lutte contre l’alcool
Qui est en ligne ?
Il y a en tout 33 utilisateurs en ligne :: 2 Enregistrés, 0 Invisible et 31 Invités Abibou, Coccinella
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 265 le 11/6/2012, 17:08
Réflexion d'un malade alcoolique
4 participants
Page 1 sur 1
Réflexion d'un malade alcoolique
Dans l'obscurité de ma vie, l'alcool a tissé sa toile empoisonnée autour de moi, m'emprisonnant dans un tourbillon de désespoir. Les verres vides témoignent de ma faiblesse, de ma dépendance insidieuse. Chaque gorgée semble être un échappatoire, mais je réalise maintenant que c'est une illusion, une illusion qui a conduit à ma propre destruction.
La force me manque, elle s'est évaporée au fil des années, dissoute dans les vapeurs de l'alcool. Je me tiens là, vulnérable, face à un ennemi intérieur que je ne peux plus ignorer. Chaque matin, je me réveille avec la lourdeur de mes actes passés, avec le poids de la culpabilité et de la honte. Je suis enchaîné à une routine destructrice, un cercle vicieux dont je ne peux m'échapper sans aide.
La souffrance est mon compagnon constant, un fardeau que je traîne jour après jour. Les maux physiques s'entremêlent avec les cicatrices émotionnelles, créant un mélange amer qui empoisonne mon existence. Les relations ont été brisées, les promesses ont été trahies, et je me tiens seul au milieu des décombres de ma vie. Chaque instant est une bataille, un combat entre l'envie insatiable de l'alcool et le désir ardent de retrouver ma dignité perdue.
Pourtant, même dans l'ombre, une lueur d'espoir persiste. Peut-être que, quelque part au fond de moi, il reste une parcelle de résilience, une étincelle de volonté qui peut être rallumée. Je songe à ce que je pourrais faire pour me libérer de ces chaînes, pour briser ce lien destructeur qui m'a maintenu captif trop longtemps.
Il est temps de chercher de l'aide, de tendre la main vers ceux qui peuvent comprendre ma douleur, qui peuvent m'offrir le soutien dont j'ai désespérément besoin. La thérapie, les groupes de soutien, peut-être même la médication, tout est sur la table. Il me faut du courage pour affronter mes démons intérieurs, pour admettre que je ne peux pas faire cela seul.
Peut-être que dans la vulnérabilité, je trouverai la véritable force. Accepter ma faiblesse n'est pas un signe de défaite, mais le premier pas vers la guérison. Il est temps de reconstruire, de renaître de mes cendres, de forger un nouveau chemin loin de l'ombre de l'alcool. La route sera difficile, semée d'embûches, mais c'est la seule voie vers la rédemption, la seule façon de reprendre le contrôle de ma vie.
Ainsi, je m'engage à combattre, à lutter contre l'adversité, à embrasser l'espoir qui persiste même dans mes moments les plus sombres. Car au-delà de la souffrance, au-delà de la dépendance, il existe la possibilité de la résilience, de la guérison et de la renaissance. C'est à moi de saisir cette opportunité, de sculpter un avenir où l'alcool n'a plus de pouvoir sur moi.
Ghyslaine Gimenes
La force me manque, elle s'est évaporée au fil des années, dissoute dans les vapeurs de l'alcool. Je me tiens là, vulnérable, face à un ennemi intérieur que je ne peux plus ignorer. Chaque matin, je me réveille avec la lourdeur de mes actes passés, avec le poids de la culpabilité et de la honte. Je suis enchaîné à une routine destructrice, un cercle vicieux dont je ne peux m'échapper sans aide.
La souffrance est mon compagnon constant, un fardeau que je traîne jour après jour. Les maux physiques s'entremêlent avec les cicatrices émotionnelles, créant un mélange amer qui empoisonne mon existence. Les relations ont été brisées, les promesses ont été trahies, et je me tiens seul au milieu des décombres de ma vie. Chaque instant est une bataille, un combat entre l'envie insatiable de l'alcool et le désir ardent de retrouver ma dignité perdue.
Pourtant, même dans l'ombre, une lueur d'espoir persiste. Peut-être que, quelque part au fond de moi, il reste une parcelle de résilience, une étincelle de volonté qui peut être rallumée. Je songe à ce que je pourrais faire pour me libérer de ces chaînes, pour briser ce lien destructeur qui m'a maintenu captif trop longtemps.
Il est temps de chercher de l'aide, de tendre la main vers ceux qui peuvent comprendre ma douleur, qui peuvent m'offrir le soutien dont j'ai désespérément besoin. La thérapie, les groupes de soutien, peut-être même la médication, tout est sur la table. Il me faut du courage pour affronter mes démons intérieurs, pour admettre que je ne peux pas faire cela seul.
