Action! Réaction!

fais attention à toi, Sophie, tester ses limites est une expérience à double tranchant....

L'alcool te prend toujours la tête, pas de la même façon, mais il ne quitte guère tes pensées. Tu en es à "comment vivre sans alcool".
Là, tu l'as affronté , tout s'est bien passé, tu as vu que tu pouvais y arriver, mais ne joue pas à ça trop souvent, c'est quand même prendre de gros risques et comme tu le sais, la rechute se prépare longtemps à l'avance dans notre tête, j'ai un peu peur là.
Ce à quoi il faut arriver c'est justement à ce que l'alcool n'occupe plus nos pensées. Que nous puissions vivre normalement sans l'avoir toujours en fond d'écran.
Tu as énormément avancé mais tu n'as pas encore assez de recul pour ne pas mêler l'alcool à ta vie quotidienne. Si tu fais des activités qui te passionnent assez pour te vider l'esprit, vas y et fais les, c'est ce qui pourrait t'aider le plus, trouver une autre passion.
Mais un conseil, évite pour le moment les fêtes à risque comme celles où tu es allée!

Je suis du même avis, tu prends trop de risques, ou bien j'ai l'impression que tu te prépares à une nouvelle alcoolisation... Au contraire, éloigne-toi des tentations, l'alcool est bien trop présent dans ta tête, déjà.
Je suis certaine que tu peux trouver d'autres occupations qui te prennent la tête d'une autre façon.
Tiens bon la barre, moussaillon !

Je partage leurs avis Sanka. Je pense que tu pousses un peu trop vers le danger. Il faut constater que l'alcool est encore dans tes pensées, il y a encore une progression à faire de ce côté, mais ça va venir.

Il viendra le moment où tu pourras te retrouver dans une soirée où l'alcool est présent, mais pour l'instant, je crois que c'est encore trop tôt pour répéter à des fréquences rapprochées.

Sois vigilante!

tu te mesures à plus fort que toi sophie,j'ai eu du mal moi aussi à l'admettre mais je me suis rendue à l'évidence: l'alcool est plus fort que moi ,du moins l'était avant que je soies dans le hors alcool.
Tu va gérer,tu vas même être fière d'avoir géré MAIS,pour arriver à faire cette soirée sans boire,tu as du puiser dans tes reserves,même si tu ne t'en rends pas compte et le prochain coup,tu auras envie et le suivant,tu feras une exception et la suite tu la connais
je crois que ce qui m'a sauvé,c'est que je n'ai pas eu de contact avec l'alcool durant mon combat,pas de soirée,pas ou peu d'anniversaires,j'ai donc pu garder toutes mes forces pour mon combat sans m'éparpiller.
Ne joue pas avec ça,si tu veux organiser des choses,fais des circuits de randonnées ou organises des tournois mais pas de soirées de foot,c'est un milieu où l'alcool coule à flot  
En mémoire de ton ami mort à cause de l'alcool,je pense que ce serait une très bonne idée de faire une soirée sans alcool,un bel hommage et aussi un pied de nez au petit singe qui a volé une vie si jeune  
Ne te pose pas trop de question non plus sophie,il ne s'agit pas de savoir où sont tes limites avec l'alcool,il n'y a pas de limite à avoir,tu ne peux et ne dois pas boire POINT.Et pour ce qui est de te détacher des autres,c'est une très bonne chose si tu sens que tu en as besoin.
Vis ta vie simplement,fais ce que tu as envie de faire et zappe ce qui te contrarie,ne fais pas 36 choses en même temps,vois les priorités et tu vas voir que ça va couler tranquille

Les situations dites "à risque", c'est tant qu'on est fragile.
Sinon, il n'y a plus de situation à risque.
Tant qu'il y a une idée de défi, c'est qu'on est faillible.
l'alcool, c'est un ennemi qui gagne à tous les coups sur la durée si on ne s'en détache pas.
"Courage fuyons" (évitons), je crois que c'est la seule solution, et sans aucun doute.

