lutte contre l’alcool
Est-on alcoolique
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Est-on alcoolique
Existe-t-il un test pour savoir si on est alcoolique ?
Déjà, le fait de se poser cette question montre qu'on a un problème avec l'alcool, problème caché jusque-là, mais qui arrive à la surface.
En fait, c'est aussi une sortie du déni.
On se rend compte qu'on n'a pas un comportement normal avec l'alcool. Quand on commence à boire un verre, on ne peut plus s'arrêter. Régulièrement on boit bien plus que nécessaire, jusqu'à parfois rouler sous la table. Le lendemain, on commence à oublier ce qu'on a pu faire ou dire la veille. Les copains ou la famille nous raconte nos exploits et on n'en a aucun souvenir, on se sent mort de honte d'avoir pu faire ou dire tout ça et de ne plus se le rappeler.
Vous pensez souvent à l'alcool, à chaque repas, vous buvez du vin, voir un apéritif. Le soir, en rentrant, l'apéro devient un rituel, au début, il ne s'agit que d'un verre, mais peu à peu, vous passez à deux voir trois verres.
Pendant un temps, on essaie de se persuader que non, on n'est pas alcoolique. Tel ou tel ami boit bien plus que nous et il ne semble pas alcoolique. La bande de copain avec qui on fait la fête boivent aussi autant que nous. Oui, mais vous vous posez la question, c'est là la différence.
Il existe des tests sur internet que vous pouvez faire. Vous pouvez aussi essayer de rester une semaine sans boire une goutte, si vous y arrivez, vous serez un peu rassuré, mais ça vous permettra surtout de continuer à boire autant et la dépendance alcoolique arrive souvent bien plus vite qu'on ne le pense.
Et puis cette inquiétude lancinante ne vous lâche pas : Suis-je alcoolique ?
On dit souvent que lorsque nous commençons à avoir des problèmes à cause de l'alcool, il est plus que temps d'arrêter, mais on peut aussi stopper sa consommation avant d'avoir des ennuis.
Alors un conseil, si vous sentez que votre relation à l'alcool sort de l'ordinaire, ne persistez pas, ça n'ira jamais en diminuant, au contraire. Allez consulter un médecin alcoologue ou votre médecin traitant pour faire le point avec lui.
Déjà, le fait de se poser cette question montre qu'on a un problème avec l'alcool, problème caché jusque-là, mais qui arrive à la surface.
En fait, c'est aussi une sortie du déni.
On se rend compte qu'on n'a pas un comportement normal avec l'alcool. Quand on commence à boire un verre, on ne peut plus s'arrêter. Régulièrement on boit bien plus que nécessaire, jusqu'à parfois rouler sous la table. Le lendemain, on commence à oublier ce qu'on a pu faire ou dire la veille. Les copains ou la famille nous raconte nos exploits et on n'en a aucun souvenir, on se sent mort de honte d'avoir pu faire ou dire tout ça et de ne plus se le rappeler.
Vous pensez souvent à l'alcool, à chaque repas, vous buvez du vin, voir un apéritif. Le soir, en rentrant, l'apéro devient un rituel, au début, il ne s'agit que d'un verre, mais peu à peu, vous passez à deux voir trois verres.
Pendant un temps, on essaie de se persuader que non, on n'est pas alcoolique. Tel ou tel ami boit bien plus que nous et il ne semble pas alcoolique. La bande de copain avec qui on fait la fête boivent aussi autant que nous. Oui, mais vous vous posez la question, c'est là la différence.
Il existe des tests sur internet que vous pouvez faire. Vous pouvez aussi essayer de rester une semaine sans boire une goutte, si vous y arrivez, vous serez un peu rassuré, mais ça vous permettra surtout de continuer à boire autant et la dépendance alcoolique arrive souvent bien plus vite qu'on ne le pense.
Et puis cette inquiétude lancinante ne vous lâche pas : Suis-je alcoolique ?
On dit souvent que lorsque nous commençons à avoir des problèmes à cause de l'alcool, il est plus que temps d'arrêter, mais on peut aussi stopper sa consommation avant d'avoir des ennuis.
Alors un conseil, si vous sentez que votre relation à l'alcool sort de l'ordinaire, ne persistez pas, ça n'ira jamais en diminuant, au contraire. Allez consulter un médecin alcoologue ou votre médecin traitant pour faire le point avec lui.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
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