lutte contre l’alcool
Le détachement
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Le détachement
On parle souvent de détachement en alcoologie, là, j'ai trouvé un texte qui l'aborde de façon plus généraliste, je vous le mets, je le trouve intéressant :
Apprendre le détachement est l’une des choses les plus difficiles qui soient.
Nous résistons parce que nous avons peur de perdre l’objet de notre attachement. Nous voulons que les choses se passent à notre façon, que les autres agissent comme nous le voudrions, que notre vie se déroule comme nous l’avions planifiée. Et chaque fois que nous résistons, nous souffrons un peu plus.
Apprivoisons le détachement. Apprendre à se détacher des résultats de nos efforts, du dénouement de nos attentes, de la réponse de l’autre à nos demandes est un grand exercice de confiance envers la vie, d’ouverture du cœur et d’acceptation.
Le détachement, ce n’est pas s’éloigner des autres pour ne pas vivre de l’attachement. Ce n’est pas non plus être indifférent à ce qui arrive comme résultats de nos attentes.
C’est plutôt rester ouvert à ce qui arrivera, peu importe les résultats. C’est accepter de composer avec ce que la vie met sur notre chemin, sachant que c’est pour notre bien. C’est savoir que nous traverserons le pont une fois rendus à la rivière. C’est faire les efforts nécessaires pour obtenir la réalisation d’un projet, mais aussi accepter que le résultat puisse être différent de nos attentes, et faire avec.
C’est aimer l’autre en offrant tout notre amour, tout en reconnaissant que l’autre puisse aimer de manière différente que ce que nous souhaitions.
C’est s’aimer soi, même les imperfections, en sachant qu’on ne peut rien améliorer si on ne l’accepte pas en premier lieu. C’est vivre en faisant de son mieux, en donnant son maximum tout en sachant que parfois, nous aurons du succès, et parfois non, parfois, nous serons reconnus, et parfois, non, parfois, nous serons aimés, et parfois non.
Le détachement, c’est notre détermination à être libre. C’est avoir la conviction profonde que tout est parfait, peu importe ce qui arrive. c’est surtout porteur d’une grande paix intérieure.
Gilles Richard
Apprendre le détachement est l’une des choses les plus difficiles qui soient.
Nous résistons parce que nous avons peur de perdre l’objet de notre attachement. Nous voulons que les choses se passent à notre façon, que les autres agissent comme nous le voudrions, que notre vie se déroule comme nous l’avions planifiée. Et chaque fois que nous résistons, nous souffrons un peu plus.
Apprivoisons le détachement. Apprendre à se détacher des résultats de nos efforts, du dénouement de nos attentes, de la réponse de l’autre à nos demandes est un grand exercice de confiance envers la vie, d’ouverture du cœur et d’acceptation.
Le détachement, ce n’est pas s’éloigner des autres pour ne pas vivre de l’attachement. Ce n’est pas non plus être indifférent à ce qui arrive comme résultats de nos attentes.
C’est plutôt rester ouvert à ce qui arrivera, peu importe les résultats. C’est accepter de composer avec ce que la vie met sur notre chemin, sachant que c’est pour notre bien. C’est savoir que nous traverserons le pont une fois rendus à la rivière. C’est faire les efforts nécessaires pour obtenir la réalisation d’un projet, mais aussi accepter que le résultat puisse être différent de nos attentes, et faire avec.
C’est aimer l’autre en offrant tout notre amour, tout en reconnaissant que l’autre puisse aimer de manière différente que ce que nous souhaitions.
C’est s’aimer soi, même les imperfections, en sachant qu’on ne peut rien améliorer si on ne l’accepte pas en premier lieu. C’est vivre en faisant de son mieux, en donnant son maximum tout en sachant que parfois, nous aurons du succès, et parfois non, parfois, nous serons reconnus, et parfois, non, parfois, nous serons aimés, et parfois non.
Le détachement, c’est notre détermination à être libre. C’est avoir la conviction profonde que tout est parfait, peu importe ce qui arrive. c’est surtout porteur d’une grande paix intérieure.
Gilles Richard
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Le détachement
Le détachement pour la plupart d’entre nous c’est assimilé à perte.
Je pense que j’ai toujours eu une assez grande facilité (à part pour ma cinglee) à accepter cette émotion.
Je prends comme ça vient, je me dis toujours » c’est écrit « c’est pas en pleurant sur mon sort que ça va s’arranger par magie. Par contre je peux faire en sorte que cela me soit indifférent ou le moins violent possible.
En gros, si quelqu’un me quitte, je me dis que c’était écrit, et que c’était certainement pour rencontrer quelqu’un d’autre et trouver mieux . De toutes façons je cherche toujours le positif en toutes occasions.
En gros, t’es là c’est bien, t’es pas là, c’est bien aussi, je continue ma route et si la personne désire me retrouver, elle saura que je peux me retourner, ou tout simplement continuer mon chemin.
Me vient un autre exemple. J’ai des soucis de santé en ce moment, je vais devoir passer un examen. Je ne veux pas déjà m’angoisser sur le résultat final, je suis déjà mentalement prête.avec mon « c’est écrit « , au lieu de perdre mon énergie à penser négatif, je vais me consacrer mentalement, physiquement à me battre et tout faire pour me soigner si c’est le cas… voir le positif, j’appelle ça du détachement.
Est-ce que c’est un signe de grande indépendance, sans doute.Mais de détachement assurément , à moins que je n’ai pas assez relu ce texte
Voilà, c’est écrit, à moi de m’adapter à faire de mon mieux, pour mon bien être personnel mental, physique, être actif, acteur.
Je pense que j’ai toujours eu une assez grande facilité (à part pour ma cinglee) à accepter cette émotion.
Je prends comme ça vient, je me dis toujours » c’est écrit « c’est pas en pleurant sur mon sort que ça va s’arranger par magie. Par contre je peux faire en sorte que cela me soit indifférent ou le moins violent possible.
En gros, si quelqu’un me quitte, je me dis que c’était écrit, et que c’était certainement pour rencontrer quelqu’un d’autre et trouver mieux . De toutes façons je cherche toujours le positif en toutes occasions.
En gros, t’es là c’est bien, t’es pas là, c’est bien aussi, je continue ma route et si la personne désire me retrouver, elle saura que je peux me retourner, ou tout simplement continuer mon chemin.
Me vient un autre exemple. J’ai des soucis de santé en ce moment, je vais devoir passer un examen. Je ne veux pas déjà m’angoisser sur le résultat final, je suis déjà mentalement prête.avec mon « c’est écrit « , au lieu de perdre mon énergie à penser négatif, je vais me consacrer mentalement, physiquement à me battre et tout faire pour me soigner si c’est le cas… voir le positif, j’appelle ça du détachement.
Est-ce que c’est un signe de grande indépendance, sans doute.Mais de détachement assurément , à moins que je n’ai pas assez relu ce texte
Voilà, c’est écrit, à moi de m’adapter à faire de mon mieux, pour mon bien être personnel mental, physique, être actif, acteur.
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
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