SE NOYER AUSSI

Je comprends ta fatigue et ta lassitude, tu ne peux rien y faire en plus, c'est vraiment difficile. Je vis ça aussi avec mes parents, ce n'est pas simple à vivre ni physiquement, ni moralement, malheureusement on n'a pas le choix....  
Je suis de tout coeur avec toi....

Oui, Shale c'est fatigant de tout tenir à bras le corps. Il faut monter les dossiers, tout organiser, pallier quand les professionnels sont absents, remonter le moral à ses parents qui en ont marre de la vie et se sentent dépendants. Il faut sourire et rire pour que tout cela soit moins lourd, ne pas s'oublier en route malgré tout. Alors par moment on est las, triste car en plus mon coeur est triste. Je sais que c'est la vie, que c'est inévitable, que c'est une chance d'avoir encore ses parents mais....dans quel état. Chaque visite est éprouvante et me demande de l'énergie que j'offre à mes parents. J'essaie de leur amener un peu de joie mais souvent ils n'ont aucune réaction et je ne les reconnais plus. Et nous continuons inlassablement pour les maintenir dans la vie, une vie qui n'a plus de sens pour eux et qu'ils ne comprennent plus. 
Je suis heureuse que mon mari vienne avec moi demain et voir aussi ma soeur car nous nous serrons les coudes.

Le problème des aidant commence depuis quelques années à être enfin reconnu.

Tu décris très bien, l'usure de l'aidant familial souvent.

Espérons que cela avance encore et encore

Je suis contente, Noel est passé.... et cela a été en douceur. Le repas avec mes parents s'est bien passé même si ma mère était un peu pénible en soutenant mon frère (il vient 3 jours par an...). Je l'ai quand même remise à sa place car elle a toujours été ainsi. Ils ont semblé apprécier notre présence. 
La veille et le jour de Noel nous l'avons passé ensemble à 2 avec mon mari. Il n'y a que ma fille ainée qui nous marque de l'attention. Pas de nouvelle de ma plus jeune fille et pas de nouvelles des filles de mon mari. C'est ainsi. L'alcool a fait bien des dégats. Je souffre beaucoup de ne plus avoir de contact avec ma plus jeune fille. Mon mari, de son coté, ne l'évoque que si je l'aborde avec lui. J'ai quand même essayé d'égayer ce moment en cuisinant un peu. Les bonnes odeurs m'ont réchauffé le coeur. Nous sommes quand même tristes, chacun de notre coté, que nos enfants nous ignorent. 
Je ne sais pas comment faire pour que cette situation se débloque. Le temps peut être. En tout cas, c'est douloureux. C'était auparavant une période chaleureuse que j'affectionnais et cela est devenu douloureux en l'absence des personnes que nous aimons. C'est vrai aussi que j'attendrai que de ce coté là mon mari agisse en discutant avec ses filles plutot que de faire comme si rien ne s'était passé. Comment avez vous fait avec vos enfants lorsqu'ils ont été témoins de vos agissements ? J'aurais besoin que mon mari me revalorise auprès de ses filles qui ont été témoins de ses insultes envers moi et j'aimerais qu'il aille parler à ma plus jeune fille. Mais je doute que cela soit possible.  Je lui ai déjà suggéré, sans succès.

Tu penses que ta fille accepterait de parler avec ton mari ? Je ne sais pas mais si oui, ça vaut le coup d'essayer....Pour les filles de ton mari, c'est à lui de leur parler, d'expliquer sa maladie pour qu'elle comprenne que tu n'y es pour rien...

