lutte contre l’alcool
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Les rapports à l'alcool....
2 participants
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Les rapports à l'alcool....
Rapports à l'alcool
On peut définir 4 catégories de rapports établis avec l’alcool :
L'appétence:
il s’agit du goût de l’homme pour un produit: l’alcool mais cette attirance concerne surtout ses ‘pseudo-vertus’
(effets psychoactifs : rendre euphorique, désinhiber, donner un coup de fouet, donner de l'énergie …). L’appétence
concerne donc les avantages supposés plutôt que les plaisirs sensoriels (goût, odorat, …). On se sert de l'alcool comme médicament pour supporter tout ce qui peut nous angoisser, toutes nos déceptions. On s'en sert aussi pour se sentir bien dans sa peau, pour être plus sûr de soi.
La tolérance:
la tolérance est le rapport entre quantités absorbées et effets produits.
Naturellement, à force d’une utilisation régulière, le corps s’habitue aux effets du produit. Il y a aussi des personnes qui ont dans leur gènes une tolérance plus forte à l'alcool, celui ci n'agit pas très vite sur eux, il leur faut des doses de plus en plus élevées. Cela a pour conséquences fréquentes l’augmentation des quantités et l’émergence du phénomène de dépendance.
L'accoutumance:
il s’agit d’un phénomène qui se met en place dans un deuxième temps, d’où sa perversité : l’alcool devient nécessaire à l’équilibre, on ne peut plus s'en passer, la tolérance augmente ce qui provoque une augmentation des doses. Il y a peu de signes d’ivresses : le consommateur se pose donc peu de questions. Les personnes sont souvent assez fières de tenir aussi bien l'alcool. Même si on voit peu les effets de leur alcoolisation, la destruction physique et psychologique est déjà en cours.
La dépendance:
Largement définie dans cette partie du forum, elle est constituée par une perte de liberté, l'impossibilité de s’abstenir (on ressent fortement le manque, le syndrome de sevrage à l'arrêt du produit est important), une dépendance globale (physique et psychique) se met en place
Une personne qui aura peu de tolérance à l'alcool a moins de risque de devenir dépendante car elle sera très vite malade après avoir bu quelques verres, alors qu'une personne ayant une grande tolérance pourra boire une bouteille entière d'alcool sans présenter de symptômes d'alcoolisation, ou très peu.
On peut définir 4 catégories de rapports établis avec l’alcool :
L'appétence:
il s’agit du goût de l’homme pour un produit: l’alcool mais cette attirance concerne surtout ses ‘pseudo-vertus’
(effets psychoactifs : rendre euphorique, désinhiber, donner un coup de fouet, donner de l'énergie …). L’appétence
concerne donc les avantages supposés plutôt que les plaisirs sensoriels (goût, odorat, …). On se sert de l'alcool comme médicament pour supporter tout ce qui peut nous angoisser, toutes nos déceptions. On s'en sert aussi pour se sentir bien dans sa peau, pour être plus sûr de soi.
La tolérance:
la tolérance est le rapport entre quantités absorbées et effets produits.
Naturellement, à force d’une utilisation régulière, le corps s’habitue aux effets du produit. Il y a aussi des personnes qui ont dans leur gènes une tolérance plus forte à l'alcool, celui ci n'agit pas très vite sur eux, il leur faut des doses de plus en plus élevées. Cela a pour conséquences fréquentes l’augmentation des quantités et l’émergence du phénomène de dépendance.
L'accoutumance:
il s’agit d’un phénomène qui se met en place dans un deuxième temps, d’où sa perversité : l’alcool devient nécessaire à l’équilibre, on ne peut plus s'en passer, la tolérance augmente ce qui provoque une augmentation des doses. Il y a peu de signes d’ivresses : le consommateur se pose donc peu de questions. Les personnes sont souvent assez fières de tenir aussi bien l'alcool. Même si on voit peu les effets de leur alcoolisation, la destruction physique et psychologique est déjà en cours.
La dépendance:
Largement définie dans cette partie du forum, elle est constituée par une perte de liberté, l'impossibilité de s’abstenir (on ressent fortement le manque, le syndrome de sevrage à l'arrêt du produit est important), une dépendance globale (physique et psychique) se met en place
Une personne qui aura peu de tolérance à l'alcool a moins de risque de devenir dépendante car elle sera très vite malade après avoir bu quelques verres, alors qu'une personne ayant une grande tolérance pourra boire une bouteille entière d'alcool sans présenter de symptômes d'alcoolisation, ou très peu.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Les rapports à l'alcool....
Alors moi ironie du sort... je suis intolérante
Un seul verre et je suis malade des heures
Un seul verre et je suis malade des heures
Mina34500- Super Tchatcheur
- 06/01/2018
Re: Les rapports à l'alcool....
Mais bon j ai d’autres addictions... tout aussi sérieuses
Mina34500- Super Tchatcheur
- 06/01/2018
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