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J'y arrivais pas à trouver le bonheur sobre je pense....

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Message  Pascaloup 17/8/2012, 02:05

Bonsoir à toutes et à tous,

Ma première cuite était en 2003, c'est la première grande qui à débuter un soir après mon travail. Je travaillais et j'y suis encore dans un grand magasin parisien et après avoir connu ma petite amie qui connaissais bien la tequila j'ai commencé à découvrir après l'absortion, l'ivresse (qui pour moi était devenu une drogue qui me permettait d'écouter de la musique, regarder les mêmes films sur mon pc dans une dimension que je n'avais jamais connu auparavant. J'avais trouver ce moment de détente paradisiaque et artificielle au lendemain desenchanteur.....

Je n'ai pas su re raisonner en me disant "stop, tu feras cela dans des moments appropriés comme vacances, noel, nouvel ect....
J'ai été muté dans le magasin sur un autre rayon qui ne me convenait pas, ce qui n'avais rien arrangé car je fut tombé amoureux d'une collègue auquel j'avais peu de relation sinon professionnelle et de la timidité. Alors le soir commença le rituel dès la sortie du boulot d'aller m'acheter mon plaisir artificielle, comme un enfant qui s'acheterait des bonbons. J'avais marié ma consommation de whisky coca avec mon ordinateur tous les soirs en refesant le monde, msn bourré, insultant, alcool méchant qui ma valiue deveiller toutes les nuits et de monter le son en pleine nuit sous la plainte des voisins qui un jour en ont eu marre et se sont pointer à ma porter pour des expllications. L'explication était simple, j'étais accoutumé à la légerté de l'ivresse, la solitude, l'imagination de cette collègue donc j'étais tombé amoureux sans oser lui dire.

Beaucoup de film et de chanson sur l'alcool m'inspirait et tous les soirs wsky coca 3/4 de la bouteille sans regarder l'heure pour me coucher, c'était mon moment de grande rêverie, et le week end mes parents savait que la veille j'avais bu, même au travail j'avais les yeux cernés, je sentais l'alcool, il y avait des restes dans l'estomac, impossible de travailler dans la conscience professionnelle !

Puis ayany pris la résoluitation brutale pendant des vacances, au club med j'avais decider d'arreter brutalement, ce qui m'a vallut une crise d'épilespsie, j'étais pas sevré, c'est la que j'ai compris la destruction physique que j'avais engendré sur ma santé : problème de mémoire, tremblement des mains, 'que je caché à mon boulot dans mes poches, impossible d'écrire une facture pour un client à mon job sans trembler, sans transpirer, je ne mangais plus le midi, ni le soir, je buvais toujours avec mon pc. Le seul moment où je ne pouvais pas boire le soire, car j'étais un alcoolique solitaire et nocture en voyant le jour se lever assis devant mon ordinateur, il m'est arrivé des dizaines de fois de ne pas pouvoir aller travailler.

Et pourtant je detestais le vin rouge ou blanc, le champagne, que je donnais à mes parents lors de bon resultat au boulot ! j'étais un alcoolique qui n'aimait pas le gout de l'alcool voilà pourquoi le whisky coca ! Après une soirée organisé par ma boite après le boulot (open bar, alcool gratuit) je voulu rentre chez moi et déambulant dans les rues de paris pour rejoindre ma banlieu à Achères, je cassais par violence un retroviseur de moto, après je voulu casser une vitrine et là des mains m'ont attrapé et plaqué contre le mur avec des menottes : police.

Je n'est pas arreté de boire le soir pour autant et un jour je decidais d'aller voire un alcoologue qui m'avait admis en cure 6 fois de suite, 15 jours de sevrage et retour chez soi avec la même envie de boire même sous médicament et surtout avec medicaments cela multiplié l'effet d'ivresse.... en cure à saint cloud je rencontrais d'autres alcoolique plus ou moins détruit par ce poison....

