lutte contre l’alcool
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Définition de l'alcoolisme ou plutôt des différentes formes d'alcoolisme.
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Définition de l'alcoolisme ou plutôt des différentes formes d'alcoolisme.
On peut définir l’alcoolisme comme la perte de liberté pour une personne de s’abstenir de boire de l’alcool. Il s’agit donc d’une pathologie de la liberté qui appartient au domaine des maladies psychopathologiques et qui peuvent entraîner des dysfonctionnements physiques ou psychiques. Cette pathologie est aussi responsable de conséquences plus larges qui touchent la famille, les liens sociaux, professionnels et qui entraîne parfois des ennuis judiciaires.
On ne naît pas alcoolique, on le devient !
On a pu définir trois grands facteurs qui peuvent favoriser l’alcoolisme chez quelqu’un.
-facteurs biologiques : il semble que nous ne soyons pas tous égaux devant l’alcool. Certains vont développer plus vite que d’autres une grande tolérance à l’alcool, tolérance qui mène à la dépendance. C’est l’effet drogue de l’éthanol.
-facteurs psychologiques : la plupart des personnes qui utilisent l’alcool ressentent des effets psychotropes, désinhibitions, diminution de l’angoisse, ils ressentent un effet psychostimulant.
C’est l’effet « médicament » du produit lorsqu’il est utilisé de façon répétée pour faire face aux difficultés de la vie
-facteur social : boire est un acte social que l’on retrouve dans la plupart des cultures. Un individu qui refuse ces coutumes du groupe culturel auquel il appartient, peut avoir des difficultés d’intégration. C’est l’effet socialisant de l’usage de ce produit
L’alcool intervient sur ces trois facteurs, mais tous ceux qui s’alcoolisent ne vont pas forcément devenir alcooliques, il faut autre chose en plus : la répétition du comportement qui devient une addiction
Peu à peu va s’établir chez la personne addictive une relation personnelle à l’alcool de moins en moins liée aux facteurs externes et de plus en plus à une organisation psychopathologique du lien au produit
Celui-ci envahit progressivement l’économie psychique du sujet, diminuant en même temps ses autres possibilités d’investissement, c’est la dépendance psychologique
Le corps quant à lui s’adapte de plus en plus à la répétition des alcoolisations et à l’augmentation des doses, grâce au phénomène de tolérance qui s’est mis en place. Il ne supporte bientôt plus d’être privé d’alcool, on arrive à la dépendance physique, on peut d’ailleurs y arriver assez rapidement.
Le malade alcoolique, perd peu à peu, sans s’en apercevoir la liberté de s’abstenir de boire. Il est devenu un malade alcoolique dépendant physique, et pour l’avoir connu, je vous assure que c’est l’enfer…
On ne naît pas alcoolique, on le devient !
On a pu définir trois grands facteurs qui peuvent favoriser l’alcoolisme chez quelqu’un.
-facteurs biologiques : il semble que nous ne soyons pas tous égaux devant l’alcool. Certains vont développer plus vite que d’autres une grande tolérance à l’alcool, tolérance qui mène à la dépendance. C’est l’effet drogue de l’éthanol.
-facteurs psychologiques : la plupart des personnes qui utilisent l’alcool ressentent des effets psychotropes, désinhibitions, diminution de l’angoisse, ils ressentent un effet psychostimulant.
C’est l’effet « médicament » du produit lorsqu’il est utilisé de façon répétée pour faire face aux difficultés de la vie
-facteur social : boire est un acte social que l’on retrouve dans la plupart des cultures. Un individu qui refuse ces coutumes du groupe culturel auquel il appartient, peut avoir des difficultés d’intégration. C’est l’effet socialisant de l’usage de ce produit
L’alcool intervient sur ces trois facteurs, mais tous ceux qui s’alcoolisent ne vont pas forcément devenir alcooliques, il faut autre chose en plus : la répétition du comportement qui devient une addiction
Peu à peu va s’établir chez la personne addictive une relation personnelle à l’alcool de moins en moins liée aux facteurs externes et de plus en plus à une organisation psychopathologique du lien au produit
Celui-ci envahit progressivement l’économie psychique du sujet, diminuant en même temps ses autres possibilités d’investissement, c’est la dépendance psychologique
Le corps quant à lui s’adapte de plus en plus à la répétition des alcoolisations et à l’augmentation des doses, grâce au phénomène de tolérance qui s’est mis en place. Il ne supporte bientôt plus d’être privé d’alcool, on arrive à la dépendance physique, on peut d’ailleurs y arriver assez rapidement.
Le malade alcoolique, perd peu à peu, sans s’en apercevoir la liberté de s’abstenir de boire. Il est devenu un malade alcoolique dépendant physique, et pour l’avoir connu, je vous assure que c’est l’enfer…
SHALE- Admin
- 01/01/2009
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