psy, alcoologue, infirmiers alcoologues qui peut te suivre. Il y a aussi les MAB, mouvements d'anciens buveurs qui peuvent t'apporter une aide de proximité et puis il y a ce forum où tu peux venir parler jour et nuit...
On va continuer d'ailleurs à discuter de tout ça, si tu le veux bien...
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
j'ai prit rdv avec un CATAA (délais d'attente long : 24 février (ca fera mon mois)
Après je sais pas trop ce qu'il y a sur besançon ni en quoi consistera mon rdv.
Je me demandais d’ailleurs, y a-t-il des numéro disponible pour parler quand ca allais pas.
Ça m'aurais vraiment bien servis entre le 4eme et le 6eme soir. J'ai essayé sos amitié mais y avais personne.
et coté famille + ami proche, ben vu que c'était surtout pas le moment de leur en parler car quoi qu'il dise (encouragement, reproche d'une période, un "c'est bien", un "ha je pensais pas ça comme ça"...) rien ne m'aurais plu :)
Maintenant ça passerais mais je préfère attendre le mois au moins avant d'en causer au gens que je connais bien.
Après oui tu as raison, il faut avancer.
La j'en profite pour prendre soin de moi, check up complet chez le médecin, dentiste opticien, kiné, dermato... +coiffeur
J'ai aussi coupé les ponts (sans donner de nouvelle) du tout avec tout les copains porté sur la boisson, les bar que je fréquentais.
Et j'essaye de me trouver du taff stable, m'éloigner de la ville et des milieux ou je trainais dès que j'ai une paye (oui actuellement 0 ressource car en chômage non rémunéré, et pas rsa car - de 25ans, j'ai vraiment de la chance que ma grand mère m'héberge).
J'attend d’ailleurs la réponse de l'entretien de jeudi (heureusement qu'il était le matin, il s'est bien passé).
c'est quoi CSAPA?
Après je sais pas trop ce qu'il y a sur besançon ni en quoi consistera mon rdv.
Je me demandais d’ailleurs, y a-t-il des numéro disponible pour parler quand ca allais pas.
Ça m'aurais vraiment bien servis entre le 4eme et le 6eme soir. J'ai essayé sos amitié mais y avais personne.
et coté famille + ami proche, ben vu que c'était surtout pas le moment de leur en parler car quoi qu'il dise (encouragement, reproche d'une période, un "c'est bien", un "ha je pensais pas ça comme ça"...) rien ne m'aurais plu :)
Maintenant ça passerais mais je préfère attendre le mois au moins avant d'en causer au gens que je connais bien.
Après oui tu as raison, il faut avancer.
La j'en profite pour prendre soin de moi, check up complet chez le médecin, dentiste opticien, kiné, dermato... +coiffeur
J'ai aussi coupé les ponts (sans donner de nouvelle) du tout avec tout les copains porté sur la boisson, les bar que je fréquentais.
Et j'essaye de me trouver du taff stable, m'éloigner de la ville et des milieux ou je trainais dès que j'ai une paye (oui actuellement 0 ressource car en chômage non rémunéré, et pas rsa car - de 25ans, j'ai vraiment de la chance que ma grand mère m'héberge).
J'attend d’ailleurs la réponse de l'entretien de jeudi (heureusement qu'il était le matin, il s'est bien passé).
c'est quoi CSAPA?
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Bonjour etiennev et bienvenue sur Onsaide.
Je te dis aussi BRAVO pour tes 10 jours.
Je te dis aussi BRAVO pour tes 10 jours.
Crystal_ine- Super Tchatcheur
- 10/03/2012
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Merci à tous
Je vient de voir qu'une association fait des réunions tout les mercredi :) ( c'est fou comment on a besoin d'être poussé pour faire des recherches, j'aurais bien aimé le savoir mercredi dernier :) )
Et sinon ou peut on trouver des renseignements sur l'après sevrage, ca reste assez flou pour moi.
Je vient de voir qu'une association fait des réunions tout les mercredi :) ( c'est fou comment on a besoin d'être poussé pour faire des recherches, j'aurais bien aimé le savoir mercredi dernier :) )
Et sinon ou peut on trouver des renseignements sur l'après sevrage, ca reste assez flou pour moi.
