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Dry January : On vous donne quelques conseils pour affronter les gros relous qui veulent vous faire boire

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Message  tulipe noire 19/1/2023, 11:39

https://www.20minutes.fr/sante/4017393-20230106-dry-january-donne-quelques-conseils-affronter-gros-relous-veulent-faire-boire?fbclid=IwAR1BHu0eVP3xkpX96GAbIZ6AyjrPdV8ikIMSlSYZKhhQzkkTpEFNIZR8iH0

[size=33]Dry January : On vous donne quelques conseils pour affronter les gros relous qui veulent vous faire boire[/size]
NON, C’EST NON Pour affronter vos potes insistants qui vous incitent à boire pendant votre Dry January, deux personnes abstinentes livrent leurs conseils



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Vous pouvez aussi tenter un « parle à ma main » mais on n'est pas sûr que ce soit très efficace. — Canva


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Dry January : On vous donne quelques conseils pour affronter les gros relous qui veulent vous faire boire
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  • Le Dry January, ce concept visant à ne pas consommer d’alcool pendant le mois de janvier, vient de débuter.
  • Pour affronter les amis un peu trop insistants qui veulent vous faire boire des coups comme si leur vie en dépendait, on a demandé des conseils à deux personnes qui ont été dépendantes à l’alcool et sont abstinentes depuis des années.
  • Réponses teintées d’humour ou de provocation et autres tactiques bien rodées, elles donnent leurs tips à 20 Minutes.



Ce soir, vous avez décidé de ne pas consommer d’alcool et de poursuivre votre Dry January. Mais arrivé au bar, votre pote est bien décidé à vous faire changer d’avis. Face à votre Perrier citron, il tente de vous convaincre, allant de « franchement tu devrais goûter ce vin, il est excellent » à « roh, t’es pas marrant » en passant par « ça va, c’est juste un verre ! » Vous allez nous dire, « il suffit de dire “non” ». Et bien si vous pensez que ce mot magique peut faire voler en éclats l’insistance de votre voisin de table, c’est que vous avez eu de la chance et n’êtes jamais tombé sur ce relou de soirée. Parce que parfois, vous avez beau répéter « non, merci », c’est comme si vous parliez dans le vide.
Pour affronter les personnes un peu trop insistantes qui veulent vous faire boire des coups comme si leur vie en dépendait, on a demandé des conseils à deux personnes anciennement dépendantes à l’alcool et abstinentes depuis des années. Entre réponses teintées d’humour et tactiques bien rodées, elles donnent leurs tips à 20 Minutes.

Un « non, merci » pas toujours entendu

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Déjà, vous pouvez commencer par dire « non, merci, je ne bois pas », sans donner davantage d’explications. « Dans la grande majorité des cas, ça suffira », témoigne Yann Alex G, patient expert en addiction et auteur du livre Sacrée descente : comprendre l’alcoolisme, comment tout est fait pour nous inciter à boire. En tant qu’abstinent, je peux le dire, on se fait toute une montagne à l’idée de dire “non” mais souvent les gens ont leurs propres problèmes. Ils n’en ont rien à faire qu’on boive ou non de l’alcool. »
Mais dire « non » reste difficile et la peur de blesser ou de vexer l’autre n’est jamais bien loin. « En France, refuser de l’alcool, c’est aussi refuser la convivialité, poursuit l'ancien addict. C’est ancré dans notre culture. Quand on dit “non”, on est aussi vu comme quelqu’un de chiant, de pas drôle. » A ses yeux, cette pression sociale existe encore plus chez la jeune génération.
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Honnêteté, humour ou provocation : à vous de choisir

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Si les « alleeeez, juste un petit ! » continuent de fuser malgré le fameux mot à trois lettres ( « non », pour ceux qui n’ont pas suivi), vous pouvez, si vous le souhaitez, expliquer votre démarche. « On peut le faire avec certaines personnes mais ça dépend vraiment de notre entourage », estime Carole Gazon, cofondatrice du groupe Facebook Alcool au féminin. Si dire « je me suis lancé un défi, je fais le Dry January » est plutôt simple, expliquer qu'on essaye d’arrêter de boire parce qu'on s'est rendu compte qu'on entretenait un rapport problématique à l’alcool l’est moins. Alors parfois, on peut garder notre honnêteté dans notre poche, et sortir la carte de l’humour, de l’ironie ou de la provocation.
Dans son livre, Yann Alex a recensé tout un tas de réponses à donner. D’abord, la carte de l'ironie (option passif agressif), qui donne quelque chose comme « Est-ce que je te demande, moi, pourquoi tu bois de l’alcool ? » La carte de l'humour : « J’ai épuisé mon quota. » Ou encore celle de la provocation : « Tu veux que je consomme de l’alcool ? Très bien. Mais après je ne réponds plus de rien et je suis capable du pire ! » Si après ça, votre pote vous tend une pinte, il est temps de se poser des questions sur vos relations amicales… ou sur la consommation d’alcool de vos amis.







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Avoir toujours un verre de soft plein

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Si vous vous sentez bien incapable de blaguer ou de rentrer dans le lard de vos copains, Yann Alex propose un ultime recours pour enfin leur clouer le bec : le mensonge. « On peut dire qu’on prend des médicaments ou qu’on prépare le prochain marathon ». Néanmoins, cet ancien alcoolo-dépendant déconseille cette stratégie car « on ne peut pas mentir éternellement. »
Pour les personnes qui n’ont pas envie de rentrer dans des explications, Carole Gazon propose de ruser en utilisant un stratagème bien connu des anciens addicts. Dans les mariages ou les pots d’entreprise, « ayez toujours un verre de soft rempli à la main. Personne ne pourra vous le remplir. » Une tactique bien rodée par Yann Alex. « Souvent, les gens ne se rendent même compte que ce n’est pas de l’alcool qu’on boit. » Vous avez désormais toutes les clés en main pour tenir votre engagement pendant 31 jours (au moins) sans alcool. « Et si la personne insiste au bout de trois refus, changez d’ami », conclut Yann Alex. Radical mais efficace.[/size]
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Féminin 12/04/2013

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