Je veux tout arrêter ! aidez moi

Comparé à quelques années, je ne m'aime pas. J'étais jolie fille maintenant je trouve que l'alcool et le tabac commencent à se voir - sur la peau, les dents.
Et puis je culpabilise. Lendemain de cuite, les angoisses reprennent le dessus. Que je me sois bien comporté ou quelque peu emportées, j'ai peur du regard des autres. J'ai peur qu'on me juge. Et je m'en veux d'avoir foutu ma journée en l'air voir mes relations en l'air.
Le tabac, c'est une habitude, un sentiment de sécurité. Pourtant je sais que je m'empoissonne.

En semaine j'arrive à ne pas boire. Je sors pas trop et puis comme je fais bcq de sport, si je veux pouvoir y aller, il faut que je sois en forme. Mais parfois je dérape. Si je ne m'arrête pas au premier verre, je sais que je pourrais plus m'arrêter. Et puis le we, y'a les copains et c'est tt simplement impossible de dire non.
Pour le tabac, tous les jours je me dis que j'arrete de fumer et tous les jours je finis par en éclater une. Quelle connerie.

Pourtant j'en peux plus. Je suis jeune et j'ai le sentiment que si j'arrête tt maintenant je pourrais me sentir bien a nouveau. Tant physiquement que psychologiquement. Je rêverais d'être abstinente volontaire. De dire "non merci" sans tiraillement, de perdre le plaisir de fumer et de gagner en volonté.

Aidez moi, s'il vous plait

bonjour suzie et bienvenue sur onsaide
bien sur que nous allons t'aider,ne t'en fait pas

tout d'abord,sache que tu ne vas pas arrêter deux addictions en même temps alors tu t'occuperas de la cigarette plus tard,l'alcool est LE problème a résoudre et c'est ce que tu est entrain de faire

as tu déjà essayer d'arrêter??je parle avec des médecins,pas juste te modérer.

pour ce combat,il va te falloir différentes aides car on ne peut pas arrêter seul,la maladie alcoolique est très complexe et on ne s'en débarrasse pas juste en le voulant!!

alors il va falloir que tu franchisses le pas et que tu ailles voir un alcoologue qui va te guider dans tes démarches et te suivre tout au long de ton combat (tu as des CCAA gratuits ds toutes les grandes villes de france)

nous serons là nous aussi(forum),tu devrais aussi fréquenter un MAB (mouvement d'ancien buveurs)pour partager ce que tu vis et entendre l'expérience des autres.
Pour peaufiner tout cela,une thérapie est indispensable pour découvrir ce que tu cherches à cacher ds l'alcool,pour comprendre aussi pourquoi tu n'arrives pas à vivre pleinement ta vie

mais nous allons en reparler peu a peu,je ne veux pas t'effrayer
vis tu seule?,as tu un travail?un hobby?

tu ne réponds pas si tu ne le souhaites pas mais c'est pour t'aider au mieux

Je n'ai jamais essayé d'arrêté. Parfois je me disais que ça serait bien mais sans vraiment m'y croire capable. Aujourd'hui je pense pouvoir évoluer parmi les buveurs occasionnels sans pour autant boire moi même.

Pour être sincère, je n'ai pas l'intention d'aller voir quelqu'un. Je vois pas ce qu'un médecin pourrait m'apporter ? une prescription, des palliatifs ?

Ce que l'alcool cache ? : le plaisir des vertus de l'enivrement. Un sentiment de liberté, de lâcher prise. Etrangement j'adore lâcher prise sous alcool. J'adore le sentiment que cela me procure sur le coup. Je ne me sens pas entravée. Par contre le lendemain c'est évidemment autre chose.

Faire une psychanalyse ?
je n'ai pas l'intention de le faire. J'ai déjà essayé. Je ne me sens pas à l'aise dans ce type de relation. je voudrais juste arrêter de boire et fumer. C'est tout.
Quand a pourquoi je ne vis pas pleinement ma vie ? Large question. Je ne suis pas sure de vouloir chercher a y répondre. Je cherche a agir sur ma vie pas l'analyser ! et je ne pense pas qu'une analyse soit absolument nécessaire pour évoluer.

