Boire quand nous sommes heureux....

Les motifs de boire.
 
Dans la consommation des malades alcooliques, on distingue différentes causes les poussant à boire.
Les motifs, les causes à valeur négative sont plutôt associés à nos peurs, pour nous aider à gérer des émotions qui nous submergent. On va boire quand quelque  chose ne va pas dans notre vie, quand on se sent déprimé pour une raison ou une autre.
On peut aussi boire pour des motifs relationnels. Dans un groupe, notre peur d'être rejeté, va nous amener à choisir l'ivresse pour oser entrer dans le groupe sans crainte. Dans un groupe où tout le monde boit, ce n'est pas si facile de refuser un verre, c'est même parfois très mal vécu par ceux qui offrent ce verre, c'est presque leur faire outrage.  En fait, souvent, on ne se sent pas libre de ne "pas boire".
Les personnes sujettes à faire des dépressions ou des crises d'angoisse calment leur sensation physique et psychologique également avec l'alcool. Les crises d'angoisse provoquent des sensations physiques très dures à vivre : nausées, tachycardie, vue trouble, sensation de s'évanouir. L'alcool arrête tous ces symptômes et nous rassure moralement.
Toutes ces causes qui nous poussent à boire, sont bien connus et fréquemment, nous tombons dans l'alcool en essayant de nous sortir d'une dépression.
Mais il y a un phénomène que je m'explique encore mal, c'est ce que nous pourrions appeler   les motifs à valeur positive.
On boit alors, non pas pour retrouver la sérénité ou calmer une angoisse, mais  pour amplifier une sensation de bonheur, pour être encore plus gai pour faire la fête. Plus on est heureux, plus on a envie de boire.
On peut aussi prendre un verre pour se récompenser d'avoir réussi quelque chose d'important : un examen, un concours, avoir eu un poste intéressant, avoir gagné au loto ou que sais-je.
C'est comme si nous voulions renforcer ce bonheur, le rendre encore plus grand, ce qui est assez étonnant et me pose question.
Alors est-ce une question de récompense, de renforcement d'une émotion positive que l'on voudrait garder le plus longtemps possible, est-ce pour calmer ce bonheur qui nous envahit et nous dépasse. Je me pose vraiment la question de savoir pourquoi, dans ces cas-là, nous faisons aussi appel à l'alcool.
D'ailleurs, une rechute a souvent lieu plus souvent au cours d'un grand moment de joie que pendant un sentiment de tristesse extrême. C'est tout de même paradoxal . Si vous avez des réponses, elles seront les bienvenues.

Peut étre juste un reflexe du as un prétexte pour simplement boire , acquis depuis longtemps ou une éducation de la société qui lorsque il y a un évenement joyeux , Il est de coutume de le fété par un verre et  plus . 

Il pourrais s'agir également que lorsque il y a une raison de fété un évenement , ç'est aussi une forme de décompression , les jeunes quand il ons leurs diplome . Lorsque un projet avec beaucoup de tension arrive a sont terme , la fin de semaine , le rituelle du vendredi . moi avec la fin du boulot posté , je ne suis pas un bonne exemple , je suis MA je boirais jusqua en mourire c'est pas le sujet . 

Le truc , c'est que maintenant et même avant , tous est prétexte pour fêté un evenement . 

Je pense quand même a un gros conditionement mentale des choses quasi inné , ons n'apprend moins a boire quand ça va pas , Mais pour un évenement joyeux c'est de rigeur partout . Dans le commun des mortelle , un MA c'est différent .

Ahhh je souris doucement. C'est pour les supporters de foot du mondial! je viens d'entendre que l'alcool sera interdit aux abords des stades!!!

Dur, dur!!! pas permis de fêter les résultats, ou d'encourager leur équipe avant, pendant et durant le match....et pourtant le pays organisateur avait promis...

Parce qu'avec des jus de fruits ou boissons non alcoolisées la fête est moins bien ?? 

Pour l'alcool quand on est heureux, Anamaya a mis une phrase que je trouve vraiment importante et qui, en effet, peut expliquer bien des choses, elle a écrit : le niveau de bonheur d'un malade alcoolique n'arrive pas à dégager le niveau d'endorphines d'une personne "normale"  
Il me semble qu'il y a beaucoup de vrai là dedans.