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
bonjour etienne et bienvenue sur onsaide
j'ai édité le nom de ton association,nous ne les nommons pas ici pour ne pas en privilégier un plus que l'autre mais tu ne le savais c'est pas grave et l'important est que tu ailles dans ce MAB
le CSAPA est un centre de soins ambulatoire avec des alcoologues,psy et infirmières spécialisés dans la maladie alcoolique,c'est gratuit et c'est une aide très précieuse
tu as l'air bien ancré dans ton abstinence et tu as bien compris que tu dois le faire pour toi et pour personne d'autre pour le fait de le dire aux autres,tu n'es pas obligé pour le moment,il faut que tu fasses les choses en fonction de toi maintenant et pas parce qu'il le faut.Si tu as envie TOI de le dire,tu le dis sinon,ça ne regarde que toi et puis n'attend rien des autres,on est souvent déçu de leur réaction face à ce combat que nous menons,pour eux,c'est facile alors ils ne peuvent pas comprendre la difficulté que nous vivons au quotidien pour sortir de cet enfer.
Je vois que tu te connais très bien et que tu sais ce qui est bon pour toi ce qui est une bonne chose pour la suite,que veux tu savoir sur l'après sevrage ??
j'ai édité le nom de ton association,nous ne les nommons pas ici pour ne pas en privilégier un plus que l'autre mais tu ne le savais c'est pas grave et l'important est que tu ailles dans ce MAB
le CSAPA est un centre de soins ambulatoire avec des alcoologues,psy et infirmières spécialisés dans la maladie alcoolique,c'est gratuit et c'est une aide très précieuse
tu as l'air bien ancré dans ton abstinence et tu as bien compris que tu dois le faire pour toi et pour personne d'autre pour le fait de le dire aux autres,tu n'es pas obligé pour le moment,il faut que tu fasses les choses en fonction de toi maintenant et pas parce qu'il le faut.Si tu as envie TOI de le dire,tu le dis sinon,ça ne regarde que toi et puis n'attend rien des autres,on est souvent déçu de leur réaction face à ce combat que nous menons,pour eux,c'est facile alors ils ne peuvent pas comprendre la difficulté que nous vivons au quotidien pour sortir de cet enfer.
Je vois que tu te connais très bien et que tu sais ce qui est bon pour toi ce qui est une bonne chose pour la suite,que veux tu savoir sur l'après sevrage ??
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
un CSAPA, c'est un centre de Soins d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie en ambulatoire. Tu an sauras plus en allant ici : http://www.drogues-info-service.fr/?Le-Centre-de-Soins-d
chouchou- Super Tchatcheur
- 22/08/2012
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
http://www.drogues-info-service.fr/?-Services-telephoniques-
Ludvina- Super Tchatcheur
- 17/02/2012
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
A propos de l'après sevrage : plus quel sont les bonnes attitudes à adopter.
Les risques, les principales difficultés? les types de difficulté? des témoignages détaillés?
S'il y a des cap à passer, comme la semaine pour le début?
cap des 3 mois, 6 mois, un an?
Après ça dépend peut être plus de l'individu.
Comment franchir ces caps? ...
Je suis le type de personne qui aime bien être très bien renseigné, et avoir le plus d'atout de mon coté. Puis ça permet de se préparer psychologiquement aussi.
merci ludvina pour ton lien, il m'aurait été très utile.
Hihi ça m'est même pas venu à l'idée de taper "écoute alcool" sur google.
Les risques, les principales difficultés? les types de difficulté? des témoignages détaillés?
S'il y a des cap à passer, comme la semaine pour le début?
cap des 3 mois, 6 mois, un an?
Après ça dépend peut être plus de l'individu.
Comment franchir ces caps? ...
Je suis le type de personne qui aime bien être très bien renseigné, et avoir le plus d'atout de mon coté. Puis ça permet de se préparer psychologiquement aussi.
merci ludvina pour ton lien, il m'aurait été très utile.
Hihi ça m'est même pas venu à l'idée de taper "écoute alcool" sur google.