Peut-être que dans la vulnérabilité, je trouverai la véritable force. Accepter ma faiblesse n'est pas un signe de défaite, mais le premier pas vers la guérison. Il est temps de reconstruire, de renaître de mes cendres, de forger un nouveau chemin loin de l'ombre de l'alcool. La route sera difficile, semée d'embûches, mais c'est la seule voie vers la rédemption, la seule façon de reprendre le contrôle de ma vie.
Ainsi, je m'engage à combattre, à lutter contre l'adversité, à embrasser l'espoir qui persiste même dans mes moments les plus sombres. Car au-delà de la souffrance, au-delà de la dépendance, il existe la possibilité de la résilience, de la guérison et de la renaissance. C'est à moi de saisir cette opportunité, de sculpter un avenir où l'alcool n'a plus de pouvoir sur moi.
Ghyslaine Gimenes
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Bonjour.
Rédemption ? Vraiment ?
C'est typiquement le genre d'idée malsaine qui colle à la "vision" moraliste de l'alcoolisme. De quoi devrait-on se repentir pour racheter le salut de notre âme ? D'avoir eu recours à l'alcool pour se tirer "tout seul" de souffrances niées par la société et/ou notre entourage ?
Je ne dis pas que je n'ai eu aucune responsabilité dans mon alcoolisme, bien au contraire, j'ai dû l'accepter pleinement pour pouvoir commencer à m'en affranchir.
C'est un fait, j'ai bu, parfaitement volontairement, et pour me défoncer, sciemment.
C'est un fait sur lequel je ne peux pas revenir, que je ne peux pas effacer.
Pourquoi devrais-je en cultiver de la culpabilité et me punir ? J'ai déjà largement payé mon tribu à l'alcool au long d'années de souffrance.
Pour prendre conscience de cette pathologie puis m'en extraite durablement, j'ai consenti bien plus d'efforts et avec plus de constance que n'en fourniront jamais la plupart de mes "juges", drapés dans leur moralité pétrie de certitudes prémâchées.
Donc non, pas de rédemption. Mais une conscience honnête et objective de cet épisode de ma vie et de ses conséquences, une expérience sur laquelle je peux construire la suite de ma vie sans avoir honte. Parce que j'en ai tiré des enseignements que nul "texte sacré" ne m'aurait jamais donné.
Rédemption ? Vraiment ?
C'est typiquement le genre d'idée malsaine qui colle à la "vision" moraliste de l'alcoolisme. De quoi devrait-on se repentir pour racheter le salut de notre âme ? D'avoir eu recours à l'alcool pour se tirer "tout seul" de souffrances niées par la société et/ou notre entourage ?
Je ne dis pas que je n'ai eu aucune responsabilité dans mon alcoolisme, bien au contraire, j'ai dû l'accepter pleinement pour pouvoir commencer à m'en affranchir.
C'est un fait, j'ai bu, parfaitement volontairement, et pour me défoncer, sciemment.
C'est un fait sur lequel je ne peux pas revenir, que je ne peux pas effacer.
Pourquoi devrais-je en cultiver de la culpabilité et me punir ? J'ai déjà largement payé mon tribu à l'alcool au long d'années de souffrance.
Pour prendre conscience de cette pathologie puis m'en extraite durablement, j'ai consenti bien plus d'efforts et avec plus de constance que n'en fourniront jamais la plupart de mes "juges", drapés dans leur moralité pétrie de certitudes prémâchées.
Donc non, pas de rédemption. Mais une conscience honnête et objective de cet épisode de ma vie et de ses conséquences, une expérience sur laquelle je peux construire la suite de ma vie sans avoir honte. Parce que j'en ai tiré des enseignements que nul "texte sacré" ne m'aurait jamais donné.
rur@lcoolique- Super Tchatcheur
- 17/03/2021
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Ahhh oui, là le terme rédemption lui aussi je ne l'accepte pas.
Définition de rédemption : fait de se racheter ( sens religieux ou moral). La rédemption des pêchés ( rédimer).
Boire serait un pêcher parce tu es dans une souffrance terrible (sans issue selon toi , ou la solution dans le fond du verre que tu ne trouveras jamais) un cataplasme illusoire.
Me racheter d'une cinglée de merule de génitrice qui m'a transformé en marionnette, où la béquille alcool m'a " sauvé " du suicide ! Je devrais demander pardon mais à qui, pourquoi ?
J'ai effectué un long travail sur moi même et analysé l'origine de mon alcoolisme, j'estime n'avoir aucune excuse à fournir à personne. Une vie d'alcool, de souffrances, le tribu est lourd non et devoir m'excuser ? La rédemption de mon pêché d'avoir souffert c'est ça lol. Même pas en rêve !