Je vie ou seule ou avec ma mère. Evidemment quand elle n'est pas là, je dérape plus facilement. Ca m'occupe. Je cherche du travail en ce moment mais je tiens à dire que je bois moins mtt que quand je travaillais. J'ai plus conscience des effets négatifs aujourd'hui alors que je me supporte tte la journée qu'auparavant. Je fais du yoga en grosse quantité (c'est aussi une forme de psychanalyse le yoga), que je n'arrêterais pour rien au monde. C'est aussi pour ça que je veux tt arrêter. Une vie sans produit me permettrait d'aller plus loin dans ma pratique et ma conscience.

si tu es malade alcoolique comme cela semble être le cas,tu ne pourras pas "juste arrêter de boire " et continuer ta vie sans rien changer
pourquoi un alcoologue??parce qu'il soigne l'alcoolisme suzie et qu'il te donnera ce dont tu as besoin pour arrêter ce cercle infernal dans lequel tu es plongé.
ta psychanalyse n'a pas marché dis tu,mais peut être n'y allais tu pas pour le bon problème.peut être n'as tu pas eu le psy qui te convenait.

je te sens pleine de réticence vis a vis de l'arrêt de l'alcool,sais tu au moins ce qu'est exactement la maladie alcoolique??
car si tu n'es pas convaincue que tu dois arrêter totalement,si tu ne cherches qu'a boire modérément,de temps en temps lors des grandes occasions,alors tu vas t'enfoncer encore un peu plus ds l'enfer avant de comprendre qu'il faut vraiment mettre le paquet pour s'en débarrasser

que veux tu faire là,arrêter de boire trop et ne boire qu'en quantité raisonnable??ou as tu conscience que c'est plus grave??

Je veux tout arrêter.
Je veux arrêter.
Je veux vivre sans boire et sans fumer.
Oui, je le veux.

A mon stade, je ne dirais pas que c'est grave. Par contre j'ai pleinement conscience que cela peut le devenir. Je sens que ça commence à entraver ma vie. Et je veux pas que ce soit le cas. Mais j'ai beau me mettre en condition, je cède tjrs !
Un psychanalyste je veux même pas en parler, je n'irais pas. On est pas tjrs pour ça. Moi je suis pas prête mais ça ne m'empêche pas de vouloir arrêter de boire et de fumer.
Un alcoologue ? imaginer faire ce pas m'est difficile. je vois pas comment le doc pourrait m'aider. Il va falloir que je parle, que j'explique quand, pourquoi, comment et après quoi ? il va me dire quoi au juste ?

pour la thérapie,tu verras cela plus tard si tu veux car pour le moment,le plus important c'est l'arrêt de l'alcool.

pour t'expliquer Suzie,la maladie alcoolique à changé le fonctionnement de ton cerveau,certaines molécules ont disparu a cause de l'alcool et ont été remplacées par d'autres nocives.ce n'est pas rien et arrêter n'importe comment peut entrainer des conséquences grave.
je ne pense pas que tu soies dépendante physique mais il faut que tu comprennes que ce n'est pas a prendre a la légère.
Pour passer ce sevrage,tu peux avoir besoin d'un traitement car tu vas avoir des réactions a l'arrêt de l'alcool,l'alcoologue est là pur t'en parler et pour voir avec toi où tu en es de ta dépendance et ce qui te convient le mieux.Il te suivra aussi tout au long de tes soins et verra avec toi ce que tu dois faire pour la suite.

Voir un alcoologue est une étape important ds les soins car c'est un moyen de faire face a sa maladie et l'accepter!!
c'est une chose d'en parler a l'abri,une autre bien plus dure de le dire pour de vrai à une vraie personne car là on se dit"mince alors,c'est que je suis vraiment malade "

c'est lui qui va te guider dans les questions,il est là pour t'aider pas pour t'enfoncer tu sais
tu as des centres gratuits et bien sur totalement anonyme ;

si tu veux vraiment arrêter et ne jamais recommencer a vivre cet enfer,franchi le pas et va voir le spécialiste de ta maladie

pour le moment,réfléchis car c'est une décision difficile a prendre mais si tu veux mettre toutes les chances de ton coté,fais le.
pense a toutes ces fois où tu as tenté d'arrêter et où tu as repris,sans aide,on reprend toujours car nous sommes malades.

j'espère que je ne te fais pas trop mal Suzie,je sais que ce sont des choses difficile a entendre.Moi même j'ai beaucoup pleuré en me rendant compte de ce qu'etait cette maladie mais c'est quand j'ai accepté d'en être atteinte que j'ai enfin reussi a me soigner

ok.
oui ça fait mal

ou est ce qu'on trouve un alcoologue gratuit et discret ?