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
alors pour bien comprendre la maladie alcoolique,je te conseille d'aller lire le texte "la biochime du cerveau" dans la rubrique "base de données",c'est très interessant de savoir comment ton cerveau a transformé son fonctionnement initial tu as aussi "l'alcool une drogue dure: la THP" qui apporte beaucoup .
pour les cap,tu as celui du sevrage entre une semaine et 10 jours
puis tu as celui du 1er mois ou tu navigues entre l'envie de te "récompenser" pour avoir tenu si longtemps en étant persuadé que maintenant,tu sauras modérer et l'envie d'aller au bout de ce que tu as commencé à savoir te debarrasser de l'alcool une bonne fois pour toute.ce cap est assez dur a franchir ...
ensuite,tu as le cap des 3 mois,celui où tu ne fabriques plus de THP,cette molécule qui a remplacé la dopamine et qui te poussait à boire(cf les textes que tu as lu dans la base de données )
ce cap est difficile car tu dois absolument booster tes endorphines pour stimuler la production de dopamines donc te faire plaisir le plus souvent possible alors même que ton corps reclame sa THP .
a partir des 3 mois,tu ne luttes plus vraiment contre l'alcool mais tu te bats pour te reconstruire,vivre une vie sans alcool demande des changements parfois radicaux et ce n'est pas toujours facile de tout mettre en place surtout dans ces moments émotionnellement intense !!
ensuite,le cap des 6 mois où on se demande où on va et qui on est devenu
le soutien psy est alors très important pour tout réequilibrer.
le cap des 9 mois est plus doux,on arrive enfin a se poser et a voir tout ce qu'on a parcouru,on est bien plus serein car la vie sans alcool devient une évidence et on entre alors souvent dans le "hors alcool",on ne voit plus l'alcool du tout et c'est très agréable de ne plus avoir a lutter,on commence alors a vivre intensément et il y en a des choses a faire
bon,tout cela est très résumé et varie suivant les personnes mais chaque cap est important et ne doit pas être bâclé,toutes les étapes doivent etre vécues les unes après les autres sans se précipiter sinon,on chute alors en douceur,beaucoup de patience et surtout,commencer a se donner de l'importance et apprendre a s'aimer,ce sont les clés du succès
pour les cap,tu as celui du sevrage entre une semaine et 10 jours
puis tu as celui du 1er mois ou tu navigues entre l'envie de te "récompenser" pour avoir tenu si longtemps en étant persuadé que maintenant,tu sauras modérer et l'envie d'aller au bout de ce que tu as commencé à savoir te debarrasser de l'alcool une bonne fois pour toute.ce cap est assez dur a franchir ...
ensuite,tu as le cap des 3 mois,celui où tu ne fabriques plus de THP,cette molécule qui a remplacé la dopamine et qui te poussait à boire(cf les textes que tu as lu dans la base de données )
ce cap est difficile car tu dois absolument booster tes endorphines pour stimuler la production de dopamines donc te faire plaisir le plus souvent possible alors même que ton corps reclame sa THP .
a partir des 3 mois,tu ne luttes plus vraiment contre l'alcool mais tu te bats pour te reconstruire,vivre une vie sans alcool demande des changements parfois radicaux et ce n'est pas toujours facile de tout mettre en place surtout dans ces moments émotionnellement intense !!
ensuite,le cap des 6 mois où on se demande où on va et qui on est devenu
le soutien psy est alors très important pour tout réequilibrer.
le cap des 9 mois est plus doux,on arrive enfin a se poser et a voir tout ce qu'on a parcouru,on est bien plus serein car la vie sans alcool devient une évidence et on entre alors souvent dans le "hors alcool",on ne voit plus l'alcool du tout et c'est très agréable de ne plus avoir a lutter,on commence alors a vivre intensément et il y en a des choses a faire
bon,tout cela est très résumé et varie suivant les personnes mais chaque cap est important et ne doit pas être bâclé,toutes les étapes doivent etre vécues les unes après les autres sans se précipiter sinon,on chute alors en douceur,beaucoup de patience et surtout,commencer a se donner de l'importance et apprendre a s'aimer,ce sont les clés du succès
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Bonjour Etienne
Bravo pour tes 10 jours!
Ce que je retiens c'est que pour un adulte de -25 ans, tu as une grande lucidité, et surtout une sacré organisation. Je ne sais pas quel est ton métier, mais tu serais sacrément bon dans tout ce qui est gestion de production. Méthodique, méticuleux analytique....
Juste une petite chose en complément de ce qu'a dit Cristal, tu entres dans une période que j'appellerais euphorique, Cristal t'a expliqué le processus de "récompense" et tu as aussi le côté euphorique qui pourrait te rendre moins vigilant par exemple oublié tout bonnement ta décision d'arrêt d'alcool et te retrouver avec un verre à la main.