Par contre, de cette épreuve je me suis forgée une capacité énorme pour donner et recevoir et inversement. Le yin et yang.
Et puis je suis rentrée en résilience. Mais en aucun cas en rédemption.
Je ne pense pas que tu as bien choisi ton terme.
Définition de rédemption : fait de se racheter ( sens religieux ou moral). La rédemption des pêchés ( rédimer).
Boire serait un pêcher parce tu es dans une souffrance terrible (sans issue selon toi , ou la solution dans le fond du verre que tu ne trouveras jamais) un cataplasme illusoire.
Me racheter d'une cinglée de merule de génitrice qui m'a transformé en marionnette, où la béquille alcool m'a " sauvé " du suicide ! Je devrais demander pardon mais à qui, pourquoi ?
J'ai effectué un long travail sur moi même et analysé l'origine de mon alcoolisme, j'estime n'avoir aucune excuse à fournir à personne. Une vie d'alcool, de souffrances, le tribu est lourd non et devoir m'excuser ? La rédemption de mon pêché d'avoir souffert c'est ça lol. Même pas en rêve !
Par contre, de cette épreuve je me suis forgée une capacité énorme pour donner et recevoir et inversement. Le yin et yang.
Et puis je suis rentrée en résilience. Mais en aucun cas en rédemption.
Je ne pense pas que tu as bien choisi ton terme.
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Le terme rédemption est peut etre un peu fort et ne doit pas être pris au sens religieux, moi je le vois plutôt comme me pardonner de m'en être autant voulu, me racheter de toute cette souffrance que je me suis infligée toute seule, ce serait une rédemption vis à vis de moi, une manière d'être douce avec moi et me dire " tu as fait un faux pas dans la vie mais maintenant, tu peux prendre ta revanche." Shale n'a certainement pas utilisé ce terme tel que vous le définissez même si je comprends votre réaction. Il faut parfois chercher un autre sens dans un mot aussi fort qui peut aussi avoir une autre signification surtout quand on sait d'où il vient (ou de qui plutot )
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Je ne l'ai pas écrit dans le sens religieux du terme, plus comme une renaissance, mais j'avoue qu'il est mal choisi et que vous avez raison...
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Le terme est forcément religieux. Mais c'est surtout le biais moral qui lui colle que je voulais interroger, car il est difficile de se libérer des poids moraux attachés à l'alcoolisme, quand on construit son déclic et ensuite lorsqu'on se reconstruit.
Ça me paraissait important à pointer, pour nos lecteurs...
Ça me paraissait important à pointer, pour nos lecteurs...
rur@lcoolique- Super Tchatcheur
- 17/03/2021
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Tu as eu tout à fait raison rur, je suis entièrement d'accord avec toi et je m'en veux d'avoir utiliser sans réfléchir ce mot absolument pas approprié à la situation...C'est bien évident que la religion n'a rien à faire dans les soins à apporter à la maladie alcoolique, ce n'est pas pour rien que je n'apprécie pas les méthodes des AA, qui, quoiqu'ils en disent, sont basées sur un contexte religieux...
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Y a pas de raison de t'en vouloir, ton édito est excellent et le mot incriminé fait partie du vocabulaire courant.
rur@lcoolique- Super Tchatcheur
- 17/03/2021
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Comme je suis une « spécialiste « pour tout prendre au premier degré, j’ai bien essayé rechercher justement le second degré !!!
Perso je ne m’en suis pas voulue, ni fait de faux pas , enfin au sens propre ah ça oui, et figuré c’était pas moi mais l’alcool qui m’a empêché d’être moi, et j’ai perdu le contrôle de ma vie parce qu’entre autres je me suis faite manipulée comme un pantin , sa poupée , sa décharge à émotions d angoissée , de négatif , de stressée de la vie, de personne mal construite, de cinglée c’est le bon terme la.
Par contre , j’ai appris à m’aimer, pas à me pardonner.ou alors faut encore qu’on m’explique
La, le mot que tu proposes renaissance, je suis parfaitement d’accord, c’est tout à fait ça.
Je ne discute pas sur le fait de qui ça vient, je discute sur le terme, c’est tout et j’avoue je n’avais pas pris le temps de le lire attentivement et que j’ai bondi sur l’escabeau !!!. Rien de grave.
Perso je ne m’en suis pas voulue, ni fait de faux pas , enfin au sens propre ah ça oui, et figuré c’était pas moi mais l’alcool qui m’a empêché d’être moi, et j’ai perdu le contrôle de ma vie parce qu’entre autres je me suis faite manipulée comme un pantin , sa poupée , sa décharge à émotions d angoissée , de négatif , de stressée de la vie, de personne mal construite, de cinglée c’est le bon terme la.
