lutte contre l’alcool
La confiance en soi
3 participants
Page 1 sur 1
La confiance en soi
Beaucoup d'entre nous portent en eux ce poids du manque de confiance en soi. On doute de nos capacités, on se questionne sur notre propre mérite.
Mais c'est difficile de se regarder dans le miroir et de croire en sa propre valeur. Les pensées négatives s'insinuent en nous et créent des barrières, nous faisant douter de chaque pas que nous faisons. Beaucoup d'entre nous portent ce fardeau, il n'y a pas de honte à ça.
Le manque de confiance en soi est comme une ombre qui nous suit pas à pas, mais il ne peut pas définir qui on est.
C'est une bataille intérieure que nous avons à mener et il nous faut souvent de l'aide pour la gagner. En général, nous sommes bien plus fort que nous le pensons, nos qualités, les autres les voient, mais nous, nous y sommes aveugles.
C'est fou comme nous avons du mal à nous souvenir de nos réussites passées quand les pensées négatives prennent le dessus. Ces pensées négatives, elles viennent de très loin, elles sont tellement enfouies au fond de nous, qu'il est bien difficile de s'en débarrasser. Il faut souvent les arracher une à une, mais là aussi, il nous faut de l'aide.
La confiance en soi est une construction progressive et il est normal de trébucher en cours de route. Ce sont ces moments, quand nous arrivons à les dépasser, qui nous rendent plus forts.
Nous avons aussi le droit de ne pas être parfaits, personne ne nous le demande et ce n'est pas un but en soi, loin de là. D'abord, qu'est-ce que la perfection ? Pour ma part, je l'ignore.
N'ayez pas peur de parler de vos doutes, de vos peurs, de vos espoirs aussi. Ouvrez-vous à ceux qui vous entourent, vous serez surpris du soutien que vous pourrez trouver.
L'important, c'est de croire en soi. Certes, on n'y a pas forcément été habitué, bien souvent, on s'est senti rabaissé, mais peu importe l'avis des autres, il faut nous faire confiance, nous sommes dignes d'être aimés, nous avons droit au bonheur et même au succès, et ça, nous ne devons pas l'oublier.
Ghyslaine Gimenes
Mais c'est difficile de se regarder dans le miroir et de croire en sa propre valeur. Les pensées négatives s'insinuent en nous et créent des barrières, nous faisant douter de chaque pas que nous faisons. Beaucoup d'entre nous portent ce fardeau, il n'y a pas de honte à ça.
Le manque de confiance en soi est comme une ombre qui nous suit pas à pas, mais il ne peut pas définir qui on est.
C'est une bataille intérieure que nous avons à mener et il nous faut souvent de l'aide pour la gagner. En général, nous sommes bien plus fort que nous le pensons, nos qualités, les autres les voient, mais nous, nous y sommes aveugles.
C'est fou comme nous avons du mal à nous souvenir de nos réussites passées quand les pensées négatives prennent le dessus. Ces pensées négatives, elles viennent de très loin, elles sont tellement enfouies au fond de nous, qu'il est bien difficile de s'en débarrasser. Il faut souvent les arracher une à une, mais là aussi, il nous faut de l'aide.
La confiance en soi est une construction progressive et il est normal de trébucher en cours de route. Ce sont ces moments, quand nous arrivons à les dépasser, qui nous rendent plus forts.
Nous avons aussi le droit de ne pas être parfaits, personne ne nous le demande et ce n'est pas un but en soi, loin de là. D'abord, qu'est-ce que la perfection ? Pour ma part, je l'ignore.
N'ayez pas peur de parler de vos doutes, de vos peurs, de vos espoirs aussi. Ouvrez-vous à ceux qui vous entourent, vous serez surpris du soutien que vous pourrez trouver.
L'important, c'est de croire en soi. Certes, on n'y a pas forcément été habitué, bien souvent, on s'est senti rabaissé, mais peu importe l'avis des autres, il faut nous faire confiance, nous sommes dignes d'être aimés, nous avons droit au bonheur et même au succès, et ça, nous ne devons pas l'oublier.
