lutte contre l’alcool
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Juste un texte écrit hier soir...
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Juste un texte écrit hier soir...
Le soir s'étend lentement, laissant place à une obscurité silencieuse qui enveloppe le monde. Pour le malade alcoolique, c'est le moment où la souffrance se fait plus palpable, plus intense. Les heures qui s'écoulent lentement deviennent des compagnons amers, et chaque tic-tac de l'horloge résonne comme un rappel cruel de la bataille quotidienne contre l'ombre de l'alcool.
Seul dans le crépuscule, le malade alcoolique confronte sa solitude de manière brutale. Les murs de la chambre semblent se rapprocher, laissant peu d'espace pour échapper aux pensées tourmentées. La bouteille devient une tentation constante, une ombre tentaculaire qui s'étend sur l'âme déjà meurtrie.
La nuit, complice malveillante, devient le théâtre de la lutte intérieure. Les souvenirs d'une vie autrefois pleine de promesses se mêlent aux regrets amers, formant un kaléidoscope d'émotions douloureuses. Chaque gorgée d'alcool semble offrir une évasion temporaire, mais c'est une illusion cruelle qui ne fait qu'approfondir les cicatrices invisibles.
Les ténèbres accentuent la réalité de l'isolement, transformant la quête solitaire de réconfort en un voyage sans fin à travers un désert émotionnel. Les échos silencieux des rires joyeux d'autrefois résonnent dans l'esprit du malade alcoolique, rappelant un temps où la vie n'était pas dictée par la nécessité de fuir dans l'ivresse.
La solitude du soir devient une toile sombre tissée de remords, de honte et de désespoir. Les émotions tourbillonnent comme des ombres dansantes, créant un tableau poignant de la souffrance intérieure. Le malade alcoolique, seul avec ses démons, lutte pour trouver un équilibre entre le besoin impérieux de l'alcool et le désir de retrouver une vie pleine de sens.
Pourtant, au milieu de cette obscurité émotionnelle, il subsiste un mince fil d'espoir. Chaque nuit offre la possibilité d'une nouvelle aube, une chance de choisir un chemin différent. La souffrance du malade alcoolique, bien que profonde, peut être le point de départ d'une transformation, d'une résilience face à l'emprise de l'alcool.
Dans la quiétude du soir, peut-être que la lumière de la guérison peut percer les ténèbres. Il suffit d'une décision courageuse, d'un pas vers la sobriété, pour commencer à briser les chaînes de la dépendance et éclairer le chemin vers un avenir plus lumineux.
Seul dans le crépuscule, le malade alcoolique confronte sa solitude de manière brutale. Les murs de la chambre semblent se rapprocher, laissant peu d'espace pour échapper aux pensées tourmentées. La bouteille devient une tentation constante, une ombre tentaculaire qui s'étend sur l'âme déjà meurtrie.
La nuit, complice malveillante, devient le théâtre de la lutte intérieure. Les souvenirs d'une vie autrefois pleine de promesses se mêlent aux regrets amers, formant un kaléidoscope d'émotions douloureuses. Chaque gorgée d'alcool semble offrir une évasion temporaire, mais c'est une illusion cruelle qui ne fait qu'approfondir les cicatrices invisibles.
Les ténèbres accentuent la réalité de l'isolement, transformant la quête solitaire de réconfort en un voyage sans fin à travers un désert émotionnel. Les échos silencieux des rires joyeux d'autrefois résonnent dans l'esprit du malade alcoolique, rappelant un temps où la vie n'était pas dictée par la nécessité de fuir dans l'ivresse.
La solitude du soir devient une toile sombre tissée de remords, de honte et de désespoir. Les émotions tourbillonnent comme des ombres dansantes, créant un tableau poignant de la souffrance intérieure. Le malade alcoolique, seul avec ses démons, lutte pour trouver un équilibre entre le besoin impérieux de l'alcool et le désir de retrouver une vie pleine de sens.
Pourtant, au milieu de cette obscurité émotionnelle, il subsiste un mince fil d'espoir. Chaque nuit offre la possibilité d'une nouvelle aube, une chance de choisir un chemin différent. La souffrance du malade alcoolique, bien que profonde, peut être le point de départ d'une transformation, d'une résilience face à l'emprise de l'alcool.
Dans la quiétude du soir, peut-être que la lumière de la guérison peut percer les ténèbres. Il suffit d'une décision courageuse, d'un pas vers la sobriété, pour commencer à briser les chaînes de la dépendance et éclairer le chemin vers un avenir plus lumineux.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Juste un texte écrit hier soir...
J’ai juste envie de dire, ça « sent » le vécu….
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Juste un texte écrit hier soir...
Oh que oui, ça sent le vécu....PLus jamais ça...
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Juste un texte écrit hier soir...
Et c’est bien la raison pour laquelle j’ai conscience de préserver mon abstinence, pour ne plus revivre cet enfer.
C’est pour ça que je dis, il n’y a Nous et les autres, avec notre différence qui peut se transformer en résilience, une grande force.
Merci du partage
C’est pour ça que je dis, il n’y a Nous et les autres, avec notre différence qui peut se transformer en résilience, une grande force.
Merci du partage
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
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