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Alcoolique pour la vie
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rur@lcoolique
ppp
Adeon
Mel85
Ghostboy
tulipe noire
SHALE
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Re: Alcoolique pour la vie
Oui Adéon, tu as raison. C'est aussi en ça que les MAB ont leur importance. On rencontre du monde, on peut même se faire des amis dans un milieu sans alcool.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Alcoolique pour la vie
Alors là tu prêches une convertie.Adeon a écrit:Peut-être que la solution pour ceux qui ont besoin de sociabilité et de sorties etc, c'est de s'entourer de personnes dont l'alcool et autres produits ne font pas parti de leur vie ?
Avant de me faire ma propre opinion, je suis allée au tout début a plusieurs réunions. Et même maintenant je continue, sauf que là j’ai mes préférences.
J’ai commencé avec les AA, des gens sympas qui m’ont bien accueillis, sauf que leur prosélytismes m’a agacé.
J’ai essayé La Croix bleue, des protestants, un peu trop rigides et austères bienveillants mais je ne trouvais pas mes réponses.
Puis vie libre. Ouverts à l’écoute j’ai beaucoup apprécié sauf qu’ils sont en perte de vitesse, leur président a une vision plus financière…et l’antenne a fermé.
bref je me suis tournée vers Entraid addict l’ancien croix d’or et la j’ai adhéré au discours.
Donc je suis membre en Normandie, discours qui est le même dans toutes les antennes.
Alors je me suis fait de bonnes relations, je trouve les MA qui ont posé le verre des gens qui connaissent les plaisirs d’une renaissance, des personnes intéressantes et épanouies.
Si tu peux profiter d’autres discussions que de celles des AA entends les différences.
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Alcoolique pour la vie
Le problème c'est que les jeunes d'aujourd'hui ne boivent pas comme nous à l'époque , ils boivent beaucoup plus que nous et beaucoup plus jeunes. Nous nous soignons vers la quarantaine, nous avons pu profiter de l'insouciance de la jeunesse, des soirées alcoolisées avec les copains, je ne dis pas que c'est bien mais ça fait partie (malheureusement ) de l'adolescence, braver les interdits, dépasser ses limites , c'est comme un rituel de passage à l'âge adulte mais là où on a commencé à 16 ans, les jeunes d'aujourd'hui commence vraiment à boire vers 13 ou 14 ans avec des quantités énorme et de l'alcool fort. Ils entre dans la maladie bien plus tot ,à l'age où l'alcool est festif et convivial entre potes Alors oui, c'est dur de devoir arrêter de boire à la vingtaine et je pense qu'il faut trouver une parade différente pour l'aide à cette génération. Comme tu le dis Adéon, s'entourer de personnes qui ne boivent pas ou peu MAIS, c'est l'âge où on est en études et où les soirées étudiantes sont légion ,difficile de s'intégrer quand on ne suit pas le groupe Interdit d'alcool à vie n'est pas soutenable à entendre et à accepter , il faut trouver une parade, une solution pour que ces jeunes puissent vivre leur vie sociale sans se détruire la santé et sombrer encore plus loin dans la maladie
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: Alcoolique pour la vie
Il y a toute la communauté sportive qui se dévellope pas mal en ce moment, et qui est axé sur un mode de vie sain.
Se faire des amis à la salle de sport ? Plutôt qu' une fête alcoolisée, organiser des randos, s' inscrire au tir à l' arc, dans une association slackline. Etc.
Ça me vient à l' idée parceque c'est ce que je tente, même si je fait ça seul, ça peut se faire en groupe.
Se faire des amis à la salle de sport ? Plutôt qu' une fête alcoolisée, organiser des randos, s' inscrire au tir à l' arc, dans une association slackline. Etc.
Ça me vient à l' idée parceque c'est ce que je tente, même si je fait ça seul, ça peut se faire en groupe.
Adeon- Super Tchatcheur
- 09/05/2022
Re: Alcoolique pour la vie
Tu as de bonnes idées Adéon. Même seul au début, très souvent en pratiquant l'activité, on retrouve d'autres personnes qui font la même chose et qui ont besoin de compagnie...
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Alcoolique pour la vie
oui, c'est vrai que le sport peut bien aider mais il y a malheureusement aussi pas mal d'alcool dans les sports .Mon fils fait du rugby avec des 17-19 ans, tous très sportifs mais les fêtes entre eux, c'est du grand n'importe quoi Je vous déjà dans leur équipe qui est bien parti pour aller vers la maladie.
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: Alcoolique pour la vie
Se découvrir des activités et retrouver des liens et échanges dans des activités qui vous correspondent.
J'ai rejoins le club de longe côte du village. Par exemple.
