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La mort dans la vie d'un malade alcoolique...

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lolo6
nad59
SHALE
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La mort dans la vie d'un malade alcoolique... Empty La mort dans la vie d'un malade alcoolique...

Message  SHALE 24/2/2013, 20:56

On pense plus souvent à la mort qu'on en parle quand on est malade alcoolique..
Tant que nous buvons nous l'oublions, mais quand nous sommes à jeun, ça revient nous hanter, et il nous faut boire à nouveau, faute de nous rassurer!
On peut se demander quelle est la place de la mort chez le malade alcoolique, comment la voit-il, est-il conscient que sa maladie est mortelle?[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

La mort est très présente chez le MA. Son désespoir devant son incapacité à s'arrêter de boire appelle souvent la mort. Boire jusqu'à l'oubli le plus total est aussi un état proche de la mort telle qu'on peut l'imaginer, ne dit-on pas "ivre mort".
Mais le pire c'est l'obsession de la mort quand on est à jeun. La mort nous apparaît comme la seule solution pour mettre fin à notre malheur insoutenable, on ne voit aucune autre issue. De plus elle nous apparaît souvent comme un châtiment mérité tant l'alcoolisme est souvent synonyme de honte.

Le désespoir infiltre tout nos projets, on sait qu'on ne peut plus faire de projection sur l'avenir car on se heurte toujours à ce qui est notre seule but dans la vie: trouver notre dose quotidienne.Néanmoins, et heureusement, il nous reste souvent malgré tout, un indéracinable espoir de s'en sortir un jour. Tant qu'on ne le perd pas, on peut encore s'en sortir car le déclic part de là...

Il y a plusieurs stade dans l'alcoolisme, là, je vous parle de la dépendance la plus grande, c'est l'état que j'ai connu.
Le jour où j'ai décidé d'appeler l'alcoologue, j'ai fait le choix de vivre, mais ce choix n'a pas été facile à faire, j'ai longtemps pesé le pour et le contre :continuer et mourir ou essayer de me faire prendre en charge avec l'angoisse chevillée au corps de ne plus avoir d'alcool à disposition...Je crois que si je n'avais pas eu un rendez vous très vite, j'aurais choisi la deuxième solution...
Pour vous quelle place lui donniez vous dans votre vie de malade alcoolique quand vous étiez encore dans l'alcool??


Dernière édition par SHALE le 26/2/2013, 19:10, édité 1 fois
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Féminin 01/01/2009

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La mort dans la vie d'un malade alcoolique... Empty Re: La mort dans la vie d'un malade alcoolique...

Message  nad59 26/2/2013, 17:43

Quand j'étais encore dans l'alcool , j'étais persuadée que j'allais mourir bientôt.
Un AVC peut être , ce qui pour moi aurait été une "belle mort".
Mais j'étais persuadée aussi que tous mes organes internes étaient déjà " rongés" par l'alcool.
Je la souhaitais cette mort car je n'avais plus aucun espoir concernant ma vie à venir.
Je n'en avais pas peur, bien au contraire.
Puis, j'ai eu ce " déclic".....pourquoi ????? instinct de vie , de survie??????
Je me le demande encore.
Toujours est il que je n'ai plus envie de mourir , en tout cas pas maintenant , il me reste tant de choses à faire.
Mais je n'ai toujours pas peur de mourir car la vie est ainsi faite, il faut bien partir un jour.

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Féminin 15/03/2012

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Message  lolo6 27/2/2013, 23:03

La mort dans la vie d'un alcoolique...
Aujourd'hui, je la vois comme la finition (pas la fin, hein! bien une finition) de cette non-vie si on n'arrête pas de boire.

Pour moi, la mort était tout simplement impossible.Une idée, un concept... Rolling Eyes
Je buvais, je faisais des prises de sang pour voir, et il n'y avait rien.
Donc j'ai fini par croire que çà ne m'atteignait pas.

L'alcoologue (celui qui ne m'a pas aidée) m'a dit un jour:
"Quand vous êtes venue me voir il y a un an, vous n'aviez rien, çà a duré un
petit moment, maintenant çà va moins bien. Vous attendez quoi? D'être vraiment
malade?"

J'ai arrêté un mois, tout est redevenu normal, donc je me suis dit que cette mort là n'était pas pour moi.
Et j'ai recommencé à bien boire, encore plus. 18 mois plus tard, rebelote, arrêt à nouveau, et reprise.
Puis des gamma GT à foison, que j'ai décidé d'oublier parce que c'était trop abstrait, çà ne me parlait pas
et je ne voulais pas entendre autre chose que le clac des bouteilles qu'on débouche.