Les fêtes ravivent plein de moments du passé et cela a donné lieu à une grande discussion avec mon mari. En fait il a peu de souvenirs des moments passés lorsque ses filles venaient régulièrement et que j'ai pallié à ses débordements. Le manque d'intêrêt de ses filles pour nous et notamment pour moi ont fait que à l'heure actuelle je n'ai plus envie de les voir ce qui choque beaucoup mon mari. N'ayant pas les mêmes liens ni le même passé c'est vraiment une situation compliquée. Je comprends bien que mon mari veuille voir et recevoir ses filles mais moi rien que de l'évoquer j'ai mal au ventre et envie de vomir. J'en ai fait part à mon mari qui me dit qu'il a un souvenir flou de ce qui a pu être vécu. Je lui dis qu'il peux les accueillir sans problème mais que je m'en irai pour ne pas avoir de sensations désagréables. Mon mari a transféré beaucoup de choses de son histoire passée sur ses filles. Il est lui même issu de parents divorcés et n'a gardé aucun lien avec sa belle mère et les enfants de celle ci. Il trouve donc que la situation actuelle est normale en ce qui concerne les comportements de ses filles. En 3 ans que nous avons déménagé pas une fois elles n'ont demandé de mes nouvelles. Je les ai invitées une fois pour la fête des pères et mon mari a annulé car il était alcoolisé. Je ne vois pas comment renouer un relationnel en les accueillant chez nous. Je me dis qu'en louant peut être un gite un week end dans un lieu neutre cela permettrait peut être à la situation d'évoluer mais les accueillir dans mon logement où je veux me sentir en sécurité je ne peux pas arriver à franchir le pas sans sentir l'angoisse monter. Que c'est compliqué. Voila ce que les fêtes de fin d'année font rejaillir. Les enfants de l'autre ne sont pas nos enfants et c'est une différence de taille. Quand les moments partagés ont été au milieu de l'alcool c'est encore plus compliqué.

Mais ce n'est pas forcément au père de recevoir les filles,elles peuvent aussi inviter leur père!!Alors ne te sens pas mal de ne pas vouloir les voir,il y a des tas d'autres solutions pour qu'ils se voient,le problème ne vient pas du tout du lieu de la rencontre,c'est bien plus profond que ça et c'est leur histoire à eux,pas la tienne    C'est bien en tout cas que vous arriviez à reparler du passé,ça ne doit pas être facile pour lui de se revoir dans l'alcool mais il y arrive,bien mieux qu'avant il me semble.
Laisse le gérer ses filles tout en mettant tes limites,tu as très bien fait,de ton coté,garde le contact avec ton ainée mais ne force pas sur ta plus jeune,c'est dur mais elle doit faire un travail sur elle pour renouer et le vouloir surtout,alors une soirée avec ton mari le jour de l'an,je crois que c'est bien surtout que vous avez des choses à reconstruire tous les deux et besoin de cette intimité 

Un petit mot d'espoir en cette fin d'année placée sous un soleil radieux et un temps vivifiant. La fin d'année se profile avec toute sa mélancolie mais aussi son lot de rêves pour l'an qui vient. Je vous souhaite à toutes et à tous une belle année sous le signe de l'amour, la solidarité et des projets qui se réalisent. 
Nous ne réveillonnons pas avec mon mari mais resterons tous les 2 tranquilles. Je le sens plus serein bien que très distant vis à vis de moi. J'accepte et puis je vois poindre chez lui quelques lueurs d'envie alors je suis contente pour lui.
De mon coté je vais très lentement mais j'ai été sollicitée, sans le demander, sur une liste pour les municipales. Je laisse venir, je n'ai rien demandé. Rencontrer de nouvelles personnes peut m'intéresser et la liste est humaniste et non politique. De toute façon je n'ai rien à perdre.
Passez une belle journée, soirée comme vous la souhaitez et pour ceux qui sont mélancoliques (comme vous) vous pouvez vous dire, comme je me dis, que le 31 décembre ne dure qu'un jour et que le plus beau reste à venir.