Ghyslaine Gimenes
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: La confiance en soi
Je viens de lire, et j'adhère totalement Shale. Que de temps il faut pour se rendre compte de la valeur que l'on a, et que de temps pour changer ces programmations installés depuis la plus petite enfance. Mais quelle joie de découvrir petit à petit qui l'on est, une fois abandonnées ces fausses idées sur nous...SHALE a écrit:Beaucoup d'entre nous portent en eux ce poids du manque de confiance en soi. On doute de nos capacités, on se questionne sur notre propre mérite.
Mais c'est difficile de se regarder dans le miroir et de croire en sa propre valeur. Les pensées négatives s'insinuent en nous et créent des barrières, nous faisant douter de chaque pas que nous faisons. Beaucoup d'entre nous portent ce fardeau, il n'y a pas de honte à ça.
Le manque de confiance en soi est comme une ombre qui nous suit pas à pas, mais il ne peut pas définir qui on est.
C'est une bataille intérieure que nous avons à mener et il nous faut souvent de l'aide pour la gagner. En général, nous sommes bien plus fort que nous le pensons, nos qualités, les autres les voient, mais nous, nous y sommes aveugles.
C'est fou comme nous avons du mal à nous souvenir de nos réussites passées quand les pensées négatives prennent le dessus. Ces pensées négatives, elles viennent de très loin, elles sont tellement enfouies au fond de nous, qu'il est bien difficile de s'en débarrasser. Il faut souvent les arracher une à une, mais là aussi, il nous faut de l'aide.
La confiance en soi est une construction progressive et il est normal de trébucher en cours de route. Ce sont ces moments, quand nous arrivons à les dépasser, qui nous rendent plus forts.
Nous avons aussi le droit de ne pas être parfaits, personne ne nous le demande et ce n'est pas un but en soi, loin de là. D'abord, qu'est-ce que la perfection ? Pour ma part, je l'ignore.
N'ayez pas peur de parler de vos doutes, de vos peurs, de vos espoirs aussi. Ouvrez-vous à ceux qui vous entourent, vous serez surpris du soutien que vous pourrez trouver.
L'important, c'est de croire en soi. Certes, on n'y a pas forcément été habitué, bien souvent, on s'est senti rabaissé, mais peu importe l'avis des autres, il faut nous faire confiance, nous sommes dignes d'être aimés, nous avons droit au bonheur et même au succès, et ça, nous ne devons pas l'oublier.
Ghyslaine Gimenes
origine66- Super Tchatcheur
- 16/12/2012
Re: La confiance en soi
Bonjour.
Sans aller jusqu'au cas de le mère pathologiquement toxique, centre et artisan d'une famille dysfonctionnelle, l'injonction à la réussite scolaire a largement semé cette problématique, des 50s jusqu'aux 80s et il en subsiste des traces, ravivées par le modèle de la "performance individuelle" que le capitalisme insuffle depuis les 80s.
Au final, c'est toujours une affaire de volonté de domination, d'emprise, pour justifier des inégalités avant tout sociales.
Autant dire qu'on n'est pas à la veille d'en sortir, collectivement. Alors autant essayer de sauver sa peau, mais pour de bonnes raisons.
On a pu se construire sous l'injonction délirante à la perfection. Dans mon cas, ce n'était pas une demande mais carrément un ordre, une condition préalable justifiant tout (humiliations "humoristiques", négation des besoins émotionnels, hyper responsabilisation des erreurs tout en niant l'autonomie, etc.).SHALE a écrit:Nous avons aussi le droit de ne pas être parfaits, personne ne nous le demande et ce n'est pas un but en soi
Sans aller jusqu'au cas de le mère pathologiquement toxique, centre et artisan d'une famille dysfonctionnelle, l'injonction à la réussite scolaire a largement semé cette problématique, des 50s jusqu'aux 80s et il en subsiste des traces, ravivées par le modèle de la "performance individuelle" que le capitalisme insuffle depuis les 80s.