Il est tard je vous ferai part de la suite de mon témoignages demain, pour plus de clareté ! bonne nuit à demain


Pascaloup
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Masculin 26/06/2011

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Message  Swoosh 17/8/2012, 07:57

Bonjour,
Me tarde la suite ! J'ai tout lu d'une traite Very Happy
Bonne journée
Swoosh
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Féminin 20/05/2012

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J'y arrivais pas à trouver le bonheur sobre je pense.... Empty suite pascaloup

Message  Pascaloup 18/8/2012, 02:54

rebonsoir suite : mes parents était dans le deni ou je le soupsonne plus ou moins, mon père avec sa fierté me disait en me rendant visite : ta place est pas ici !
peut être par honte, ou fierté, je n'arrive toujours pas à le juger sur cette phrase qui ne veut rien dire pour ma part : l'alcoolisme est la maladie des sentiments je pense. je fis deux post cure de 1 mois dans les pyrenées suite à la cure pour se détacher des habitudes, reapprendre à respecter des horaires, s'occuper l'esprit ailleurs, psy, mais malgrès le bonheur de se ressourcer il me manquait cette chose, que je remplacer par la cigarette moi qui n'était pas fumeur cela me faisait tourner la tête toujours cette recherche de nirvana. Je me souviens que très petit j'étais attiré par cette expérience : ca fait quoi d'être ivre.....? mais jamais je n'aurai imaginé passé la barrière de la dépendance qui rime facilement avec la déchéance.... J'avais une alcoologue très reputé et très humaine (à mon premier rendez vous j'avais achété une bouteille de whisky le soir après l'avoir vue dans son cabinet, mais elle ne jurait que par les réunions MAB auquels je ne comprenais rien avec leurs étapes cela ne m'a pas aidé de suite. Après ma dernière cure ouù je suis sorti avec une fille alcoolique (A NE JAMAIS FAIRE) elle s'était installé chez moi et l'on buvais et un soir après le boulot je l'ai vu ivre et cela m'a ecoeuré, cela me renvyais une image de moi même que je ne connaissais pas. Elle voulait que je boive aussi mais en la voyant cela m'était impossible, comme dégouté, je me disait finalement : c'est moi ça quand je suis ivre???
Je dus par force un matin lui faire ses valises car elle en était incapable et la faire partir pour que j'aille travailler. Après une journée de boulot je rentrais chez moi vers 17h30 j'avais bus plusieurs bière et me decidait à appeler mon père pour lui reprocher le passé de mon enfance, ne voulant plus m'écouter il raccrocha et je fis la chose que je m'étais jurés de ne pas faire : prendre le volet ivre ! et en sortant d'un rond point que j'avais l'habitude prendre je sorti trop large et fis un face à face avec une voiture arrivant en face de moi.Et c'est la que que je me suis dit ou une voix dans ma tête me faisait cette reflexion : C'EST ICI QUE TU ARRETESTES CONNERIES ! heureusement il n'y eu aucun blessé, deux voitures bonnes pour la casse, la police arrivant, me fit soufflait avec 1.45 dans l'appareil, et voulant faire le malin j'ai tenté de touché l'arme d'une policière, menottés il m'ont amenés à l'hôpital, procédure obligatoire mais je n'avais rien grâce à Dieu. Les urgences m'ont relaché jusqu'a mon taux d'alcoolémie très minime et en pleine nuit je suppliais mes parents de venir me chercher car j'avais aucun moyen à 22h30 le soir de revenir chez moi. Je fus admis dans une très grande clinique, pour me soigner pendant trois mois, deux fois de suite. J'étais sous medicament pour sevrage, diminution de l'appétance à l'alcool mais malgrès cela à l'heure où je vous parle j'ai toujours cette envie de boire le soir, alors le vais au MAB où je collectionne mes medailles d'abstinences et parle de cette envie encré en moi de consommer pas pour le gout l'alcool mais pas son ivresse qui comblait mes soirées, puis mes nuit.
J'ai tout de même cette chance de ne pas avoir envi dans la journée, je n'ai jamais bu le matin, j'en était echoeuré et je vider la moitié de la bouteille dans l'evier par remord d'avoir trop bu, mais le soir en sortant du boulot je remettais ça, jusqu'a voler ma bouteille après le travail où je me suis fait prendre un jour et failli risquer ma place, mais je ne peux pas vous preciser de détails.....
Je ne bois plus mais j'ai cette facheuse habitude de fumer (tabac je précise) pour remplacer le soir le même shéma qu'avant mais mes reveils le lendematin sont si doux maintenant, mon comportement à changer (au travail cela à même fait chier certain de mon changement) comme quoi et d'autres me félicite et m'encouragent car voyez en ce moment je dois préparer mes vacances d'étè mais les voyages all includes alcools gratuit, avec des bars tous les 100 mètres, est un détail important je suis moins fragile car je sais que si je replonge même une goutte c'est la dépression et le retour au point de départ et j'ai pourtant envie de témoigner cela malheureusement me rend nostalgique du passé, décalé du peu d'amis qui boivent raisonneblement, et je ne peux m'empêcher de les questionner sur leur consommation qu'il feront le soir par ex, j'ai l'impression de boire leur paroles comme leur verres ! J'ai gagné beaucoup en marretant, mais je reste fragile car c'est bien une fragilitédont il s'agit ! bonne nuit à demain merci pour le soutien de mon premier lecteur ça fait plaisir !