Puis les deux - trois dernières années: vomir tous les matins, souvent en journée, problèmes d'intestins,
De pire en pire, mais plus d'examens médicaux.là je savais qu'il n'y avait plus rien devant,
mais c'était toujours aussi abstrait.
La seule chanson qui me faisait réfléchir à la radio était "nous ne faisons que passer"

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Je me disais que la lumière, çà serait un bon "flash" de Xylocaîne dans un bloc opératoire.

J'avais préparé mon fils à l'idée. à 9 ans, il était très fier de s'entraîner à escalader l'endroit d'où je
veux qu'on jette mes cendres dans la mer, je lui avais appris à reconnaître les Troènes, pour être
incinérée avec une branche de cet arbuste dont j'adore l'odeur.

Il me demandait "c'est cet été qu'on en coupe une branche pour te la réserver?"
J'avais aussi fait un devis pour le cercueil, prévu de laisser du fric à mes amis
pour une fête. Acheté une nouvelle bagnole aussi, noire évidemment puisque
çà aurait été pour mon meilleur ami le jour J.

J'ai fabriqué un faux fond à mon secrétaire pour y mettre toutes mes correspondances
et photos "compromettantes", j'ai donné plein de dessins, de fringues,augmenté mes versements
sur l'assurance vie, dégagé toutes les photos de famille, fait des procurations...

À ce stade la mort, c'était une idée toujours présente, mais plutôt une compagnie.
Vu que j'avais eu une NDE il y a des années, je me disais que la personne
que j'avais vue au bout du "tunnel blanc" ne me dirait pas "retourne, c'est plus tard,
tu as plein de choses à faire".
Bref, encore une idée, plus concrète pour les démarches mais c'est tout.

Et le dernier été (2011), au 5e toubib que j'ai vu car depuis avril j'étais de plus en plus malade,
tout a changé. Ils m'ont tous dit 6 mois.
J'ai voulu leur faire dire "6 mois avant la cirrhose", genre la "vraie maladie", mortelle
mais qui peut durer si on fait gaffe.
Mais non, c'était 6 mois maximum dans cet état là général.
"Vous ne comprenez pas bien madame, à partir de dans 6 mois, çà peut se terminer
n'importe quand, là vous aurez vraiment mal, mais pas longtemps, encore que... on ne
peut jamais savoir mais vous n'avez plus de réserves de rien."

Là je ne sais pas décrire l'effet que çà m'a fait. C'était à la fin de l'été, et ma première
pensée a été: plus jamais la mer?! Mon fils tout seul pour passer la barre des vagues?
Après, une tempête dans le crâne... je ne me souviens plus très bien.

À la rentrée j'ai rebossé jusqu'à la Toussaint, et j'ai tellement bu qu'après
je n'ai plus pu aller au travail J'ai bu à mort, mais en allant voir l'alcoologue actuelle,
qui m'a dit que c'était effectivement "maintenant ou jamais".
Je lui ai dit: OK pour maintenant, après je ne trouverai plus le courage.
Et jusqu'en février, j'ai bu "au vrai maximum", jusqu'a 2h avant mon entrée en cure le 22.

Maintenant j'ai peur de la mort. Je me dis que la vie ne repasse pas les plats.
J'ai épuisé mon quota de danger physique.
Et n'ai pas été loin non plus du solde de tout compte pour ce qui était de
la crédibilité.

L'été dernier, mon fils m'a demandé "comme d'hab" dans le sentier de la plage, là où il
y a les troènes: cette branche là, çà t'irait pour ton odeur de cendre?
Je lui ai dit: Oui, sauf que quand tu voudras la prendre, celle là, tu ne pourras plus, ce sera
devenu un arbre. Il faudra en choisir une autre, mais je serai trop vieille pour descendre ici la choisir.
Il ma regardée avec un sourire, comment dire, entendu.
çà a été un chouette moment.