Au final, c'est toujours une affaire de volonté de domination, d'emprise, pour justifier des inégalités avant tout sociales.
Autant dire qu'on n'est pas à la veille d'en sortir, collectivement. Alors autant essayer de sauver sa peau, mais pour de bonnes raisons.
rur@lcoolique- Super Tchatcheur
- 17/03/2021
Re: La confiance en soi
Chez moi, c’était « quand je faisais quelque chose de bien c’était normal, et quand quelque chose n’était pas bien fait, c’était engueulade ». Du coup, compliqué de me rendre compte encore actuellement quand je fais quelque chose de bien. Et difficile d’avoir une juste valeur de moi.rur@lcoolique a écrit:Bonjour.
On a pu se construire sous l'injonction délirante à la perfection. Dans mon cas, ce n'était pas une demande mais carrément un ordre, une condition préalable justifiant tout (humiliations "humoristiques", négation des besoins émotionnels, hyper responsabilisation des erreurs tout en niant l'autonomie, etc.).
Sans aller jusqu'au cas de le mère pathologiquement toxique, centre et artisan d'une famille dysfonctionnelle, l'injonction à la réussite scolaire a largement semé cette problématique, des 50s jusqu'aux 80s et il en subsiste des traces, ravivées par le modèle de la "performance individuelle" que le capitalisme insuffle depuis les 80s.
Au final, c'est toujours une affaire de volonté de domination, d'emprise, pour justifier des inégalités avant tout sociales.
Autant dire qu'on n'est pas à la veille d'en sortir, collectivement. Alors autant essayer de sauver sa peau, mais pour de bonnes raisons.
Pour l’injonction à la réussite scolaire c’est une calamité. Mon fils a été en échec scolaire du cp à la 3ème, en disant « je ne sais pas comment on peut mettre tout ça dans sa tête, moi j’arrive pas ». Et du coup, il a été lui en échec dans sa vie, pendant longtemps.
Il a eu son permis voiture du premier coup, son permis camion et moto du premier coup. On avait beau lui dire « tes copains passent le permis deux ou trois fois, tu l’as du premier coup », rien ne pouvait le revaloriser. Quand on a été dévalorisé toute son enfance par le système pervers de l’école (entre autre, mais l’école c’est quand même toute la journée) il est très difficile de s‘en remettre. Aujourd’hui il va bien, il est pompier, ça lui va « comme un gant ».
Je remarque que, souvent (pas toujours bien sûr), quand on a trop souffert on se dirige vers des métiers, ou des activités qui sont « dans l’humain ». Et c’est là que l’on peut donner le meilleur de nous même, et en profiter pour guérir beaucoup de choses.
« Autant dire qu'on n'est pas à la veille d'en sortir, collectivement. Alors autant essayer de sauver sa peau, mais pour de bonnes raisons. »
Je pense depuis bien longtemps que « s’en sortir », c’est individuel. Le collectif étant formé d’individus, si ces individus n’ont pas fait un travail essentiel chacun, le collectif sera formé de personnes pleines de problématiques, et ça ne peut donner que donner un cloaque de problèmes.
Un peu la phrase de Gandhi « sois le changement que tu veux voir dans le monde »
Ce qui n’empêche que je crois au collectif dans certaines luttes ; mais pour une société utopiquement harmonieuse, je pense qu’il faut passer par la résolution des problèmes de chaque individu.
origine66- Super Tchatcheur
- 16/12/2012
Re: La confiance en soi
Je suis tout à fait d'accord avec ce que vous dites, c'est hélas une réalité qui est vécue tous les jours par de nombreux enfants qui donneront des adultes mal dans leur peau. Il y en a tant et tant...
SHALE- Admin
- 01/01/2009
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|