Par contre , j’ai appris à m’aimer, pas à me pardonner.ou alors faut encore qu’on m’explique
La, le mot que tu proposes renaissance, je suis parfaitement d’accord, c’est tout à fait ça.
Je ne discute pas sur le fait de qui ça vient, je discute sur le terme, c’est tout et j’avoue je n’avais pas pris le temps de le lire attentivement et que j’ai bondi sur l’escabeau !!!. Rien de grave.
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Il n’y a pas un des « conseils « ou étape, où tu dois demander pardon, déjà avec essayer ça serait mieux :DC’est la 8 em !!!SHALE a écrit:Tu as eu tout à fait raison rur, je suis entièrement d'accord avec toi et je m'en veux d'avoir utiliser sans réfléchir ce mot absolument pas approprié à la situation...C'est bien évident que la religion n'a rien à faire dans les soins à apporter à la maladie alcoolique, ce n'est pas pour rien que je n'apprécie pas les méthodes des AA, qui, quoiqu'ils en disent, sont basées sur un contexte religieux...
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
J'ai lu les 12 étapes, et je ne les ai toujours pas digérées, notamment celle du pardon est toujours restée coincée, là, en travers de ma gorge...
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Ahhhh, je m’abstiens de répondre parce que là « puissance supérieure « ne va pas être contente . Et si ce n’était que la 8 em hihihi !!!
Tu n’arrives pas à la rédemption
il existe d’autres associations ….fort heureusement. Cependant beaucoup de personnes adhèrent, c’est leur choix.
Tu n’arrives pas à la rédemption
il existe d’autres associations ….fort heureusement. Cependant beaucoup de personnes adhèrent, c’est leur choix.
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Il y a d'innombrables croyances (et pas seulement religieuses) et il est difficile d'être purement rationnel. Pourtant je pense qu'on a tout intérêt à avancer le plus rationnellement possible pour s'extraire durablement des mensonges qui ont construit l'alcoolisme et désactiver les illusions éthyliques.
rur@lcoolique- Super Tchatcheur
- 17/03/2021
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Désactiver les illusions éthyliques ?? Traduction SVP
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
Tous les bénéfices (supposés) de la consommation, ces espoirs irrationnels que l'alcool pourrait nous améliorer ou faciliter nos vies...
rur@lcoolique- Super Tchatcheur
- 17/03/2021
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
L'important pour y arriver serait de se projeter dans "l'après boire". Ne pas penser au plaisir immédiat que ce ou ces verres vont peut-être nous apporter, mais penser au lendemain, au réveil avec la gueule de bois, en ayant tout oublié, à ces matins nauséeux où on se sent si mal.
A chaque fois, je pense à une anecdote que racontait Françoise Dolto. Un jour un patient est entré dans son cabinet avec un couteau et menaçait de la tuer. Elle lui a simplement dit : "que ferez vous de mon corps, ensuite ?". Elle l'a mise dans la situation de "l'après" et là, il est parti sans la toucher.
Bon l'anecdote n'a pas vraiment à voir avec l'alcool, mais elle montre bien l'intérêt de différer l'action, le plaisir immédiat, si plaisir il y a pour imaginer la suite des évènements et se projeter dans cet après.
A chaque fois, je pense à une anecdote que racontait Françoise Dolto. Un jour un patient est entré dans son cabinet avec un couteau et menaçait de la tuer. Elle lui a simplement dit : "que ferez vous de mon corps, ensuite ?". Elle l'a mise dans la situation de "l'après" et là, il est parti sans la toucher.
Bon l'anecdote n'a pas vraiment à voir avec l'alcool, mais elle montre bien l'intérêt de différer l'action, le plaisir immédiat, si plaisir il y a pour imaginer la suite des évènements et se projeter dans cet après.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Réflexion d'un malade alcoolique
L'important pour y arriver serait de se projeter dans "l'après boire".
c'est bien le problème avec le MA car il ne vit que le moment présent et pas le lendemain ça marche avec ceux qui sont dans le combat mais quand on est dedans, on évite de penser au lendemain pour pouvoir se soulager avec l'alcool sur le moment présent
cristal- Admin
- 01/01/2009
Sujets similaires
» Réflexion sur la vision du temps chez un malade alcoolique
» Le malade alcoolique
» Le malade alcoolique.....
» Le malade alcoolique
» le malade alcoolique....
» Le malade alcoolique
» Le malade alcoolique.....
» Le malade alcoolique
» le malade alcoolique....
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|