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L'explosion des troubles psy chez les jeunes
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L'explosion des troubles psy chez les jeunes
L'explosion des troubles psy chez les jeunes
Le mal de vivre n'est pas l'apanage des grosses têtes. Un nombre croissant d'adolescents connaissent des difficultés d'ordre psychiatrique, telles que la schizophrénie, mais aussi et surtout des troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie...) et des troubles sévères de la personnalité. Une véritable flambée en dix ans, constate Hélène Lida-Pulik, l'un des médecins, chef de service de l'établissement du Dr Huerre.
L'évolution de ces pathologies addictives est très nette, dit-elle, au point de supplanter les pathologies névrotiques.
Plus de dépendance, de violence, de tentatives de suicide qui, selon elle, ne sont pas étrangères à la complexité du modèle familial. Séparations précoces, recompositions importantes, crise de l'autorité parentale... : autant de facteurs qui tendent à faire disparaître les repères éducatifs et les cadres qui, pour un ado, sont très structurants, analyse-t-elle.
La psychiatre note que les vrais conflits d'autorité qui caractérisaient autrefois la crise d'adolescence, cèdent aujourd'hui aux conflits de dépendance. Au lieu des claquements de porte et des coups de gueule, on intériorise sa colère, on l'exprime par l'anorexie, la boulimie, les TOC...
Côté éducatif, Arlette Jacobsen, proviseur adjoint de la clinique, a précisément quitté l'enseignement traditionnel parce qu'elle observait qu'il y avait de plus en plus d'élèves en difficulté psychique dans les établissements normaux et pas de temps ni de moyens pour s'en occuper.
Depuis trois ans à son poste, elle travaille en étroite collaboration avec l'équipe médicale et sa vingtaine de profs pour un suivi soins/études individualisé. Nous sommes là pour les aider, du bac jusqu'au DEA, disent non sans fierté Sylvette et Claire, profs d'anglais et d'EPS.
Une prise en charge psycho-éducative dont les résultats s'avèrent positifs : sur quarante-trois patients/étudiants, trente-cinq retournent à leur domicile, dont trente-trois pour reprendre des études ou s'orienter vers une activité professionnelle.
Le mal de vivre n'est pas l'apanage des grosses têtes. Un nombre croissant d'adolescents connaissent des difficultés d'ordre psychiatrique, telles que la schizophrénie, mais aussi et surtout des troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie...) et des troubles sévères de la personnalité. Une véritable flambée en dix ans, constate Hélène Lida-Pulik, l'un des médecins, chef de service de l'établissement du Dr Huerre.
L'évolution de ces pathologies addictives est très nette, dit-elle, au point de supplanter les pathologies névrotiques.
Plus de dépendance, de violence, de tentatives de suicide qui, selon elle, ne sont pas étrangères à la complexité du modèle familial. Séparations précoces, recompositions importantes, crise de l'autorité parentale... : autant de facteurs qui tendent à faire disparaître les repères éducatifs et les cadres qui, pour un ado, sont très structurants, analyse-t-elle.
La psychiatre note que les vrais conflits d'autorité qui caractérisaient autrefois la crise d'adolescence, cèdent aujourd'hui aux conflits de dépendance. Au lieu des claquements de porte et des coups de gueule, on intériorise sa colère, on l'exprime par l'anorexie, la boulimie, les TOC...
Côté éducatif, Arlette Jacobsen, proviseur adjoint de la clinique, a précisément quitté l'enseignement traditionnel parce qu'elle observait qu'il y avait de plus en plus d'élèves en difficulté psychique dans les établissements normaux et pas de temps ni de moyens pour s'en occuper.
Depuis trois ans à son poste, elle travaille en étroite collaboration avec l'équipe médicale et sa vingtaine de profs pour un suivi soins/études individualisé. Nous sommes là pour les aider, du bac jusqu'au DEA, disent non sans fierté Sylvette et Claire, profs d'anglais et d'EPS.
Une prise en charge psycho-éducative dont les résultats s'avèrent positifs : sur quarante-trois patients/étudiants, trente-cinq retournent à leur domicile, dont trente-trois pour reprendre des études ou s'orienter vers une activité professionnelle.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
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