Le sport c'est un sérieux support sans les 3ème mi temps.
J'ai rejoins le club de longe côte du village. Par exemple.
Le sport c'est un sérieux support sans les 3ème mi temps.
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Alcoolique pour la vie
Parceque le sport c'est la vie
Sinon oui Cristal il faut faire attention au type de sport. La musculation pure a aussi son lot de dérive même si c' est pas dans l'alcool par exemple. Ce qui est sport d'endurance est plus à l'abri (hors collectifs donc).
Pas facile d'échapper à tout !
Sinon oui Cristal il faut faire attention au type de sport. La musculation pure a aussi son lot de dérive même si c' est pas dans l'alcool par exemple. Ce qui est sport d'endurance est plus à l'abri (hors collectifs donc).
Pas facile d'échapper à tout !
Adeon- Super Tchatcheur
- 09/05/2022
Re: Alcoolique pour la vie
Oh ils m ont proposés la marche et la danse, la poterie les échecs....tout ce que la grosse association du village a ouvert comme activité. Et comme je désire m intégrer au village j'ai accepté.SHALE a écrit:Pourquoi vous parlez toujours du sport !!!!
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Alcoolique pour la vie
juste parce que tu n'aimes pas ça et que ça te met dans tous tes étatsSHALE a écrit: a écrit:Pourquoi vous parlez toujours du sport !!!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: Alcoolique pour la vie
Pour moi c'est la photo, inscrite récemment. Il y a aussi beaucoup de sport de proposé dans mon village, mais comme il y a beaucoup de demandeurs, je laisse ma place pour ne pas en priver quelqu'un.
Il y a aussi une équipe de foot, ici, et bien c'est la plus grande concentration d'alcooliques du village. Ils boivent avant le match, pour se donner du courage, pendant pour tenir le coup et après pour se consoler de la défaite, injuste bien sûr, qu'ils viennent de subir...
Il y a aussi une équipe de foot, ici, et bien c'est la plus grande concentration d'alcooliques du village. Ils boivent avant le match, pour se donner du courage, pendant pour tenir le coup et après pour se consoler de la défaite, injuste bien sûr, qu'ils viennent de subir...
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Alcoolique pour la vie
Je pense aussi qu'il faut à un moment donné apprendre à faire des sacrifices, car on a rien sans rien... Si on veut maîtriser une technique obtenir un skill il faut y sacrifier du temps, et si on veut rester clean ya pas le choix il va falloir sacrifier des choses également. Mais boire de l'alcool aussi, impose son lot de sacrifices.
Il faut savoir ce qu'on préfère.
Et je sais que sur ce sujet je ne suis pas prêt à tout sacrifier pour la cleanitude ce qui nuis à mes chances, et je dois encore travailler sur moi sur beaucoup de points.
Il faut savoir ce qu'on préfère.
Et je sais que sur ce sujet je ne suis pas prêt à tout sacrifier pour la cleanitude ce qui nuis à mes chances, et je dois encore travailler sur moi sur beaucoup de points.
Adeon- Super Tchatcheur
- 09/05/2022
Re: Alcoolique pour la vie
C'est là que l'expression "toucher son fond", prend tout son sens. On est arrivé tellement loin, qu'on est prêt à tout sacrifier pour ne pouvoir remonter et vivre à nouveau normalement, sans alcool. On est prêt à tout sacrifier pour ne plus avoir à prendre de l'alcool. Mais c'est vrai qu'il faut être arrivé très loin pour comprendre et accepter ça. Pour ma part, c'est ce que j'ai vécu.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Alcoolique pour la vie
Je ne vais pas dire ce que je crois comprendre du post de Tulipe. :o
Adeon- Super Tchatcheur
- 09/05/2022
Re: Alcoolique pour la vie
Transmission de penséesAdeon a écrit:Je ne vais pas dire ce que je crois comprendre du post de Tulipe. :o
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: Alcoolique pour la vie
Salut,Adeon a écrit: Et je sais que sur ce sujet je ne suis pas prêt à tout sacrifier pour la cleanitude ce qui nuis à mes chances, et je dois encore travailler sur moi sur beaucoup de points.
Je ne sais pas remettre la discussion dans le bon ordre, ici ppp avant:
ppp a écrit:Ce qu'il faut retenir /.../ c'est d'essayer de trouver des stratégies qui conviennent aux jeunes, au lieu de leur dire de ne pas sortir pour se protéger. À une période de la vie où la socialisation dans le milieux festif est importante, c'est peine perdue de proposer de rester chez soi. Si je me prends en exemple et que je recule dans ma vingtaine, ma trentaine, je n'aurais pas suivi vos conseils.C'est une activité qu'ils font, en hébergement avec bons repas et tout, une sorte de retraite. C'est comme un voyage dans un tout inclu, mais sans alcool et avec des pairs. C'est bien beau les forums gratuits et les salles de pairs aidants (ici on a que AA dans des sous sol d'églises), mais les MA peuvent se gâter autrement aussi.
