MERCI A VOUS TOUS

Tex,

En fait, tu n'étais pas au bon endroit au bon moment, les centres de cure sont dans l'ensemble assez généralistes et permettent à des MA de se forger une protection par rapport à la MA Alcoolique s'ils sont prêts pour ça

Mais s'il existe simultanément plusieurs autres dépendances, entre autres médicamenteuses, c'est un psychiatre plus généraliste qu'un alcoologue qui peut t'aider à t'orienter

Aller dans un centre de cure d'alcoologie pour faire un sevrage médicamental ce n'est pas le bon endroit.

Les secteurs en psychiatrie, sont encore très cloisonnés et pas toujours transverseaux

Tu a raison de clôturer ce débat qui n'avance à rien en ce qui te concerne

Je désire clore ce débat qui est stérile pour moi tout en étant ma vérité.
S'il te pose problème je te laisse le soin de le censurer.

Très stérile même.

Ce post ne me dérange pas, il n'y a aucune raison de le censurer

Les secteurs en psychiatrie, sont encore très cloisonnés et pas toujours transverseaux

C'est malheureusement très vrai Jeannot, encore aujourd'hui malgré les évolutions diverses que l'on peut constater dans la médecine.

De nombreux centres de cure proposent le sevrage de tout en même temps, sauf la cigarette. Ah si je l'ai vu dans un centre, mais en plus et pas obligatoire.

Si la dépendance aux médicaments est trop importante, il faut choisir un centre qui ne pratique pas le "tout en un". Létra dans le Rhône par exemple, sèvre de l'alcool, et continue après visite médicale, certains médicaments tout au long de la cure, avec suivi 1 fois par semaine. Un spécialiste du tabac est également présent pour ceux qui veulent tenter l'arrêt

Bonsoir,
j'ai un peu relu les derniers posts . Comme Cristal et Malau j'ai compris que l'échec de la cure pour toi tex était partiellement imputable au centre . Je n'ai jamais fait de cure et suis donc mal placée pour en parler. En revanche j'ai ressenti (ça vaut ce que ça vaut ) un rejet de responsabilité . Faut pas venir m'embrouiller les neurones (bien faiblards en ce moment ) avec des dénégations freudiennes .
Je me suis seulement posé une question , bien avant tous ces échanges : l'impact du reportage sur la cure . Pas seulement sur le centre et la prise en charge , l'impact sur toi tex . Est-on , face à une caméra , dans un rôle ? Quel est alors le degré de sincérité ? d'implication ?
C'était plutôt ça mes questions à l'époque .

Béa, je pourrais dire que j'ai été une fois acteur dans ma vie...
En fait, la caméra est vite oubliée et dans l'état dans lequel j'étais n'était pas joué je pense.
Je ne me suis pas vu puisque les autorisations ont été refusées et donc le tournage interrompu.
Intéressant ce que tu as écrit Jeannot.
Je veux conclure sur le fait que j'ai pris la décision de partir et suis donc responsable de cet acte.

Hello,

j'aurais jamais gere une camera dans ces circonstances... Quelle pression supplementaire pour un truc ou tu dois te trouver toi-meme... L'intention etait neanmoins tres, tres courageuse...

Il a des choses interessante qui ressortent, je trouve que c'est loin d'etre sterile mais tu as entierement le droit de couper... Je n'insisterai pas...
J'espere que tu sais que tout le monde ici aimerait te voir avec un grand sourrire... Tu sais que les amis, virtuels ou pas son tjrs la pour dire des choses qui ne sont pas celles que l'on aimerait entendre...