lutte contre l’alcool
Le malade alcoolique et la notion de satiété
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Le malade alcoolique et la notion de satiété
Le malade alcoolique et la notion de satiété.
Quand nous mangeons et buvons, au bout d'un certain temps, nous n'avons plus faim ni soif, le repas est fini pour nous, on passe à autre chose. En principe les signaux de satiété arrivent au bon moment pour protéger notre santé, quand le corps a investi assez de nourriture et de boisson, le cerveau lui donne l'ordre d'arrêter pour ne pas mettre notre santé en danger. Un dérèglement dans l'apparition de ces signaux peut entraîner une maigreur ou une obésité. Un aliment pourtant échappe à ces signaux de satiété, le chocolat…
Avec l'alcool il y a aussi la même réaction, mais uniquement pour les malades alcooliques dépendants.
Au contraire chez le malade alcoolique, plus on boit, plus on a envie de boire, il y a là un dérèglement chimique qui a été provoqué par l'alcool lui-même et qui a créé la dépendance. C'est un grand danger car on ne peut pas s'arrêter de boire tant qu'il en est encore temps, c’est-à-dire avant de créer des problèmes autour de soi et de prendre des risques pour notre santé
Les personnes non alcooliques n'ont pas ce problème, elles s'arrêtent d'elle-même dès qu'elles sentent qu'elles ont trop bu, mais le malade alcoolique ne se rend jamais compte qu'il a trop bu, au contraire pour lui, il n'en a jamais assez.
Le malade alcoolique a en fait perdu la liberté de ne pas boire, ce qui est terrible à vivre .
Quand on est malade dépendant, on remarque toujours que les autres ne boivent pas tout leur verre, en laisse dans la bouteille et là, on ne comprend plus comment ils peuvent y arriver…Souvent on les envie même.…
Pour le malade alcoolique ce n'est pas une question de force de caractère ou de volonté, rien de tout ça.
Quand ce dernier a atteint le stade de la dépendance, il ne vit plus que pour l'alcool, il est prisonnier de la bouteille.
Au bout d'un temps plus ou moins lointain, les ennuis commencent, ennuis de santé, ennuis professionnels, ennuis familiaux, bref l'alcool nous rend la vie intenable et on se rend compte que si on n'arrête pas, notre avenir c'est dans le meilleur des cas l'hôpital psychiatrique ou la prison, dans le pire des cas, le cimetière.
Mais on en revient toujours au même problème, pour arrêter l'alcool, lorsqu'on est dépendant, il faut de l'aide, seul, c'est pratiquement impossible, à moins que la dépendance ne soit qu'à ses débuts, ce qui est rare.
Alors l'aide nous sommes là pour vous aide à en trouver….
Quand nous mangeons et buvons, au bout d'un certain temps, nous n'avons plus faim ni soif, le repas est fini pour nous, on passe à autre chose. En principe les signaux de satiété arrivent au bon moment pour protéger notre santé, quand le corps a investi assez de nourriture et de boisson, le cerveau lui donne l'ordre d'arrêter pour ne pas mettre notre santé en danger. Un dérèglement dans l'apparition de ces signaux peut entraîner une maigreur ou une obésité. Un aliment pourtant échappe à ces signaux de satiété, le chocolat…
Avec l'alcool il y a aussi la même réaction, mais uniquement pour les malades alcooliques dépendants.
Au contraire chez le malade alcoolique, plus on boit, plus on a envie de boire, il y a là un dérèglement chimique qui a été provoqué par l'alcool lui-même et qui a créé la dépendance. C'est un grand danger car on ne peut pas s'arrêter de boire tant qu'il en est encore temps, c’est-à-dire avant de créer des problèmes autour de soi et de prendre des risques pour notre santé
Les personnes non alcooliques n'ont pas ce problème, elles s'arrêtent d'elle-même dès qu'elles sentent qu'elles ont trop bu, mais le malade alcoolique ne se rend jamais compte qu'il a trop bu, au contraire pour lui, il n'en a jamais assez.
Le malade alcoolique a en fait perdu la liberté de ne pas boire, ce qui est terrible à vivre .
Quand on est malade dépendant, on remarque toujours que les autres ne boivent pas tout leur verre, en laisse dans la bouteille et là, on ne comprend plus comment ils peuvent y arriver…Souvent on les envie même.…
Pour le malade alcoolique ce n'est pas une question de force de caractère ou de volonté, rien de tout ça.
Quand ce dernier a atteint le stade de la dépendance, il ne vit plus que pour l'alcool, il est prisonnier de la bouteille.
Au bout d'un temps plus ou moins lointain, les ennuis commencent, ennuis de santé, ennuis professionnels, ennuis familiaux, bref l'alcool nous rend la vie intenable et on se rend compte que si on n'arrête pas, notre avenir c'est dans le meilleur des cas l'hôpital psychiatrique ou la prison, dans le pire des cas, le cimetière.
Mais on en revient toujours au même problème, pour arrêter l'alcool, lorsqu'on est dépendant, il faut de l'aide, seul, c'est pratiquement impossible, à moins que la dépendance ne soit qu'à ses débuts, ce qui est rare.
Alors l'aide nous sommes là pour vous aide à en trouver….
SHALE- Admin
- 01/01/2009
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