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L'alcoolisme au féminin
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L'alcoolisme au féminin
Caractéristiques de l’alcoolisme féminin
-La clandestinité est le point important qui caractérise l’alcoolisme féminin. Pour une femme la honte de boire venant de l'extérieur est très forte et remonte à très longtemps;
Envahies d’un sentiment diffus de culpabilité elles vont s’alcooliser en s'isolant et en essayant d'en cacher les répercussions.
-L’isolement
Ce repli sur soi montre à quel point elles cherchent à se retrouver. Il leur est impossible socialement parlant de s’alcooliser à l’extérieur ou dans des lieux publics. Elles le font en solitaire, chez elles, véritables repères où elles règnent en maîtresses de maison. Ainsi, alors que l’alcoolisme masculin se vit souvent au grand jour sur la scène publique ou familiale, l’alcoolisation féminine s’apparente à un ghetto enfermant les femmes dans la solitude.
-Le camouflage
Devant le poids pesant du paraître social, elles doivent dissimuler non seulement leur alcoolisme à l’entourage, mais aussi cacher les bouteilles. Elles tentent de gommer les conséquences visibles de leur alcoolisme par le maquillage, en masquant leur haleine par la consommation de chewing-gum, des dentifrices ou bien encore en se parfumant, parfois à outrance, pour étouffer tous indices de trahison de leur consommation et tendre au mieux à ce dit « idéal féminin ».
-Accompagnement
Le rôle social attribué à la femme par la société conduit à lui témoigner en matière d’alcoolisme moins de sollicitude qu’à l’homme , ce qui augmente la difficulté de son abord thérapeutique, avec des risques de préjugés et autres effets défavorables à sa prise en charge. Le thérapeute doit néanmoins garder à l’esprit qu’elle est avant tout un sujet malade du produit alcool.
-La clandestinité est le point important qui caractérise l’alcoolisme féminin. Pour une femme la honte de boire venant de l'extérieur est très forte et remonte à très longtemps;
Envahies d’un sentiment diffus de culpabilité elles vont s’alcooliser en s'isolant et en essayant d'en cacher les répercussions.
-L’isolement
Ce repli sur soi montre à quel point elles cherchent à se retrouver. Il leur est impossible socialement parlant de s’alcooliser à l’extérieur ou dans des lieux publics. Elles le font en solitaire, chez elles, véritables repères où elles règnent en maîtresses de maison. Ainsi, alors que l’alcoolisme masculin se vit souvent au grand jour sur la scène publique ou familiale, l’alcoolisation féminine s’apparente à un ghetto enfermant les femmes dans la solitude.
-Le camouflage
Devant le poids pesant du paraître social, elles doivent dissimuler non seulement leur alcoolisme à l’entourage, mais aussi cacher les bouteilles. Elles tentent de gommer les conséquences visibles de leur alcoolisme par le maquillage, en masquant leur haleine par la consommation de chewing-gum, des dentifrices ou bien encore en se parfumant, parfois à outrance, pour étouffer tous indices de trahison de leur consommation et tendre au mieux à ce dit « idéal féminin ».
-Accompagnement
Le rôle social attribué à la femme par la société conduit à lui témoigner en matière d’alcoolisme moins de sollicitude qu’à l’homme , ce qui augmente la difficulté de son abord thérapeutique, avec des risques de préjugés et autres effets défavorables à sa prise en charge. Le thérapeute doit néanmoins garder à l’esprit qu’elle est avant tout un sujet malade du produit alcool.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
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