je suis contente de te sentir apaisée Marguerite,je ne ressens plus ta colère et ta rancoeur vis à vis de ton mari,je crois que cette cure a tout de même été bénéfique à ton mari.Passe un bon moment avec lui,moi,je suis sur Bordeaux chez mon frère et on va chez des amis à lui que je ne connais pas,c'est pas trop mon truc de faire la fête avec des gens que je ne connais pas surtout que je suis une couche tot mais bon,il faut aussi savoir bousculer son train train 
je te souhaite de la sérénité et la santé pour cette nouvelle année 

un petit coucou pour vous dire que je me pose de réelles interrogations concernant notre vie de couple. Mon mari a commencé suivi psy et commence hopital de jour la semaine prochaine. Il est toujours aussi vide d'envies et cela m'épuise. J'essaie de discuter avec lui afin qu'on fasse un peu des projets mais il n'y a aucune accroche. C'est lourd à supporter. 
De mon coté, je continue de m'occuper de mes parents, vaille que vaille et ce n'est pas un long fleuve tranquille. Leur manque d'intérêts, leur manque d'affect me pèse aussi mais je me dis que c'est ainsi.
Les seuls moments agréables que je passe c'est avec ma fille ainée et 2 amis proches. Mon mari le supporte très mal. Il ne sait pas discuter de sujets légers et moins légers et interprète toujours mes propos à "sa sauce" ce qui rend difficile la communication. Il déforme tout. Il ne trouve pas de sens à sa vie. Il est tant dans le mental que cela coupe ma spontanéité. J'ai un vrai coup de mou car je nous trouve enlisés ce qui a pour conséquences de faire ressurgir tout un passé négatif chez moi. En fait, j'attend du mouvement de sa part.

je me demande si cette inaction n'est pas sa nature profonde,il y a des gens qui se laissent porter par la vie sans la mener,qui son bien dans leur inactivité et qui n'aspire qu'a une vie plan plan où rien ne se passe.Il est possible qu'il ait bu pour tenter d'enrayer cette personnalité casanière et essayer de coller à ce que tu recherches chez un homme? a chaque fois qu'il arrête de boire,il retombe dans cette léthargie alors peut etre qu'il redevient tout simplement lui même
Dans ce cas,tu ne pourras jamais avoir l'homme que tu souhaites,il n'est pas apte à bouger et à vivre la même vie que toi  on ne peut pas forcer quelqu'un à faire ce qui lui est contre nature.
Tu es entourée de personnes qui ne peuvent t'accompagner dans cette vie en mouvement que tu souhaites c'est pour cela que tu n'es pas bien,tu as besoin de lumière,de mouvement, ,de joie, de vie alors donne le minimum vital pour ton mari et tes parents et vis le reste avec ceux qui arrivent à te faire vibrer et te faire sentir vivante

Je te trouve moi aussi très seule dans ta famille.....Tu as une de tes filles, heureusement, sinon, ce ne doit pas être facile à vivre....Pour ton mari, avant de boire, il était déjà comme ça ou c'est que depuis qu'il a arrêté l'alcool??? S'il était déjà comme ça avant, c'est sa nature et là, il va te falloir faire un choix, ou continuer à l'accompagner dans cette vie qui t'ennuie ou prendre ton envol pour une autre vision de ce que tu veux vivre...