Je ne fais pas partie des jeunes, et je trouve aussi que oui, pas évident de devoir se dire qu'on est MA et qu'il va maintenant falloir faire autrement, quand on n'a pas derrière une vie où on avait le choix tout le temps. À 20 ou 30 ans, c'est trop chiant, et ça peut même faire peur.
Avant 40, j'ai toujours bu plus que les autres, je "tenais bien" et jamais question de se poser
le problème, puisque le problème n'existait pas en fait.
C'est cruel que le problème se pose jeune, la nature est mal faite
En y repensant, "à l'époque" je me souviens que je rectifiais le tir quand vraiment
ça avait été trop. Soit des gueules de bois abominables, soit des emmerdes, des fâcheries,
des dégâts matériels.
Et le plus souvent les pauses duraient. Mais c'était faisable parce qu'il n'y
avait pas d'addiction, il n'y avait pas LA maladie.
Je le sais maintenant vu que j'ai du passer par une cure 20 ans plus tard. La différence
est évidente quand on est dedans et qu'on commence à se dire qu'on a un problème
Pour ma part, la seule chose que je pourrais dire à des beaucoup plus jeunes,
c'est peut-être de ne pas lâcher la comparaison bénéfice emmerdement, y compris
quand vous êtes dans le zéro alcool et que tout va mieux.
Et puis aussi surtout de ne pas croire que l'arrêt d'alcool ou d'autres substances va
vous mener direct à une vie qui ne vous inspire pas des masses.
On ne "sacrifie pas tout à la cleanitude", loin de là!
On peut très bien explorer d'autres choses marginales ou peu racontables, et
même aller loin là dedans.
L'esprit au clair, avec un peu (ou beaucoup, ça dépend des gens) de boulot sur
soi, on identifie bien ce qu'on est et ce qu'on aime, même si ça ne coche
aucune des case de la vie dite "normale".
Quand tu es débarrassé de l'addiction aux produits, tu vas où tu veux.
Bien sûr, pour les sorties, les univers particulier, et surtout en nocturne,
il y aura toujours des gens qui en prennent, mais justement tu sauras te barrer
quand tu sens que tu perds ton temps ou que ce n'est pas bon pour toi.
Parce que, à n'importe quel âge, on sait tous que tout ça, une vie,
les amis les amours les passions ça passe vite donc autant faire seulement
ce qui nous fait triper et avancer.
Plus de culpabilité, ni vis à vis des autres ni vis à vis de soi (les hontes du lendemain,
les regrets les remords, terminé).
On est tous très très différents, en tout cas beaucoup ont ce point commun
(si énervant pour certain-e-s hein ): le sport! Du moins une activité physique
en soupape!
Après, de toute façon, on est tous des champions d'un genre de marathon qui nécessite une
discipline nickel, principalement mentale..
bonnes routes!
lolo6- Super Tchatcheur
- 24/06/2012
Re: Alcoolique pour la vie
Bonjour.
L'un des soucis, pour les plus jeunes, c'est qu'ils évoluent dans un univers où le problème d'alcool est totalement incompris.
C'est bête à dire, mais le copain de 50 balais a déjà fait des analyses de sang. Donc même s'il ne pige pas qu'on soit malade, l'aspect "santé car on n'a plus 20 ans" a déjà déverrouillé quelques certitudes. À 20 ou 30, la certitude c'est qu'on est invincible, qu'on peut tout endurer, même une grosse gueule de bois. Donc c'est surtout l'incompréhension qui accueille la nouvelle qu'un.e membre du groupe ne puisse pas boire. Sans parler de ceux qui sentent déjà qu'il y a un truc qui cloche et se réfugient dans le déni.
Cerise sur le gâteau, la prévention peine à se faire entendre et l'industrie s'emploie toujours à "normaliser" la consommation, ce qui cultive l'idée qu'un petit verre de temps en temps ça ne peut pas faire de mal. Donc celle-celui qui ne boit pas du tout est regardé.e comme une bête curieuse, limite dangereuse pour l'équilibre du groupe.
Quant à l'idée de malade à vie, elle porte la "promesse" de devoir toujours lutter comme on le fait au début de l'arrêt, d'être condamné à vie à ces très fréquentes envies irrépressibles... Ce qui n'est pas vrai, on le voit assez "vite" (un à deux ans).