Bienvenue Suzie, tu fais le bon choix d'arrêter la picole, c'est un combat plus important que le tabac, je fume aussi comme un sapeur et j'ai choisi d'arrêter la picole en premier.Dans un an, j'espère pouvoir arrêter la clope.Il y a effectivement des alcoologues "discrets" comme tu dis dans les maisons des addictions rattachées aux centres hospitaliers.Tu peux aussi simplement en parler à ton généraliste pour commencer.Le truc, c'est qu'il est parfois important d'être médicamenté pour éviter tout risque lié au sevrage, du genre delirium tremens.Tu parles assez peu de ta conso sinon que tu bois exclusivement le week-end, elle est de quel ordre?
Bien à toi,

Nat.

Salut Nat !

Je comprends pas de quels médicaments on parle exactement ? Pourquoi c important d'être médicamenté exactement ?

Le pb c'est que je bois pas que le we, il m'arrive de déraper en semaine. La par exemple, j'ai dérapé.
Pour répondre à ta question, je consomme un peu comme toi je crois, pour le sentiment de liberté que ça me procure. Le temps d'une ivresse, je suis libre, débarassée de tte angoisse, de tte frustration, de tte pensée même. J'ai le sentiment d'exister léger qd je bois, c'est fou. Ma vie est légère et intense. Que je sois seule ou en groupe je ressens la même chose. Seulement parfois en grpe, quand je bois trop, je deviens excessive, je fais peur aux gens qui me connaissent pas, je crois que je me fais peur moi même. Ca m'arrive de moins en moins ça, presque plus même ... mais aujourd'hui par exemple, le sentiment de culpabilité que je ressens me refais penser à ça.
Consommation excessive liée au sentiment de manque de confiance en soi.
L'alcool me procure cette confiance, qui peut se retourner contre moi et là, je fais des ravage. Destruction. Bref, faut que j'arrête.

Les maisons des addictions y'en a a paris aussi ?

Bonjour Suzie et bienvenue

Sois sur que tu trouveras de l'aide, des conseils et du soutient ici!
Ce qui nous reunit ici est notre problème avec l'alcool, et nous savons a quel point la decision d'arreter est dure à prendre, mais sois certaine que c'est la meilleure qui soit!

Je rejoins Cristal et Nat, il y a des alcoologues très bien et discrets (secret medical oblige!), dans les centres communal d'addictologie/alcoologie. C'est gratuit et anonyme, et tu auras des professionnels spécialisé dans ce dommaine.
Il y a effectivement ton medecin traitant (c'est mon cas), si il/elle connait la maladie alcoolique, il pourra te guider egalement.
C'est important de voir un medecin, le sevrage peut comporter des risques, tu parles d'ailleurs d'angoisses quand tu te reveilles, cela fait parti des signes que ton corps est en manque, et des medicaments peuvent pallier a ses angoisses liés au sevrage.

Bon courage a toi, et nous sommes là! Tu peux tout dire ici!!

Tu as des centres d'addictologie dans presque toutes les grandes villes, donc je pense qu'à Paris oui!
Tu peux chercher sur internet, je pense que tu trouveras!

Quelques centres qui pourraient t’intéresser!!!
------->cliquer ici<-------

merci à vous !

est ce que vous pourriez me parler des médicaments svp ?
et comment faites vous en société pour vous retenir de boire ?

Pour les medicaments, cela dependra du "niveau" de ta dependance.
Il peut te donner des medicaments pour diminuer les envies, type Aotal.
Après, il peut te donner des anxiolytiques, pour diminuer les angoisses et l'anxiété lié au sevrage, car l'alcool, une fois la dependance installée, est un puissant depresseur...

Je ne suis pas experte dans tout ça, les modos auront surement plus de reponses!
Mais les medicaments sont une aide, la volonté fait 50% du travail!!! Mais je ne m'inquiettes pas pour toi, tu as l'air très decidé!!