Oui je suis très seule dans ma vie actuelle. Ma famille est minuscule puisqu'elle se résume à mes 2 filles et mon mari. Ma soeur a son mari, ses 3 enfants et 8 petits enfants. Ils font leur vie entre eux. Nous avons en commun nos parents. C'est ainsi. 
Le problème d'alcool de mon mari a éloigné beaucoup de mes amis qui en fait n'étaient pas mes amis puisqu'ils m'ont lachée. J'ai très peu de monde autour de moi mais ce sont des personnes de qualité et de confiance. 
Finalement je ne sais pas comment était mon mari sans alcool puisque notre couple a tourné autour de cela depuis le début. Je sais juste que depuis notre déménagement et sa rechute après 3 ans d'abstinence, il n'a aucune énergie. Le fait aussi je pense de se retrouver en appartement, en ville ce qu'il n'avait jamais fait, a été sans doute aggravant. Je sais depuis le début qu'il est moins dans le lien social que moi. J'ai toujours trouvé cela complémentaire. C'est vrai que son apathie me fatigue maintenant. 
J'ai la chance de rencontrer du monde par mon travail et d'y avoir trouvé quelques personnes avec lesquelles j'ai des affinités.Ma vie personnelle et ma vie professionnelle sont très cloisonnées. Quand je vais à une soirée ou sortie avec l'amicale de mon boulot, j'y vais seule alors que c'est aussi ouvert aux conjoints. Mais j'ai besoin de cet espace rien qu'à moi. Mon mari ne connait personne de mon travail. Je pense que c'est réactionnel chez moi car il a saccagé énormément de relations que j'avais, de par ses comportements alcoolisés. Et puis avec de nouvelles personnes, car j'en rencontre, il est très difficile de dire que son mari est MA, abstinent certes mais MA. C'est bien trop récent pour moi pour me sentir à l'aise. Et puis mon mari en s'arrêtant actuellement n'est pas forcément très gai. J'espère que ses suivis lui permettront de s'ouvrir. Il a de réelles difficultés à rentrer en contact alors que je suis plus avenante. J'ouvrirais plus facilement ma maison à de nouvelles relations alors qu'il est plutot renfermé et méfiant. Beaucoup de différences mais que j'ai toujours considéré comme une richesse. A voir si une évolution positive pour les 2 et ensemble est possible. Nous sommes à un croisement de notre vie car d'ici un peu plus d'un an je prendrai ma retraite et que je commence à imaginer des projets pour moi. J'ai des envies personnelles.

Il me semble que ta retraite marquera un tournant dans votre couple, ou ça passe ou ça casse....En tout cas, fais pour le mieux en ce qui te concerne, c'est toi avant tout maintenant...

Pas évident cette solitude Marguerite, j'espère que tu prends du temps pour toi, pour te reposer, pour te faire plaisir. 

Sachant qu'une personne qui sort de thérapie et de l'alcool change, pour l'entourage, c'est déstabilisant. Mais la question la plus importante est : Es-tu encore bien dans cette relation? Y a t'il encore des sentiments entre vous? 

J'espère que tu ne rames pas toute seule pour la tenir à flot. 

Oh que cela fait plaisir de te revoir Crystal_ine. Comment vas tu ? Je te souhaite une très belle année. La solitude, je l'ai apprivoisée toutes ces dernières années. Je ne la vis pas si mal que cela même si j'aimais beaucoup quand j'avais une bonne bande de "copines" autour de moi. Le tri s'est fait avec les années et aussi mes choix de vie. Fréquenter un couple dont l'un est MA n'est pas drole. Et puis je crois que tout ce que je vis depuis des années m'a aussi beaucoup changée et fatiguée. Alors une balade tranquille, un petit café en terrasse, un bon livre, cela me remplit de bonheur. Mon mari est abstinent c'est déjà énorme pour ma vie. Par contre notre communication est difficile,  chacun s'isolant beaucoup. Du moment que je le vois se prendre en charge, cela me va et me laisse de l'espace.

Tu me sembles bien plus sereine qu'il y a quelques mois,je crois que tu arrives peu à peu à te faire à cette nouvelle vie qui n'est pas forcément celle que tu attendais.Un peu de calme,moins de situations stressantes,voilà qui est bien mieux pour toi 

Cristal, ne plus vivre avec mon mari MA mais mon mari abstinent est un cadeau que je déguste chaque jour. Je rentre tranquillement chez moi, je suis moins angoissée. C'est tellement l'enfer de vivre avec un MA qui ne te laisse jamais en paix et t'assène ses délires. Il faut beaucoup de temps pour évacuer tous ces moments. Je ne pense que cela s'oublie vraiment. On passe dans une autre dimension. Je me souhaite que cela ne se reproduise plus. 
Vendredi je suis allée faire dans le cadre de mon travail une visite à domicile pour comprendre ce qu'il se passait pour un jeune qui ne vient plus à l'école alors qu'il est dans une section qui lui plait, qu'il est en réussite. Je me suis retrouvée face à un jeune complètement apathique. La mère que je connais est dépressive et m'a présenté son "ami" et j'ai vite compris. L'alcool est au milieu. Face à la souffrance de ce jeune j'ai proposé une place à l'internat, j'ai demandé à la mère de l'emmener chez le médecin.Mais je me sens bien démunie. Que faire ? Oui cette mère est dépressive mais pas que.

