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Comment on devient malade alcoolique
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Comment on devient malade alcoolique
J'en ai déjà parlé, mais il y a un élément important que je n'avais pas mentionné. Je vais donc reprendre l'édito où j'avais décrit comment on devient un malade alcoolique.
Pour cela, il y a trois étapes:
-une construction psychologique fragilisée par une petite enfance difficile, perturbée par divers problèmes . On se construit sur un sol mouvant et ce qui en sort n'est pas très solide.
-une rencontre agréable avec l'alcool, souvent dans l'enfance ou la petite adolescence. On a eu l'occasion de boire de l'alcool, en cachette ou au cours d'une fête et on a constaté que ce produit, lié à la fête nous faisait du bien et nous montrait la vie sous un jour bien plus agréable.
-Ensuite, il faut un élément déclencheur, souvent à l'âge adulte ou à la fin de l'adolescence. Ce peut être un deuil, une perte d'emploi, un accident, un traumatisme quelconque. Là notre esprit se souvient des bienfaits de l'alcool quand nous y avions goûté et nous nous précipitons sur une bouteille pour moins souffrir moralement.
Ces trois conditions sont toujours nécessaires, mais ce que je n'avais pas précisé et qui est pourtant important, c'est le gène de la dépendance. Ce gène, tout le monde ne l'a pas, mais personne ne sait réellement qui l'a tant que l'alcool n'a pas fait son travail sur notre cerveau.
Il y a des populations qui l'ont plus que d'autres, les populations asiatiques de d'Afrique du Nord, le possède presque tous. Ce qui explique peut-être que le bouddhisme et le Coran refusent l'alcool. La population européenne, il n'y a pas de statistiques pour savoir combien nous sommes à posséder ce gène.
Ceux qui ne l'ont pas, mais que l'on dit alcoolique, ne sont que des buveurs excessifs, qui peuvent s'arrêter quand ils veulent sans ressentir de symptômes de sevrage. Les autres malades alcooliques qui ne peuvent pas arrêter sans avoir ces symptômes justement, eux, a priori, on le gène de la dépendance. Mais ce gène se révélant à force de boire de l'alcool, même si au début tout se passe bien et qu'on ne pense pas l'avoir, un ou deux ans après, on s'aperçoit que si, il est bien là et que nous avons perdu notre liberté de ne plus boire d'alcool….
Pour cela, il y a trois étapes:
-une construction psychologique fragilisée par une petite enfance difficile, perturbée par divers problèmes . On se construit sur un sol mouvant et ce qui en sort n'est pas très solide.
-une rencontre agréable avec l'alcool, souvent dans l'enfance ou la petite adolescence. On a eu l'occasion de boire de l'alcool, en cachette ou au cours d'une fête et on a constaté que ce produit, lié à la fête nous faisait du bien et nous montrait la vie sous un jour bien plus agréable.
-Ensuite, il faut un élément déclencheur, souvent à l'âge adulte ou à la fin de l'adolescence. Ce peut être un deuil, une perte d'emploi, un accident, un traumatisme quelconque. Là notre esprit se souvient des bienfaits de l'alcool quand nous y avions goûté et nous nous précipitons sur une bouteille pour moins souffrir moralement.
Ces trois conditions sont toujours nécessaires, mais ce que je n'avais pas précisé et qui est pourtant important, c'est le gène de la dépendance. Ce gène, tout le monde ne l'a pas, mais personne ne sait réellement qui l'a tant que l'alcool n'a pas fait son travail sur notre cerveau.
Il y a des populations qui l'ont plus que d'autres, les populations asiatiques de d'Afrique du Nord, le possède presque tous. Ce qui explique peut-être que le bouddhisme et le Coran refusent l'alcool. La population européenne, il n'y a pas de statistiques pour savoir combien nous sommes à posséder ce gène.
Ceux qui ne l'ont pas, mais que l'on dit alcoolique, ne sont que des buveurs excessifs, qui peuvent s'arrêter quand ils veulent sans ressentir de symptômes de sevrage. Les autres malades alcooliques qui ne peuvent pas arrêter sans avoir ces symptômes justement, eux, a priori, on le gène de la dépendance. Mais ce gène se révélant à force de boire de l'alcool, même si au début tout se passe bien et qu'on ne pense pas l'avoir, un ou deux ans après, on s'aperçoit que si, il est bien là et que nous avons perdu notre liberté de ne plus boire d'alcool….
SHALE- Admin
- 01/01/2009
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