Pour ne pas boire en groupe hum ^^ ça me rappelle des questions que je posais il y a qques mois!!!!!
Pour ma part, je disais que je prenais des medicaments au debut, puis on m'a fichu la paix!!! Il y a eu quelques questions au bout de qques mois, on en a même posé a mon mari sans m'en parler (sympa... ), j'ai fini un jour par retorquer, très gentiment, que j'avais eu des problèmes de santé (qui me regarde!!!), et que je devais faire attention. Maintenant, c'est une habitude, on ne me propose plus de bière, mais direct du Coca ou du jus de fruit!!
Et dis toi que tout ça ne regarde que toi! :) Chacun sa réponse, ça c'etait la mienne, les autres te donneront d'autres conseils!

Bises!
Prends bien soin de toi

Pour répondre à ta question, je consomme un peu comme toi je crois, pour le sentiment de liberté que ça me procure. Le temps d'une ivresse, je suis libre, débarassée de tte angoisse, de tte frustration, de tte pensée même. J'ai le sentiment d'exister léger qd je bois, c'est fou. Ma vie est légère et intense. Que je sois seule ou en groupe je ressens la même chose

Bonjour Suzie.
Oh !!!! ça me rappelle de bons souvenirs
Mais c'était il y a très longtemps et cela n'a pas duré longtemps.

Tu sens que tu arrives dans la phase dangereuse, celle où l'alcool prend le pouvoir sur ta vie et là, effectivement, il est temps d'arrêter!
L'arrêt de l'alcool commence par un sevrage, c'est à dire que pendant une dizaine de jours, ton corps va éliminer tout l'alcool qu'il a en lui. C'est un moment à risque, car ton corps et ton cerveau, en étant privé brutalement de ce produit, peuvent très mal réagir: crises d'épilepsie, délirium tremens ... C'est bien pour ça que nous te recommandons d'avoir un suivi médical pour éviter ce genre de problèmes qui peuvent être très grave...
Sinon, pendant le sevrage, il faut que tu boives beaucoup d'eau sucrée pour te réhydrater et compenser le sucre qu'il y avait dans l'alcool. Ce serait bien aussi de prendre du magnésium et de la vitamine B, surout B1 et B6...
Tu risques de transpirer énormément la nuit et d'être très fatiguée, c'est normal, ton corps élimine les toxines apportées par l'alcool...
Tiens nous au courant, on te suit pas à pas!!

Bonjour Suzieblue
Au niveau des médocs y en pas pas mal comme le révia par exp qui agisse au niveau du cerveau et reffrenne l'envie de boire, mais les modos seront plus prolixes à ce sujet.
Un truc pour ne ps boire en société et n' être pas sollicitée , c'est de te laisser servir un verre de vin par exp et de ne pas y toucher. Personne ne viendra te le re remplir! Sinon tu peux prétexter aussi un pb de santé (prise d'antibiotiques ou autre) mais le plus sûr est de dire simplement que tu ne veux pas d'alcool!
Tu sembles à mon avis au début de ton alcoolisme ou de ta dépendance, dans la période ou alcool est encore synonyme de plaisir et de "décollage"
Le stade suivant sera le besoin de doses de plus en plus importantes pour obtenir le même effet
Puis l'alcoolisation quotidienne avec des doses de plus en plus importantes.
Puis viendra l'alcool médoc pour arrêter les tremblements , les suées la dépression omniprésente.
Puis, puis..........................devine...................
Alors agis tant qu'il en est encore temps. Chez la femme, les dégats sont plus importants et beaucoup plus rapides que chez l'homme!
Bon courage à toi et prends surtout la bonne décision!

suzieblue a écrit:Je n'ai jamais essayé d'arrêté. Parfois je me disais que ça serait bien mais sans vraiment m'y croire capable. Aujourd'hui je pense pouvoir évoluer parmi les buveurs occasionnels sans pour autant boire moi même.

Pour être sincère, je n'ai pas l'intention d'aller voir quelqu'un. Je vois pas ce qu'un médecin pourrait m'apporter ? une prescription, des palliatifs ?

Ce que l'alcool cache ? : le plaisir des vertus de l'enivrement. Un sentiment de liberté, de lâcher prise. Etrangement j'adore lâcher prise sous alcool. J'adore le sentiment que cela me procure sur le coup. Je ne me sens pas entravée. Par contre le lendemain c'est évidemment autre chose.

Faire une psychanalyse ?
je n'ai pas l'intention de le faire. J'ai déjà essayé. Je ne me sens pas à l'aise dans ce type de relation. je voudrais juste arrêter de boire et fumer. C'est tout.
Quand a pourquoi je ne vis pas pleinement ma vie ? Large question. Je ne suis pas sure de vouloir chercher a y répondre. Je cherche a agir sur ma vie pas l'analyser ! et je ne pense pas qu'une analyse soit absolument nécessaire pour évoluer.