En te lisant,je me retrouve dans ma série fétiche de l’époque "Joëlle Mazard" ça doit te parler aussi  c'est dur de voir les dégats que peut causer l'alcool sur des enfants qui pourtant marchaient bien  le jeune serait ok pour l'internat ? parce que ce serait une bonne solution pour lui ,à moins qu'il ait un père moins toxique?ou de la famille qui pourrait l'heberger?
Pas facile ce genre de situation,j'imagine qu'il faut mettre en place des barrières solides pour ne pas ramener les drames que tu côtoies à la maison

C'est  vrai que tu n'as pas un travail facile pour t'aider à prendre du recul, c'est le moins que l'on puisse dire....En tout cas , je croise les doigts pour que ton mari reste abstinent , c'est tout ce que je peux te souhaiter de plus fort là maintenant. Gros bisous..

Mon mari a bu ce soir. Eternel recommencement.  3 mois environ sans ce fléau.

Ma pauvre Marguerite,comme tu dois être déçue et mal   Tu ne peux hélas rien faire et c'est ce qui est terrible,cette impuissance!!
Essaye de ne pas trop te morfondre et de faire quelque chose qui te tire de cette deception,demain il fera jour et tu verras ce que tu pourras tirer de tout ça.
Bon courage et n'oublie jamais que c'est toi qui importe dans ta vie et que tu dois tout faire pour te protéger et vivre le mieux possible.
On reste avec toi,tu n'es pas seule 

Je ne pourrais que te répéter ce que t'a dit Cristal, pense à toi avant toute décision, c'est toi qui est importante dans cette histoire, nous sommes là aussi pour t'aider un maximum, même si notre aide a ses limites...Je pense très fort à toi...Gros bisous

C'est la colère qui m'envahit surtout. Je trouve que j'ai suffisamment à gérer dans mon quotidien et les sources de plaisir sont rares. Je le cache bien sous un grand sourire et personne ne pourrait imaginer ma vie. Le vide quotidien de mon mari est difficile à vivre. Sa reprise d'alcool entraine automatiquement une logorrhée dont il est difficile de ne pas en être imprégnée. Je comprends qu'il se sent si vide qu'il souhaiterait que je le remplisse mais je ne peux pas. C'est vrai que je suis en mode protection depuis des mois et qu'il m'est difficile d'aller vers lui. J'ai de la réticence naturelle. Je ne le sens pas solide et je ne peux pas lui donner ce qu'il aurait sans doute besoin. Il a enclenché deux rv psy et un rv au centre de jour. Je ne sens aucun enthousiasme, rien. A part maintenant ce soir me dire que je le fais souffrir mais même si j'ai ma part de responsabilité dans mon comportement sur la défensive, je ne pense pas être la source de sa souffrance. Sa paralysie récurrente face à la vie n'est pas de ma responsabilité. Il me reproche de m'investir dans mon travail, de rouspéter face aux injustices mais ce n'est pas nouveau et si j'ai accepté de m'investir sur une liste électorale c'est aussi pour rencontrer et échanger avec des personnes que je ne connais pas. Oui ça me fait plaisir d'agir, à mon petit niveau. Je ne l'empêche pas d'orienter sa vie sociale comme il le souhaite et s'il n'arrive pas à s'ouvrir je n'y suis pour rien. Il justifie toujours ses prises d'alcool en se tournant vers moi et je reconnais que je m'éloigne de lui.

Marguerite tu n'es pas une super women. Tu es une femme Humaine.

Hélas il y a des choses qui t'échappent, c'est normal c'est une maladie qu'à ton mari. Et seul lui à les clefs, les trouveras t'il ?? Personne ne peut le dire.

Peut être il faudrait cacher ton sourire factice, et faire voir que tu as de réels problèmes.

Tu ne peux supporter toute la misère seule.

bisous