Paroles de ministre....

Lettre d'opinion par un lecteur dans une grand quotidien, si tu étais au Québec je te dirais le journal Le Devoir, tu as tout ce qui faut pour t'exprimer sur cette tribune Shale et tu as raison :-). Je t'y encourage :-)

ppp

Je ne comprends pas bien ce que tu veux dire PPP ???

Je veux dire que tu pourrais envoyer un texte pour dénoncer cette situation à un journal qui le publierait. Ils ont souvent une section dédiée aux lecteurs, afin qu'ils expriment leurs opitions. Ici, le journal Le Devoir mets à notre disposition une telle section et les textes qu'on y retrouve sont souvent très intéressants, de nouvelles idées, façon de voir :-)

Bonne journée Shale :-)

Ah d'accord, je comprends mieux....Sur le groupe Onsaide sur Facebook, il y a eu une discussion intéressante sur le rôle des bistrots : bons ou mauvais....En fait c'était un peu hors sujet car pour moi, le problème ce n'était pas de refuser les bistrots et leur importance, c'était de dire que notre gouvernement n'a pas d'autres idées pour redonner vie à un village que d'y ajouter la possibilité de s'alcooliser......Sinon, je pense qu'un bistrot dans un village est important, c'est le coeur du village, là où tout le monde se rencontre, où les nouvelles bonnes ou mauvaises se propagent, un lieu neutre où on peut venir se ressourcer en discutant avec d'autres personnes...Dans Un bistrot, il n'y a pas que de l'alcool à boire, loin de là....

Je suis 100 d accord avec toi

Ds ta lettre aux lecteurs, il faut aussi mettre ce point :-)

Oui, tu as raison...

c'est vrai que le bistro du village est le point de ralliement des villageois mais l'epicerie du coin aussi de même que la boulangerie même si on y reste moins longtemps. Les villages sont comme une grande famille et la bistro la pièce où tout le monde se retrouve, dommage que l'alcool s'en mêle 

Bonjour.

Je suis cette discussion avec un certain amusement (?) depuis mon coin, l'un des moins peuplés de France. Je serais très curieux de connaître des statistiques fiables en matière de fréquentation ramenée à la population (majeure). En tout cas votre vision me semble très romanesque, par rapport à ce que j'ai vu lors de ma propre fréquentation de bistrots de villages au hasard de mes "trous" d'emploi du temps (je me déplace beaucoup, toute la semaine, avec ma "gamelle" car bossant entre 8h30 et 22h00 selon les jours et les lieux, variables selon les années scolaires). Fréquentation indépendante de ma pratique alcoolique, je précise...

Ce que j'ai vu, avec constance, c'est une toute petite frange de la population locale (dont des parents d'élèves), presque exclusivement masculine, qui vient au troquet pour se défoncer. Un peu plus de monde le midi, avec essentiellement des ouvriers (BTP, artisans) pour le repas qui ont alors une consommation plus "raisonnable" quoique certains présentent déjà des signes manifestes d'une bonne accoutumance. Rien de commun en tout cas avec le marché, qui brasse un volume de population 50 fois supérieur et nettement plus représentatif de la population locale dans sa diversité. Par ici, un gros chef-lieu de canton atteint difficilement 2000 âmes, "mes" patelins sont plutôt de la tranche 800-1200.

Bref, le discours sur les terrasses et la "liberté", à longueur d'antennes pendant le semi-confinement 2020-2021, me faisait bouillir mais apparemment cette vision très citadine et nettement fantasmée du bistrot ne serait pas si rare que ça.

rur@lcoolique a écrit:Bonjour.

Je suis cette discussion avec un certain amusement (?) depuis mon coin, l'un des moins peuplés de France. Je serais très curieux de connaître des statistiques fiables en matière de fréquentation ramenée à la population (majeure). En tout cas votre vision me semble très romanesque, par rapport à ce que j'ai vu lors de ma propre fréquentation de bistrots de villages au hasard de mes "trous" d'emploi du temps (je me déplace beaucoup, toute la semaine, avec ma "gamelle" car bossant entre 8h30 et 22h00 selon les jours et les lieux, variables selon les années scolaires). Fréquentation indépendante de ma pratique alcoolique, je précise...

Ce que j'ai vu, avec constance, c'est une toute petite frange de la population locale (dont des parents d'élèves), presque exclusivement masculine, qui vient au troquet pour se défoncer. Un peu plus de monde le midi, avec essentiellement des ouvriers (BTP, artisans) pour le repas qui ont alors une consommation plus "raisonnable" quoique certains présentent déjà des signes manifestes d'une bonne accoutumance. Rien de commun en tout cas avec le marché, qui brasse un volume de population 50 fois supérieur et nettement plus représentatif de la population locale dans sa diversité. Par ici, un gros chef-lieu de canton atteint difficilement 2000 âmes, "mes" patelins sont plutôt de la tranche 800-1200.

Bref, le discours sur les terrasses et la "liberté", à longueur d'antennes pendant le semi-confinement 2020-2021, me faisait bouillir mais apparemment cette vision très citadine et nettement fantasmée du bistrot ne serait pas si rare que ça.

J'ai relu trois fois, mais toujours sans rien comprendre...Quel est ton point de vue exactement à part la comparaison entre le marché et le bistrot?

Je n'ai pas compris non plus, je n'ai donc pas répondu, mais si tu peux expliquer plus clairement ce que tu veux dire, ce serait bien...

Bonjour.

Je suis assez effaré de lire ici-même que le bistrot serait le centre de la vie du village. C'est une vision à la Marcel Pagnol qui ne correspond absolument à la réalité. Un pur fantasme.

Mon avis. Bonne journée.

Personnelement je compare cet espace, comme un lieu multiservice. On y retrouve aussi bien, l'épicerie , un point poste, colis relais, restauration, point cash pour compenser la perte des distributeurs C B, mais pas uniquement un lieu de consommation d'alcool, et puis c'est bien une perte de revenus pour les caisses de l'état, la perte d'une licence IV , restons objectifs .