C'est béta mais ça peut arriver
Bravo pour tes 10 jours!
Ce que je retiens c'est que pour un adulte de -25 ans, tu as une grande lucidité, et surtout une sacré organisation. Je ne sais pas quel est ton métier, mais tu serais sacrément bon dans tout ce qui est gestion de production. Méthodique, méticuleux analytique....
Juste une petite chose en complément de ce qu'a dit Cristal, tu entres dans une période que j'appellerais euphorique, Cristal t'a expliqué le processus de "récompense" et tu as aussi le côté euphorique qui pourrait te rendre moins vigilant par exemple oublié tout bonnement ta décision d'arrêt d'alcool et te retrouver avec un verre à la main.
C'est béta mais ça peut arriver
Invité- Invité
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
A Ludvina :
merci pour le lien.
C'est fou tellement on croit qu'on est seul quand on arrête qu'on pense même pas à taper "écoute alcool" sur google.
Peut être aussi qu'on a tellement apprit à bien zappé tout ce qu'on ne voulait pas voir..
A Chiffounette :
Oui c'est vrai, ça serait vraiment le plus sournois ça.
C'est vrai la, ça fait 2 jour où je ne ressent aucun manque. Je reste méfiant, je ne veux jamais à avoir à recommencer la première semaine.
J'en profite pour noter dans mon carnet de route (enfin oui c'est une sorte de route), tout les mauvais moments passé avec l'alcool.
Ils ont du mal à venir au départ, mais une fois qu'il y en a un qui arrive, beaucoup d'autre rapplique.
Pour ce qui est boulot, je cherche en tant que magasinier, préparateur de commande, cariste, technicien logistique...
la si je suis prit c'est pour être opérateur polyvalent, gestion de chaîne, lancement suivi des machines, contrôles de la production, réapprovisionnement de chaîne, emballage, stockage, chargement déchargement de camions, livraison..
Bref, un truc où 1 on a pas le temps de s'ennuyer, 2 on fait pas toujours la même .
chose.
Héhé tu as vu juste chiffounette
merci pour le lien.
C'est fou tellement on croit qu'on est seul quand on arrête qu'on pense même pas à taper "écoute alcool" sur google.
Peut être aussi qu'on a tellement apprit à bien zappé tout ce qu'on ne voulait pas voir..
A Chiffounette :
Oui c'est vrai, ça serait vraiment le plus sournois ça.
C'est vrai la, ça fait 2 jour où je ne ressent aucun manque. Je reste méfiant, je ne veux jamais à avoir à recommencer la première semaine.
J'en profite pour noter dans mon carnet de route (enfin oui c'est une sorte de route), tout les mauvais moments passé avec l'alcool.
Ils ont du mal à venir au départ, mais une fois qu'il y en a un qui arrive, beaucoup d'autre rapplique.
Pour ce qui est boulot, je cherche en tant que magasinier, préparateur de commande, cariste, technicien logistique...
la si je suis prit c'est pour être opérateur polyvalent, gestion de chaîne, lancement suivi des machines, contrôles de la production, réapprovisionnement de chaîne, emballage, stockage, chargement déchargement de camions, livraison..
Bref, un truc où 1 on a pas le temps de s'ennuyer, 2 on fait pas toujours la même .
chose.
Héhé tu as vu juste chiffounette
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
coucou étienne,
comment s'est passé ta journée?
Tiens au fait, tu devrais avoir une réponse pour le boulot quand?
comment s'est passé ta journée?
Tiens au fait, tu devrais avoir une réponse pour le boulot quand?
mamou- Super Tchatcheur
- 25/03/2013
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
J'ai appelé l'intérim ce matin, elle m'a dit qu'ils avaient pas encore de réponse mais que d'ici à mercredi, ils sauraient.
Pour ma journée, dans les grandes lignes ça va, je suis un peu moins euphorique, un peu mal à la tête (mais je soupçonne aussi mon coup de froid).
Voila, tout est OK à part, une pensée quand je m'ennuyais :
je me suis dit ben j'irais bien faire un ptit tour, rue de la liberté
Alors que, ben non :) surtout pas.
C'est la rue ou il y avait mon bar et aussi les appart de 2 potes bien porté sur l'alcool ou j'allais souvent avant.
rue de al liberté? rue de la liberté faussé oui !