Pascaloup
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Message  Swoosh 18/8/2012, 07:16

Je te lis toujours moi petits coeurs
Swoosh
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Féminin 20/05/2012

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Message  cristal 18/8/2012, 08:26

bonjour pascaloup,merci de ton témoignage J'y arrivais pas à trouver le bonheur sobre je pense.... 604725

j'ai changé le nom de l'association et mis MAB a la place car nous ne les nommons pas ici mais tu ne le savais pas alors pas de souci Very Happy

pour le reste,depuis combien de temps es tu abstinent??
je ne te sens pas pleinement heureux dans ta vie je me trompe??

aimes tu ton travail??as tu une vie de famille??te sens tu a ta place ds ta vie?? es tu bien chez toi??est ce que tu as toujours des aides(alcoologue,psy?)

excuse moi pour toutes ces questions mais c'est pour mieux te connaitre J'y arrivais pas à trouver le bonheur sobre je pense.... 604725

en tout cas,bravo d'avoir arrêté de boire mais puisque tu as fait des cure,tu dois savoir que le combat contre l'alcool ce n'est pas seulement arrêter de boire,c'est aussi et surtout se reconstruire et être enfin en accord avec soi même et c'est là que je sens que ça bloque chez toi mais peut être que je me trompe ...

bonne journée et bon week end J'y arrivais pas à trouver le bonheur sobre je pense.... 443
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Message  SHALE 18/8/2012, 11:40

Bravo pour avoir arrêté de boire, mais comme Cristal, je sens qu'il te manque toujours quelque chose et que tu n'as pas trouvé comment combler ce manque....L'alcool te le faisait oublier mais te faisait rêver ta vie au lieu de la vivre. Là, sans alcool, tu sembles supporter ta vie mais ne pas en profiter.
Il faudrait trouver quel est ce manque, ce vide que tu as en toi pour réussir à le remplir comme il faut.
Vois-tu un psy????
SHALE
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Féminin 01/01/2009

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Message  Pascaloup 1/9/2012, 03:20

Bonsoir Shale et Cristal, il est vrai que je me sens pas heureux depuis mon arrêt car il n'y a pas un jour ou disons un soir où je n'y pense pas (boire), je vis seul, je vois ma famille les dimanches, ils connaissent mon problèmes, mais font la politique de l'autruche. Chaque jour jme lève et je dois penser à une bonne raison de ne pas le faire et je ne le fais pas car j'ai du faire des efforts d'abstinence que je ne vis pas bien, la frustration de ne plus boire, avant j'avais le plaisir le soir de me dire que je vais passer une bonne soiré dans mon ivresse à refaire le monde, et de plus c'est mon anniversaire le 31 aout et une personne ma demandé si j'allais ce soir le fêter, je lui est dit que non et ce NON ma fait mal interieurement, j'en deduid que ce n'est pas en arretant de boire que l'on est plus heureux car forcement malgrès les lendemains de remords, je m'ennuie maintenant.

Je suis en vacances pendant tout le mois de septembre et je dois faire le tri des lieux où l'alcool est gratuit et à volonté avec des bars tous les 100 mêtre en club de vacances, il y aura un énorme decalage avec ceux qui feront la fête le soir, je me mais à penser qu'une fois l'anniversaire d'abstinence effectué les un ans, j'essaierai de consommer lègerement ce qui est impossible pour un alcoolo-dépendant, je vis avec la nostalgie, mon corps va mieux mais mon esprit est toujours en quête d'ivresse....

Pascaloup
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