Et ce qui est sensé effacer cette peur c'est la promesse de "l'abstinence heureuse". Sauf qu'au début l'abstinence est surtout une privation, dure à vivre, et que là aussi il est difficile de se projeter depuis ce point de vue là, qui ne se modifiera qu'au cours des premières années.
Les mots ont un sens et peuvent être expliqués, certes, mais ils portent aussi des croyances, c'est inévitable. À mon avis, on ne se méfie pas assez de certaines formulations pleines d'enthousiasme mais qui peuvent aussi s'averer totalement désespérantes si elles résonnent avec les croyances que porte le malade (dont l'impuissance, un "bon" moteur de l'alcoolisme).
L'un des soucis, pour les plus jeunes, c'est qu'ils évoluent dans un univers où le problème d'alcool est totalement incompris.
C'est bête à dire, mais le copain de 50 balais a déjà fait des analyses de sang. Donc même s'il ne pige pas qu'on soit malade, l'aspect "santé car on n'a plus 20 ans" a déjà déverrouillé quelques certitudes. À 20 ou 30, la certitude c'est qu'on est invincible, qu'on peut tout endurer, même une grosse gueule de bois. Donc c'est surtout l'incompréhension qui accueille la nouvelle qu'un.e membre du groupe ne puisse pas boire. Sans parler de ceux qui sentent déjà qu'il y a un truc qui cloche et se réfugient dans le déni.
Cerise sur le gâteau, la prévention peine à se faire entendre et l'industrie s'emploie toujours à "normaliser" la consommation, ce qui cultive l'idée qu'un petit verre de temps en temps ça ne peut pas faire de mal. Donc celle-celui qui ne boit pas du tout est regardé.e comme une bête curieuse, limite dangereuse pour l'équilibre du groupe.
Quant à l'idée de malade à vie, elle porte la "promesse" de devoir toujours lutter comme on le fait au début de l'arrêt, d'être condamné à vie à ces très fréquentes envies irrépressibles... Ce qui n'est pas vrai, on le voit assez "vite" (un à deux ans).
Et ce qui est sensé effacer cette peur c'est la promesse de "l'abstinence heureuse". Sauf qu'au début l'abstinence est surtout une privation, dure à vivre, et que là aussi il est difficile de se projeter depuis ce point de vue là, qui ne se modifiera qu'au cours des premières années.
Les mots ont un sens et peuvent être expliqués, certes, mais ils portent aussi des croyances, c'est inévitable. À mon avis, on ne se méfie pas assez de certaines formulations pleines d'enthousiasme mais qui peuvent aussi s'averer totalement désespérantes si elles résonnent avec les croyances que porte le malade (dont l'impuissance, un "bon" moteur de l'alcoolisme).
rur@lcoolique- Super Tchatcheur
- 17/03/2021
Re: Alcoolique pour la vie
Complètement d'accord avec tout ça, hélas..À 20 ou 30, la certitude c'est qu'on est invincible, qu'on peut tout endurer, même une grosse gueule de bois. Donc c'est surtout l'incompréhension qui accueille la nouvelle qu'un.e membre du groupe ne puisse pas boire. Sans parler de ceux qui sentent déjà qu'il y a un truc qui cloche et se réfugient dans le déni.
Cerise sur le gâteau, la prévention peine à se faire entendre et l'industrie s'emploie toujours à "normaliser" la consommation, ce qui cultive l'idée qu'un petit verre de temps en temps ça ne peut pas faire de mal. Donc celle-celui qui ne boit pas du tout est regardé.e comme une bête curieuse, limite dangereuse pour l'équilibre du groupe.
Quant à l'idée de malade à vie, elle porte la "promesse" de devoir toujours lutter comme on le fait au début de l'arrêt, d'être condamné à vie à ces très fréquentes envies irrépressibles... Ce qui n'est pas vrai, on le voit assez "vite" (un à deux ans).
La moyenne d'âge dans les cures est plus proche du 45 que du 30.
Bah, ça fait peut-être partie du truc, de s'arrêter quand on a vraiment gâché tellement de
choses ou qu'on est tellement malade qu'on ne peut pas faire autrement.
Après, pour des jeunes, le message d'espoir c'est peut-être aussi la perspective de
passer à autre chose, vraiment autre chose. Sans transfert d'addiction sur encore
le monde de l'alcool en boucle mais version abstinente, ce qui ne sort pas de l'alcool au final.
Avoir une vraie vie quoi
Même si majoritairement l'alcool est partout, il y a un paquet de gens qui vivent
des trucs top à partager (physiquement et intellectuellement), et ça
se trouve, même si moins fréquent ou plus facile quand on n'est pas isolé.
Mais bon, c'est vrai aussi que jeune et en bonne santé, c'est largement plus
difficile que pour les "mûrs"..
lolo6- Super Tchatcheur
- 24/06/2012
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