lutte contre l’alcool
Signes révélateurs d'un malade alcoolique
Page 1 sur 1
Signes révélateurs d'un malade alcoolique
Lors d'une rencontre entre amis ou lors de retrouvailles familiales, on peut repérer chez une personne, les signes d'une lutte silencieuse pourtant peu perceptibles, mais pour ceux qui connaissent les indices de la maladie alcoolique, ils résonnent comme des cris d'alarme. L'alcoolisme, cette maladie insidieuse, peut se camoufler derrière des apparences ordinaires, mais ses empreintes se manifestent à travers divers signes révélateurs.
Les yeux sont souvent les premiers à trahir. Dans le regard d'une personne en proie à l'alcoolisme, on peut parfois déceler une lueur éteinte, une sorte de voile qui obscurcit la clarté habituelle. Les pupilles dilatées ou rougies trahissent souvent des nuits agitées et des abus répétés.
Le comportement, autrefois stable et prévisible, commence à vaciller. Les absences répétées, les retards non expliqués, les excuses vagues deviennent monnaie courante. Les engagements sont négligés, les responsabilités délaissées. La personne alcoolique peut paraître distante, irritable ou même agressive, masquant ainsi sa douleur sous un voile d'hostilité.
Les relations personnelles subissent également des dommages collatéraux. Les amis se font rares, repoussés par des comportements erratiques ou des excuses constantes. Les membres de la famille observent impuissants, déchirés entre l'amour et la frustration, tandis que les liens se distendent sous le poids de l'incompréhension et de la déception.
Physiquement, le corps commence à donner des signes de détresse. La peau peut paraître terne et fatiguée, marquée par des rougeurs ou des éruptions cutanées. Les mains peuvent trembler légèrement, signe d'un système nerveux en état d'alerte constant. La perte ou le gain de poids inexpliqué, ainsi que les problèmes de digestion, peuvent également être des indicateurs de problèmes sous-jacents.
Mais parmi tous ces signes, c'est peut-être le déni qui est le plus révélateur. L'alcoolique, englouti par sa dépendance, cherchera souvent à dissimuler ses habitudes, à minimiser les problèmes ou à les attribuer à d'autres causes. Le refus de reconnaître le problème est souvent le dernier rempart entre la personne et le chemin de la guérison.
Dans l'ensemble, reconnaître les signes de l'alcoolisme demande une sensibilité particulière, une capacité à lire entre les lignes et à comprendre les nuances du comportement humain. C'est un défi souvent difficile à relever, mais une fois les signes identifiés, c'est le premier pas vers la compassion, le soutien et, espérons le, la guérison.
Ghyslaine Gimenes
Les yeux sont souvent les premiers à trahir. Dans le regard d'une personne en proie à l'alcoolisme, on peut parfois déceler une lueur éteinte, une sorte de voile qui obscurcit la clarté habituelle. Les pupilles dilatées ou rougies trahissent souvent des nuits agitées et des abus répétés.
Le comportement, autrefois stable et prévisible, commence à vaciller. Les absences répétées, les retards non expliqués, les excuses vagues deviennent monnaie courante. Les engagements sont négligés, les responsabilités délaissées. La personne alcoolique peut paraître distante, irritable ou même agressive, masquant ainsi sa douleur sous un voile d'hostilité.
Les relations personnelles subissent également des dommages collatéraux. Les amis se font rares, repoussés par des comportements erratiques ou des excuses constantes. Les membres de la famille observent impuissants, déchirés entre l'amour et la frustration, tandis que les liens se distendent sous le poids de l'incompréhension et de la déception.
Physiquement, le corps commence à donner des signes de détresse. La peau peut paraître terne et fatiguée, marquée par des rougeurs ou des éruptions cutanées. Les mains peuvent trembler légèrement, signe d'un système nerveux en état d'alerte constant. La perte ou le gain de poids inexpliqué, ainsi que les problèmes de digestion, peuvent également être des indicateurs de problèmes sous-jacents.
Mais parmi tous ces signes, c'est peut-être le déni qui est le plus révélateur. L'alcoolique, englouti par sa dépendance, cherchera souvent à dissimuler ses habitudes, à minimiser les problèmes ou à les attribuer à d'autres causes. Le refus de reconnaître le problème est souvent le dernier rempart entre la personne et le chemin de la guérison.
Dans l'ensemble, reconnaître les signes de l'alcoolisme demande une sensibilité particulière, une capacité à lire entre les lignes et à comprendre les nuances du comportement humain. C'est un défi souvent difficile à relever, mais une fois les signes identifiés, c'est le premier pas vers la compassion, le soutien et, espérons le, la guérison.
Ghyslaine Gimenes
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Sujets similaires
» Signes qu'une dépendance alcoolique se prépare...
» 9 signes qui montrent que quelqu'un est alcoolique..
» Le malade alcoolique
» La vie du malade alcoolique
» Le malade alcoolique
» 9 signes qui montrent que quelqu'un est alcoolique..
» Le malade alcoolique
» La vie du malade alcoolique
» Le malade alcoolique
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|