Maintenant j'évite de trop penser à la mort, j'ai l'impression d'avoir signé pour un autre engagement.
"Engagez-vous, rengagez-vous qu'ils disaient!"
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Alors voilà, j'accepte d'être le mélange de ces deux là, en espérant que le
petit malin teigneux rappellera toujours à l'autre qu'il est tombé dedans quand il
était petit! Very Happy

Par contre, ce qui me fait vraiment peur, c'est d'oublier, de me sentir trop bien un jour et de
me croire "retapée", de me laisser leurrer à nouveau et de mourir pour de vrai.
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Féminin 24/06/2012

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Message  SHALE 28/2/2013, 09:14

J'ai eu le même parcours que toi, les toubibs ne me laissaient pas un an !!! Je ne savais plus si je continuais, dans l'état où j'étais, la mort me semblait la seule solution, je ne pouvais pas envisager de vivre sans alcool. Et puis est-ce un instinct de survie, la vue de mon fils en train de jouer, je ne sais pas, en tout cas, j'ai pris un téléphone pour appeler un alcoologue. S'il n'avait pas pu me prendre dans la journée, je crois que je me serais laissé mourir. Heureusement, il avait une place l'après midi et a du sentir l'urgence de ma situation.
Ensuite tout s'est enchaîné, la préparation de la cure, le départ au SHALE , là je percevais une faible lueur d'espoir...
Et puis ben voilà, je m'en suis sorti et je me dis heureusement que j'ai appelé cet alcoologue, quand je vois ma vie maintenant, ce serait dommage de l'avoir loupée... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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Féminin 01/01/2009

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Message  lolo6 28/2/2013, 21:34

SHALE a écrit:S'il n'avait pas pu me prendre dans la journée, je crois que je me serais laissé mourir. Heureusement, il avait une place l'après midi et a du sentir l'urgence de ma situation.
Oui, comme quoi çà ne tient qu'à un fil. Si çà n'avait pas répondu, si le rendez-vous avait été plus tard...
Je vois tout à fait. Une question d'instant.
Je comprends aussi mieux pourquoi tu réponds vite, et depuis si longtemps, sur ce
forum.

Tiens, en parlant de la mort dans la vie d'un alcoolique:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (autre version dans "chansons")
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Quand il dit "j'ai raté ma vie", c'est 30 ans aussi bien tassés qu'un raide.
Une "rédemption" oui, de courte durée au final. Un grand bonheur d'être sorti de tout çà,
mais tu vois le corps, çà ne pardonne pas toujours tout quand même.

Je sais que j'ai tendance à m'emballer, mais quand on a bien abusé, en fait on ne peut pas
savoir si la rédemption sera si longue que çà. J'ai l'impression qu'on a tous de quoi craindre, et
à raison, que çà nous rattrape.
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Féminin 24/06/2012

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Message  Toupie 24/6/2013, 22:59

Sujet très intéressant.  J'ai souhaité mourir souvent moi aussi pour que tout cela soit enfin terminé.  Parce que le fait de boire entraine, pour ceux qui ne le savent pas lire ne boivent pas, beaucoup plus de problèmes physiques, mentaux et moraux qu'on pense.

Je sais que je ne guérirai jamais.  Mais je me souviens particulièrement d'une fin de journée où j'avais bu dans un grand parc ressemblant à une forêt.  Ce parc n'est qu'à 3 rues de chez moi.  De un je titubais... j'avais tellement pleuré que je me sentais les yeux presque bouchés et... je ne savais pas si je devais prendre la gauche ou la droite pour me rendre chez moi.  Je cherchais le panneau indiquant le nom des rues... (à côté de chez moi)...

Je regarde mon passé et la course à la beuverie... et j'avoue que l'avenir me fait peur.  J'ai vraiment peur de retomber dans le panneau et de recommencer cette vie de merde.  Je suis suivie en psychiatrie pour un trouble de personnalité limite (borderline) et lorsque mon psychiatre m'a informée qu'avec l'alcool, les progrès plafonneraient à un moment donné, malgré mon suivi individuel et mes ateliers de groupe... ça m'a fait comme une claque sur la gueule.  Et c'est vrai que les épisodes d'automutilation sont nombreuses et sauvages lorsque je suis très alcoolisée.  La séparation qui était proche, toujours me faire engueuler par mon conjoint qui est tanné de voir une loque en rentrant du travail le soir ou ayant la trouille de me voir morte, car j'ai déjà pris une bouteille pleine d'anxiolytiques...  la tristesse dans les yeux de mon fils de 16 ans lorsqu'il me regardait et que j'avais pris de l'alcool...

Moi aussi depuis environ un an j'ai commencé à avoir des nausées, à vomir quelques fois, des migraines à me faire éclater la tête, la mort dans l'âme... se lever le matin tellement mal et de se dire:  ha non je ne pourrai jamais faire ma journée de travail.  Dormir et se réveiller aux demi-heures, prendre des comprimés pour le mal de tête la nuit...