Après, quand il n'existera plus nulle part (ni tentations, ni associations d'idées, etc),
tu pourras retourner sur ces terrains qui sont risqués aujourd'hui.
Ces terrains là, tu seras au dessus, hors de portée, ou alors carrément ailleurs
çà ne te coupera pas du monde, et tu pourras aussi garder ton envie ou plaisir
à aller à des soirées ou venir ici, mais tu feras tout par envie ou sympathie,
plus dans la lutte

SHALE a écrit: Ce à quoi il faut arriver c'est justement à ce que l'alcool n'occupe plus nos pensées. Que nous puissions vivre normalement sans l'avoir toujours en fond d'écran.

C'est exactement ce que j'aimerai!!!!!

Je ne sais pas si en faisant ça c'est pour chercher mes limites, je sais juste que oui je ne veux plus vivre non plus à l'écart à cause de l'alcool comme j'ai pu le faire. Bon je suis d'accord avec vous sur le fait que je peux pas encore pousser trop loin, que je ne suis pas encore assez forte. Après oui d'organiser ses soirées, de trouver les personnes qui vont nous préparer les bidons de punchs, gérer les repas ou tout le reste voilà je sais que ça va nous rapporter de l'argent et puis ça m'occupe la tête même si je reste dans ce truc... Et oui je crois que je l'ai dit mais j'ai prévenue qu'il ce pouvait que dans la soirée je parte et ne pas faire la fermeture justement à cause du surplus d'alcool et surtout des gens sous alcool...
Après pour le moment je n'ai pas de satisfaction à faire tout ça, par contre si ça fonctionne et nous ramène assez d'argent comme on l'espère, je pense que ça peut le faire et en tout cas ça m'occupe l'esprit même si oui il va y avoir des moments ou je n'irai pas seule comme pour aller acheter toutes les bouteilles de rhum parce que parcourir les rayons alcool ce n'est pas quelque chose où j'ai confiance en moi mais je sais que je serai accompagnée donc pas de soucis et pour tout le reste c'est pareil.

Je ne sais pas ce que je cherche en faisant tout ça, bien sûr des idées me viennent comme ces limites, je sais que l'alcool est dans mes pensées mais je trouve que ça ce gère (même si ça arrive à des moments bizarre comme aujourd'hui au beau milieu de mon match), c'est plus dans mes actes que je me rends compte, qu'il est toujours là. Mais ça ce gère aussi de ce coté là puisque je ne touche a rien même si je m'en approche et oui je ne compte pas me dire "juste un verre" je sais que ce n'est pas possible!

Pour ce qui est de faire 36 choses pour le moment j'ai laissé beaucoup de côté tout ce qui est pour moi puisque de toute façon la plupart je dois patienter mais j'ai parlé de tout ça avec mon AS et elle me fait faire les choses au fur et a mesure et sais ce qui est le mieux pour moi sinon j'ai tout laissé, je ne réfléchis plus, ni boulot, ni autre même si des fois ça revient, surtout dans mes rêves ou en me réveillant mais oui sinon plus rien à ce niveau. Pour les coupures, je ne sais pas trop, il faudrait juste que je trouve un juste milieu, je pense que ça va venir comme il faut, parce que j'ai besoin de certaine personne quand même...

En tout cas voilà, je pense qu'il va falloir juste que je trouve, comme l'a dit Shale, des occupations saines pour ne plus penser ou faire des choses constructives sans rapport avec l'alcool, le sexe ou toutes autres choses néfastes pour moi en ce moment...

Totalement d'accord avec les filles 
Les "tests" "d'endurance".... le stress, ces idées.... tu touches peu à peu à cet "état" de côtoyer l'alcool, et tu n'en n'es pas loin!
C'est aussi tout à fait légitime que tu aies besoin de t'isoler, de te retrouver, de te re-construire dans ta petite bulle sophie, un pied devant l'autre, et ça va le faire. 
Mais n'en fais pas trop tout de même 

lolo6 a écrit:
Tant qu'il y a une idée de défi, c'est qu'on est faillible.
l'alcool, c'est un ennemi qui gagne à tous les coups sur la durée si on ne s'en détache pas.
"Courage fuyons" (évitons), je crois que c'est la seule solution, et sans aucun doute.