à bannir :)
Sinon pas fait grand chose : un peu ballade, et surtout regarder des webséries, pas désagréable non plus de ne pas avoir des millions de truc de prévu.
Pour ma journée, dans les grandes lignes ça va, je suis un peu moins euphorique, un peu mal à la tête (mais je soupçonne aussi mon coup de froid).
Voila, tout est OK à part, une pensée quand je m'ennuyais :
je me suis dit ben j'irais bien faire un ptit tour, rue de la liberté
Alors que, ben non :) surtout pas.
C'est la rue ou il y avait mon bar et aussi les appart de 2 potes bien porté sur l'alcool ou j'allais souvent avant.
rue de al liberté? rue de la liberté faussé oui !
à bannir :)
Sinon pas fait grand chose : un peu ballade, et surtout regarder des webséries, pas désagréable non plus de ne pas avoir des millions de truc de prévu.
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Croisons les doigts pour mercredi alors
Pas mal la rue de la fausse liberté .....
C'est dans ces moments de pensée là qu'il est important de revenir au moment là maintenant, et surtout à ce que tu as déjà fait jusqu'ici.
Le plan rien de prévu , t'as besoin de souffler aussi après ce sevrage!!!
Pas mal la rue de la fausse liberté .....
C'est dans ces moments de pensée là qu'il est important de revenir au moment là maintenant, et surtout à ce que tu as déjà fait jusqu'ici.
Le plan rien de prévu , t'as besoin de souffler aussi après ce sevrage!!!
mamou- Super Tchatcheur
- 25/03/2013
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
ça fait un jour de plus tout ça
tu te débrouilles comme un chef
tu te débrouilles comme un chef
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Bonjour, aujourd'hui bonne journée
j'ai rêvé ce matin (ou repensé je sais plus trop vu que c'était du passé réel).
J'étais dans le bar, avec ce sentiment d'être coincé, personne qui paye des verre, envie d'aller au toilette mais je sais que quand j'en reviendrais je retrouverais mon verre plein... gens qui discutent, impossibilité de les couper pour dire au revoir...
Plus j'ai du recul, plus je vois toutes les contraintes et plus je me dit que c'est le bon choix.
Je voudrais dire une phrase comme quoi, quoi j'accepte entièrement ma vie, mon passé (mes moment durs ceux que j'ai subit ou que je me suis fait subir, mais aussi les bon moments..).
Ce qui compte c'est ici et maintenant, toute ma capacité d'action se situe ici, et maintenant.
Les choses sur lesquels je n'ai pas de prise dessus sont des faits.
Je ne les prends pas sur moi.
(j'espere qu'à défaut d'être pas très joliment écrit, l'idée passe bien:) )
PS : ça fait plusieurs jour que je peux me regarder dans les yeux dans un miroir plus de 10 secondes sans baisser les yeux :) classe.
j'ai rêvé ce matin (ou repensé je sais plus trop vu que c'était du passé réel).
J'étais dans le bar, avec ce sentiment d'être coincé, personne qui paye des verre, envie d'aller au toilette mais je sais que quand j'en reviendrais je retrouverais mon verre plein... gens qui discutent, impossibilité de les couper pour dire au revoir...
Plus j'ai du recul, plus je vois toutes les contraintes et plus je me dit que c'est le bon choix.
Je voudrais dire une phrase comme quoi, quoi j'accepte entièrement ma vie, mon passé (mes moment durs ceux que j'ai subit ou que je me suis fait subir, mais aussi les bon moments..).
Ce qui compte c'est ici et maintenant, toute ma capacité d'action se situe ici, et maintenant.
Les choses sur lesquels je n'ai pas de prise dessus sont des faits.
Je ne les prends pas sur moi.
(j'espere qu'à défaut d'être pas très joliment écrit, l'idée passe bien:) )
PS : ça fait plusieurs jour que je peux me regarder dans les yeux dans un miroir plus de 10 secondes sans baisser les yeux :) classe.
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
ça fait plusieurs jour que je peux me regarder dans les yeux dans un miroir plus de 10 secondes sans baisser les yeux :) classe.
super classe
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Tu as bien raison etienne, le passé est où il doit être! ce qui est fait est fait!
il sert "uniquement" de rétroviseur, voir d'où l'on vient!
