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alcool euphorique-alcool dépressif
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alcool euphorique-alcool dépressif
Ce qui est tragique chez le malade alcoolique, c’est qu'ils ne sont pas conscients du changement de l'alcool euphorie en alcool dépression.
Le malade alcoolique quand il découvre l'alcool s'en sert en général comme d'un anxiolytique ou un antidépresseur, c'est un médicament, une drogue même. Au début, tout va bien. Il est mal, il est angoissé, il prend un verre d'alcool, très vite d'ailleurs, il en prend deux ou trois, et là, comme par magie, ses angoisses disparaissent, il se sent en pleine forme, les problèmes sont toujours là, mais il n'y pense plus donc tout va bien……L'alcool lui sert de paravent entre lui et les ennuis de sa vie, ennuis d'ailleurs souvent causés par l'alcool lui-même…. Cette "lune de miel" avec l'alcool dure un certain temps, tout dépend des quantités ingurgitées, mais de façon insidieuse, on ne s'en rend souvent même pas compte, nous devons augmenter les doses d'alcool pour retrouver cette euphorie, ce bien être…..
Mais ce que le malade alcoolique ignore la plupart du temps, c'est qu'à force d'augmenter les doses, vient le moment où il tombe dans la dépendance et là, c'est l'alcool qui prend le pouvoir sur son corps et sur sa vie….La période euphorique se termine peu à peu , insidieusement elle aussi. Mais un beau jour, on se rend compte qu'il nous faut tellement boire qu'on ne peut plus y arriver et en plus nous devenons de plus en plus mal et dépressif….
Nous buvons, mais pour être juste moins mal…..Pourtant , nous ne laissons pas tomber l'alcool, car nous espérons toujours retrouver cette lune de miel du début….
Mais cette lune de miel, on ne la retrouve plus jamais. Même si on reprend l'alcool après avoir arrêté assez longtemps, on ne repart pas sur la période euphorique, non, on repart à l'endroit où on s'était arrêté, c’est-à-dire en général à un moment où on était très mal.
En même temps que nous augmentons l'alcool, nos ennuis s'aggravent aussi vite que les verres que nous buvons….Quand les ennuis physiques ou autres arrivent, il faut se dire qu'il est plus que temps d'arrêter…
Le malade alcoolique quand il découvre l'alcool s'en sert en général comme d'un anxiolytique ou un antidépresseur, c'est un médicament, une drogue même. Au début, tout va bien. Il est mal, il est angoissé, il prend un verre d'alcool, très vite d'ailleurs, il en prend deux ou trois, et là, comme par magie, ses angoisses disparaissent, il se sent en pleine forme, les problèmes sont toujours là, mais il n'y pense plus donc tout va bien……L'alcool lui sert de paravent entre lui et les ennuis de sa vie, ennuis d'ailleurs souvent causés par l'alcool lui-même…. Cette "lune de miel" avec l'alcool dure un certain temps, tout dépend des quantités ingurgitées, mais de façon insidieuse, on ne s'en rend souvent même pas compte, nous devons augmenter les doses d'alcool pour retrouver cette euphorie, ce bien être…..
Mais ce que le malade alcoolique ignore la plupart du temps, c'est qu'à force d'augmenter les doses, vient le moment où il tombe dans la dépendance et là, c'est l'alcool qui prend le pouvoir sur son corps et sur sa vie….La période euphorique se termine peu à peu , insidieusement elle aussi. Mais un beau jour, on se rend compte qu'il nous faut tellement boire qu'on ne peut plus y arriver et en plus nous devenons de plus en plus mal et dépressif….
Nous buvons, mais pour être juste moins mal…..Pourtant , nous ne laissons pas tomber l'alcool, car nous espérons toujours retrouver cette lune de miel du début….
Mais cette lune de miel, on ne la retrouve plus jamais. Même si on reprend l'alcool après avoir arrêté assez longtemps, on ne repart pas sur la période euphorique, non, on repart à l'endroit où on s'était arrêté, c’est-à-dire en général à un moment où on était très mal.
En même temps que nous augmentons l'alcool, nos ennuis s'aggravent aussi vite que les verres que nous buvons….Quand les ennuis physiques ou autres arrivent, il faut se dire qu'il est plus que temps d'arrêter…
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: alcool euphorique-alcool dépressif
le jour où j'ai posé le verre, mon état dépressif "latent" c'est arrêté!
tulipe noire- Super Tchatcheur
- 12/04/2013
Re: alcool euphorique-alcool dépressif
c'est vrai que l'on recherche toujours l'etat de bien être que nous procurait l'alcool car on l'a bien vécu ce bien être, ce moment où tout semble beau et qu'on se sent bien ,je crois que je n'ai jamais trouvé un pareil moment de béatitude ailleurs qu'avec un verre à part mes grossesses et aussi le début d'une histoire d'amour mais c'est vrai que le cerveau se souvient de ce moment tellement agréable et c'est ça qu'il recherche sauf qu'on ne le retrouve plus au bout d'un certain temps l'alcool anti depresseur devient très vite un dépresseur qui transforme ce moment euphorique en enfer et en destruction
cristal- Admin
- 01/01/2009
Re: alcool euphorique-alcool dépressif
"De façon insidieuse"... c' est vraiment ça!
Rétrospectivement, je vois l'alcool comme "le seul truc que je n'ai pas vu venir".
J'en ai pourtant testé pas mal, des trucs qui qui amènent dans "des états de conscience
modifiée" (terme pudique pour dire "plus ou moins raide")
Mais avec tout, je me suis méfiée ou on m'a prévenue et j'ai écouté,
ou alors c'est le corps qui a refusé direct.
Je suis plutôt contente d'avoir fait ça, je vois ça comme des expériences et
les souvenirs sont parfois épiques.
L'alcool, par contre, là j'ai rien vu! Il n'y avait pas d'état dépressif, ça
a été tout ce qu'il y a de plus progressif, l'addiction classique, on augmente les
doses pour le même effet, festif, social, on tient bien, puis on tient mieux, puis on tient
trop, on passe à plus fort, et toujours plus.
Il me semble même que le manque est arrivé avant l'état moral critique, le blues
et la perte de sens.
L'alcool est de loin le produit le plus vicieux de tous.
Rétrospectivement, je vois l'alcool comme "le seul truc que je n'ai pas vu venir".
J'en ai pourtant testé pas mal, des trucs qui qui amènent dans "des états de conscience
modifiée" (terme pudique pour dire "plus ou moins raide")
Mais avec tout, je me suis méfiée ou on m'a prévenue et j'ai écouté,
ou alors c'est le corps qui a refusé direct.
Je suis plutôt contente d'avoir fait ça, je vois ça comme des expériences et
les souvenirs sont parfois épiques.
L'alcool, par contre, là j'ai rien vu! Il n'y avait pas d'état dépressif, ça
a été tout ce qu'il y a de plus progressif, l'addiction classique, on augmente les
doses pour le même effet, festif, social, on tient bien, puis on tient mieux, puis on tient
trop, on passe à plus fort, et toujours plus.
Il me semble même que le manque est arrivé avant l'état moral critique, le blues
et la perte de sens.
L'alcool est de loin le produit le plus vicieux de tous.
lolo6- Super Tchatcheur
- 24/06/2012
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