Après, quand il n'existera plus nulle part (ni tentations, ni associations d'idées, etc),
tu pourras retourner sur ces terrains qui sont risqués aujourd'hui.
Ces terrains là, tu seras au dessus, hors de portée, ou alors carrément ailleurs
çà ne te coupera pas du monde, et tu pourras aussi garder ton envie ou plaisir
à aller à des soirées ou venir ici, mais tu feras tout par envie ou sympathie,
plus dans la lutte

Lolo, tu es vraiment en plein dedans, ou plutôt même si je crois que tu viens de dire la même chose que les autres, la façon de dire me parle encore plus... Surtout ta première phrase...
C'est l'association d'idées qui me gêne le plus dans tout ça...

J'attends vraiment de ressentir tout ce que tu m'as dit sans en étant sur ces terrains là...

Merci à tous et bonne soirée

Sophie, tu ne t'en rends peut-être pas vraiment compte mais tu en approches de cet état de hors alcool. Il y a encore du travail mais là, tu n'en avais jamais été aussi près. Alors continue à avancer sans prendre de risque, et peu à peu l'alcool s'éloignera de tes pensées....

J'en rajoute une louchette: comme tu l'a déjà constaté, tous les "stades"
se passent par paliers, on dit aussi (en image) qu'on a monté une marche.
C'est toujours avant de passer à la suivante qu'on trouve que c'est le bordel.
à peu de temps près, juste un peu plus tard, on se sent plus libre et mieux d'un coup

Ta louchette est importante pour préciser les choses!

mamou a écrit:
Les "tests" "d'endurance".... le stress, ces idées.... tu touches peu à peu à cet "état" de côtoyer l'alcool, et tu n'en n'es pas loin!

SHALE a écrit:Sophie, tu ne t'en rends peut-être pas vraiment compte mais tu en approches de cet état de hors alcool.

Les 2 phrases ont la même signification c'est bien ça? Je n'avais pas compris ton message hier Mamou
En tout cas, oui je vais le répéter, mais je me sens différente d'il y a quelques mois, ça c'est sûr!

Après oui c'est le bordel de la reconstruction je pense, est ce que c'est un pallier ou pas, je l'ignore mais oui contrairement à la première fois où j'ai arrêté de boire où j'ai mit une grande partie de ma vie entre parenthèse où j'ai stoppé les sorties à risques (et le peu où j'ai été je me sentais plus que mal), j'ai arrêté les relations intimes (en me satisfaisant seule en montant crescendo dans le malsain), je me suis donnée a fond dans mon travail jusqu'à en être un petit chien que l'on pouvait manipuler comme on voulait, enfin le tout a fait que j'ai ressentie un mal être si profond que je suis retourner vers l'alcool au bout d'un an pour retrouver tout ça, pour me donner le courage de continuer et ça a fonctionné mais qu'un temps. Je ne veux pas retourner dans ce système de privation qui emmène à la rechute, alors oui je vais peut-être trop vite en besogne en voulant vivre normalement comme tout le monde, après c'est aussi la peur de réitérer le même schéma, ne plus savoir faire les choses sans produit, de ne plus oser m'affirmer enfin tout...

Je sais qu'il faut prendre les choses une à une, ne pas vouloir sauter d'étapes mais comme chaque rechute nous fait apprendre nos erreurs, je n'ai pas envie de commettre les mêmes et de m'enfermer dans un cercle qui me fera rechuter.
Savoir si j'utilise les bonnes méthodes ou pas, là je ne suis pas assez objective, je n'ai pas le recul nécessaire je pense comme vous vu de l'extérieur mais oui il faut que je trouve une solution pour parer à tout ça, parer au mal être qui m'atteignait les derniers temps en ne me concentrant plus sur moi parce que je ne peux pas agir pour les autres mais voyais la solution, par contre quand ça nous concerne directement là tout devient plus flou et encore, je fais les choses plus subtilement en m'engageant pour les autres (mon club) mais de manière à affronter l'alcool tout de même. Est ce que je pense réellement à moi la dedans ou est ce juste une solution pour m'occuper l'esprit tout en gardant mon ami le singe prêt de moi et en devant l'affronter?