Très très bien d'arriver à te regarder dans le miroir, un très grand pas!
Bravo etienne!
il sert "uniquement" de rétroviseur, voir d'où l'on vient!
Très très bien d'arriver à te regarder dans le miroir, un très grand pas!
Bravo etienne!
mamou- Super Tchatcheur
- 25/03/2013
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Plop. today, bonne journée.
Pas de manque, du dynamisme et tout.
Bon pour mon emploi c'est mort par contre, surement 1 plus expérimenté. tant pis. J'ai repostulé pour une mission courte en tant que responsable inventaire pour orange. En espérant que ça passe :)
J'en ai profité pour faire le tour des intérims.
ca a fait ca * 5
"-bonjour, je me demandais si vous auriez du travail pour moi?" "Non, pas pour l'instant"
Ca m'a aussi permis de tester mon moral
Puis le soir petit tour dans un MAB. Au début un peu génépuis rapidement senti à l'aise. On se sent sacrément léger en repartant.
On m'a donné la lettre à l'entourage de nos patient. Bien que pas directement visé, je suis sur qu'il y a pas mal de choses intéressantes dedans. Je vais zieuté ça tout à l'heure.
Pas de manque, du dynamisme et tout.
Bon pour mon emploi c'est mort par contre, surement 1 plus expérimenté. tant pis. J'ai repostulé pour une mission courte en tant que responsable inventaire pour orange. En espérant que ça passe :)
J'en ai profité pour faire le tour des intérims.
ca a fait ca * 5
"-bonjour, je me demandais si vous auriez du travail pour moi?" "Non, pas pour l'instant"
Ca m'a aussi permis de tester mon moral
Puis le soir petit tour dans un MAB. Au début un peu génépuis rapidement senti à l'aise. On se sent sacrément léger en repartant.
On m'a donné la lettre à l'entourage de nos patient. Bien que pas directement visé, je suis sur qu'il y a pas mal de choses intéressantes dedans. Je vais zieuté ça tout à l'heure.
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
bonsoir Etienne
C'est une très belle journée. Bravo pour avoir su cultivé le positif toute la journée.
Quand au MAB eh bien c'est une très belle idée. Tu renforces tes outils pour continuer ta route sans alcool super!
alors demain sera encore une belle journée
Bravo à toi , tiens nous au courant de la suite!
Chiffou
C'est une très belle journée. Bravo pour avoir su cultivé le positif toute la journée.
Quand au MAB eh bien c'est une très belle idée. Tu renforces tes outils pour continuer ta route sans alcool super!
alors demain sera encore une belle journée
Bravo à toi , tiens nous au courant de la suite!
Chiffou
Invité- Invité
Re: L'envie de vivre sans, mon déclic
Ben pas mal de bonne nouvelle.
1 je suis pris en tant que magasinier inventoriste du 17 au 28. Ca va permettre de renflouer un peu, en ce moment je suis plus à dépenser qu'à gagner (normal vu que je gagne rien ).
2 Une bonne sieste + cd de relaxation en début d'aprem ca m'a permis de profiter de la fin de journée sur des bases plus seine.
3 J'ai aidé mon ex à faire des démarche en lui servant de taxi et comment dire ça m'a fait plaisir de lui faire plaisir.
Voila quasi rien que du bon même si oui je me sent assez fragile en ce moment.
Je prend en compte mon état et m'écoute en prenant un maximum soin de moi.
Ah, dernier petit plaisir une bonne soupe ce soir, ça faisait vraiment trop longtemps que j'en avais pas mangé ;D
1 je suis pris en tant que magasinier inventoriste du 17 au 28. Ca va permettre de renflouer un peu, en ce moment je suis plus à dépenser qu'à gagner (normal vu que je gagne rien ).
2 Une bonne sieste + cd de relaxation en début d'aprem ca m'a permis de profiter de la fin de journée sur des bases plus seine.
3 J'ai aidé mon ex à faire des démarche en lui servant de taxi et comment dire ça m'a fait plaisir de lui faire plaisir.
Voila quasi rien que du bon même si oui je me sent assez fragile en ce moment.
Je prend en compte mon état et m'écoute en prenant un maximum soin de moi.
Ah, dernier petit plaisir une bonne soupe ce soir, ça faisait vraiment trop longtemps que j'en avais pas mangé ;D
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