Ha j'arrête là... je crois que c'est assez...
Toupie
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Féminin 11/06/2013

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Message  Pascal 24/6/2013, 23:45

Bonsoir
Sujet bien difficile et je ne vais pas approfondir faute d'y avoir réellement réfléchi;
Je crois être fataliste (pas sur d'avoir choisi le bon terme), mais pas malheureux : si je dois payer l'addition plus tôt que prévu, ey bien je paierai. Ce n'est pas une raison pour moi de continuer à picoler : j'ai envie de profiter des bons moments qui m'attendent plutôt que de continuer à me déchirer, même si cela devait être court ! et puis ce sera sans doute long Very Happy

pour faire court côté histoire :
- Mon père, je pense qu'il est est mort, jeune.
- mon frère oui c'est certain il en est mort, jeune ... et pourtant son toubib lui avait dit 2 ans avant sa mort : il faut arrêter sinon ... et il avait obéi.
alors évidemment ça aide pas à se faire une idée très joyeuse de l'affaire.
- moi je ne sais pas : pas d'examen depuis des années et je ne suis pas pressé : je vois juste un foie qui ne me réjouit pas plus que celà, plus tous les désagréments que l'on connait.  Je vais quand même faire le point d'ici 2 ou 3 mois histoire de voir.

Alors, je ne me pose pas trop de questions, mais oui je crois que j'y pense de temps en temps.

coeurs
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Message  so 25/6/2013, 10:15

la mort sujet délicat avec ou sans l'alcool...

Ma santé physique n'étant pas trop touchée de ce côté je n'avais pas tellement d'inquiétude. C'est plutôt ma santé mentale qui en a pris un coup. Je voulais en finir, les lendemains de beuverie, mes idées noirs étaient là.
Je veux mourir, je veux que cela s'arrête. Je me dégoutais et le cercle infernal de l'alcool continuait. Le matin je n'en pouvais plus, je pensais que j'allais mourir avec toutes ces sueurs froides, ces angoisses et palpitations.
Mais bon 2 ou 3 jours, je me remettais sur pied et cela recommençait....

Le plus terrible sont les crises en étant alcoolisé. Prendre la voiture avec ma fille ou j'aurais pu nous tuer toutes les deux. Amnésie totale, je ne savais pas comment la voiture a réussi à rentrer. Parfois la voiture était abimé, rétro pété, par choc cassé... Un jour je me suis pris un poteau et la voiture a du rester sur place. Heureusement que mes parents étaient là pour m'aider.

j'aurais pu mourir à plusieurs reprises dans ma vie, toujours à cause de l'alcool. Le plus terrible est la culpabilité envers ma fille.
Mon dieu, j'aurais pu la tuer!!! Il faudra vivre avec ça!!!

aujourd'hui, on est saine et sauve mais se rappeler tout ces malheurs cela fait mal au cœur.
so
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Féminin 08/06/2013

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Message  mastaba 30/10/2013, 22:42

coucou...ben moi j'ai toujours eu peur de la mort...meme avant de boire...j'ai meme reproché à ma mère de m'avoir donné la vie car par sa faute j'allais affronter la mort...je l'espère douce...j'ai assez souffert...le courage c'est simplement de se relever...j'y travaille...a plus tard...là je vais regarder le reportage sur la deux...sur les frères léotard...je pense qtrès instructif...a plus...kénavo..

mastaba
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Féminin 29/09/2013

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Message  SHALE 30/10/2013, 22:59

Pour le moment tu es dans la vie, pourquoi gâcher celle-ci en pensant à la mort?? Tu as le temps d'y arriver!
Profite, c'est le seul mot qui me vient à l'esprit en pensant à toi, profite de cette vie et tu verras que tu n'as pas à reprocher à ta mère de t'avoir conçue....
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Message  mastaba 31/10/2013, 21:45

shale j'y arrive pas..j'y crois plus moi au bonheur...je me hais...je me déteste...je n'ai plus d'illusions...j'avance come un zonbie dans cette vie que j'ai toujours hai...aujourd'hui suis dégoutée de tout...et de moi surtout...je te laisse car demain je bosse tres tot...a plus...shale...

mastaba
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Féminin 29/09/2013

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Message  SHALE 31/10/2013, 22:00

Prends le temps de venir parler sur ton fil, on essaiera de faire le point et de voir où ça coince.
Tu n'es pas seule, nous sommes tous avec toi!!!!onsaidiens onsaidiens onsaidiens
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Féminin 01/01/2009

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