En tout cas maintenant que je me suis engagé, je ne peux plus faire marche arrière et pour cette première manifestation on va attendre le 24 octobre pour en connaitre le résultat sur mon ressentie, si cette solution fait plus de mal que de bien ou l'inverse...

Tu avances comme tu le sens, si c'est ta manière à toi de laisser l'alcool là où il est , même si tu es à côté, pourquoi pas. Mais au début protège toi avec un espéral, ce serait trop bête de retourner en arrière.... Je sais que lorsque je suis sortie de cure, ça ne me dérangeait pas de me trouver parmi des gens qui buvaient de l'alcool, ça me rendait même très forte. J'avais un plaisir énorme à dire "non, je ne bois pas"....C'était vraiment jouissif dans la mesure où j'étais très fière d'avoir réussi à arrêter l'alcool..

je pense que tu n'es pas prête à te séparer d'un coup de l'alcool et surtout de tout ce qui va avec(copains,fête,foot,convivialité)et que tu as trouvé avec ces organisations un moyen de ne pas tout perdre en même temps,ça,c'est dans la théorie,dans la pratique,il faut voir où ça te mène,si cela te met mal ou si au contraire,ça te renforce.Tu verras bien à la première grande soirée mais comme le dit shale,n'oublie pas ton Espérance ce jour là ni les jours d'après

Il n'y a pas UNE méthode, mais à chacun sa méthode.... 
Tant que tu es sous haute protection 

Oui oui les filles, je continue à prendre mon 1/2 Espéral tous les matins!
Et je pense que le jour de grande soirée j'en prendrai un entié par précaution.

En tout cas d'avoir écrit les derniers jours, c'est bizarre mais ça me fait réaliser que rien n'est fait par hasard, que les choses que je fais au départ sans réfléchir vraiment ou sans y voir quelquonque interprétation, ne sont pas anodines après réfléxion.
Mais c'est uniquement en commencant écrire ici que je m'en rends compte parce que j'écris et d'un coup les mots, les questions, les pourquoi, tout s'enchaine d'un coup sans que je n'arrive m'arrêter...

Voilà c'est une petite parenthèse mais je trouve ça super important, d'un coup sortir des choses que l'on ne c'était pas forcément aperçu juste en posant les mains sur son clavier et laisser sortir au fur et a mesure de plus en plus, chaque mot en amenant à un autre ect...

Merci le forum

C'est un long travail qui s'est opéré en toi, sans que tu t'en rendes compte. Tu as parfaitement intégré ce qu'il fallait faire pour avancer mais aussi pour te protéger, tu n'as plus à y réfléchi un temps fou, c'est inscrit en toi, tu gagnes du temps..
En tout cas bravo, je te vois avancer et c'est beau!!!

c'est marrant comme tu réagis comme moi  
au début,c'est par l'écriture que j'ai le plus avancé,je partais sur une idée et au fur et à mesure je partais totalement ailleurs mais mes mains écrivaient sans que je puisse les arrêter comme si elles n'attendaient que ça pour dire ce qu'il y avait au fond;
Quand je relisais,j'étais étonnée de voir que tout ce qui était écrit était exactement ce que je ressentais sans pour autant que ce soit ce sujet que je voulais traiter au départ.J'ai beaucoup avancé en écrivant,les idées ,les problèmes et même les solutions apparaissaient en écrivant alors n'hésite pas,c'est vraiment une bonne thérapie et en plus,tu t'exprimes vraiment très bien

Ce matin je reprends le temps de faire un petit bilan. Cristal tu as décris bien mieux que moi ce qu'il ce passe quand l'on ce met devant notre clavier "je partais sur une idée et au fur et à mesure je partais totalement ailleurs mais mes mains écrivaient sans que je puisse les arrêter".
Donc j'ai relus mes derniers posts puisque j'étais partie sur pas mal de choses que j'avais dans la tête sur le moment, sur les choses que j'avais mit en place ect...

sanka a écrit:
En écrivant je me rends compte que je suis passé d'une façon de penser à l'alcool à une autre peut-être plus subtile mais la mienne. J'ai couper avec toutes les personnes qui me ramènes à ça (sauf le forum même si oui j'ai plus de mal pour poster chez les autres) et j'ai l'impression de au contraire vouloir avoir un combat face à face, quelque chose que je dois moi maîtriser pas comme avec les autres. Est ce que je me met en danger pour pallier à justement devoir combattre moi dans des situations à risque que je mets moi en place pour ne pas être spectatrice de celle des autres?