Je vie ou seule ou avec ma mère. Evidemment quand elle n'est pas là, je dérape plus facilement. Ca m'occupe. Je cherche du travail en ce moment mais je tiens à dire que je bois moins mtt que quand je travaillais. J'ai plus conscience des effets négatifs aujourd'hui alors que je me supporte tte la journée qu'auparavant. Je fais du yoga en grosse quantité (c'est aussi une forme de psychanalyse le yoga), que je n'arrêterais pour rien au monde. C'est aussi pour ça que je veux tt arrêter. Une vie sans produit me permettrait d'aller plus loin dans ma pratique et ma conscience.

Bonjour !

Ayant vécu avec une M.A totalement dépendante de l'alcool, et de la cigarette, je vais parler en connaissance de cause !

La priorité, comme déjà dit plus haut, n'est pas pour l'instant la cigarette ! En gros cette addiction là, quant il n'y a pas de problème notoire de santé, on va dire que le sevrage peut se faire avec un simple généraliste, et aussi pas mal de volonté !

Pour ce qui est de l'alcool, il en va autrement, à savoir qu'un sevrage "brusque" n'est pas sans conséquences, et peu avoir des effets secondaires redoutables.
Avec l'alcool on ne parle plus de volonté ou non, on ne mache pas une nicorette, on ne pose pas un "patch" on parle ici d'une addiction qui peut rapidement avoir des pathologies graves ! En ce sens je vous conseille un médecin alcoologue qui pourra déterminer votre état de dépendance. Le sevrage se fera alors soit en votre domicile, soit vers un hopital ! Tout depent de votre consommation, dont vous donnez peu de détails ! Le tout sera suivit d'un traitement et d'un suivi par une ou un psy addictologue, car ne croyez pas qu'une simple cure est curative , le combat est hélas plus long !

Pour être plus précis l'OMS considère pour une femme que 2 verres par jour sont dangereux, n'y voyait aucune misogynie de ma part , il s'agit tout simplement d'un enzyme présent chez la femme, qui fixe plus rapidement l'alcool sur le foie (entre autres).

Par contre, si vous ne désirez pas consulter, il est fort probable qu'à l'avenir , vous y soyez obligé ! c'est bien joli de se "griser", mais les dègats collateraux du cumul alcool + cigarette percutent très vite l'organisme, hélas !

Le Yoga est une bonne chose, mais ne dois être en aucun cas une thérapie éfficace, par ailleurs pour pratiquer le Shaolin je peut confirmer que la pratique est faussé par l'alcool, on se croit maitre de soi, mais c'est l'alcool qui est maitre de tout !
Pour citer le maitre de Shaolin; " si tu vois un adversaire sur un pont, que tu est passé maitre de ton art (martial), la plus grande des sagesses et de ne pas traverser ce pont et de prendre le gué plus loin" ! En gros quant un souci se pose à tes yeux, évites de te battre avec lui, évites le, cela va de même pour l'alcool qui n'est qu'un mauvais conseiller en bonheur !

Courage !

Salut suzieblue!

Je pense que tu dois prendre le temps de réfléchir à la meilleur manière selon toi d'arrêter l'alcool...mais je rejoints les autres membres sur le fait d'être accompagnée par un professionnel...les traitement médicamenteux d'aide au sevrage varie beaucoup, (perso j'ai un toujours un anxiolytique car je suis très nerveuse).....

ce qui m'a marqué dans ton fil c'est : Ce que l'alcool cache ? : le plaisir des vertus de l'enivrement. Un sentiment de liberté, de lâcher prise. Etrangement j'adore lâcher prise sous alcool. J'adore le sentiment que cela me procure sur le coup. Je ne me sens pas entravée. Par contre le lendemain c'est évidemment autre chose.

L'alcool ne cache pas ca, il te procure cette sensation, l'alcool cache d'autres problèmes propre à chacun, d'ou l'importance d'un suivis par un professionnel qui t'aidera à trouvé la clef du "pourquoi".

Je te sent hésitante et retissante...tu peux deja commencer à essayer d'en parler à ton medecin, je sais que c'est une demarche pas simple mais sincerement ca vaut le coup!


émilie