J'en suis toujours au point là, sauf que je le vois peut-être d'une manière plus avancée :
"J'ai besoin de mener mon combat"

Je suis dans la phase où je dois faire encore des choix pour la suite de mon parcours, il y a toujours ce truc sentimental qui veut m'accrocher à des espoirs mais je crois qu'à un moment on ce perd dans nos rêves, qu'on ne veut voir que les bonnes choses en faisant abstraction du moins bon et pourtant on ce rend mal, on est mal sans vraiment comprendre pourquoi (alors que c'est gros comme le nez au milieu de la figure). C'est tellement beau de s'envoler mais un moment du parcours il faut revenir les pieds sur terre pour un bilan de ce qui est parcourus et ce qu'il reste a parcourir, l'atterissage est dur parce qu'on a pas envie de cette pause mais au moment là on a une vu d'ensemble et on ce rend compte que l'on est qu'au début du parcours et que l'on est déjà a bout de souffle et là on a le choix.
Soit on continue pour arriver jusqu'au bout sans savoir réellement ce qui nous attend à l'arriver au risque de tomber et de ce retrouver le frond au sol (dans l'alcool) soit on prend les devant et on décide de ne pas prendre plus de risque parce qu'on ce rend compte que l'on a déjà commencé à voler trop bas pour tenir sur la longueur...

Je continue de m'éparpiller dans des situations à risques mais celles que je peux gérer moi et pas être tributaire des autres, je veux apprendre a vivre une vie normale. Alors oui peut-être et surement que je vais trop vite, peut-être que je me perds a vouloir trop en faire d'un coup mais il faut bien commencer à un moment et mettre les choses a plat sur ma relation avec l'alcool, puisque je sais qu'elle n'est plus la même et je veux savoir si aujourd'hui je suis capable de choses que je n'arrivais pas avant. Je garde ma ceinture de sécurité en prenant mon Espéral mais oui, comment avancer dans des choses importantes comme le travail, les relations, voir un avenir si on ne sait pas si on serait capable de faire les pas qu'il faut pour les atteindre?
Donc je me lance dans diverses choses, j'espère ne pas avoir trop d'echecs même si je sais que c'est inévitable et qu'il me faudra réaffronter ses situations mais au moins j'aurai comprit pourquoi je n'y arrive pas encore pour avancer mieux la fois d'après.

Tout ça n'est pas facile, entre la raison et les sentiments, mais j'ai besoin de taper du point et d'être au clair avec moi-même!

Sanka tu as suivi des cours de psycho à la fac sans nous en parler ??? Tu as une analyse et une lucidité rare et très juste en plus!! Je n'ai rien à ajouter, je suis tout à fait d'accord avec ton approche et je pense que tu connais bien les limites à ne pas dépasser pour qu'il n'y ait aucun risque. Tu sais aussi apprivoiser ton impatience et attendre, calmement que tout soit clair!!
Chapeau ma belle!!!!

mais où est donc passé sanka??? c'est un post d'une femme tellement mure,mature et qui s'aime tellement qu'elle fait tout pour avancer tout en se protégeant pour ne plus sombrer,est ce bien toi??

c'est vraiment impressionnant de voir à quel point tu as changé,dans ta syntaxe,dans le choix des mots,dans l'intonation,dans l'orthographe et surtout,dans le contenu qui est comme le souligne shale,digne d'une analyse professionnelle!!
tu es vraiment bluffante ma belle et je pense que tu es largement apte à te suffire à toi même aujourd"hui,tu as les réponses à toutes tes questions et tu sais parfaitement comment avancer sans te mettre en danger.

je dirais même plus:chapeau ma belle

Je suis sans mot. Je ne sais pas quoi te dire Sanka, tu es épatante.

Sophie, 

Tu as capacité incroyable d'auto-analyse, c'est époustouflant!

Wouaw!