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Les usagers comme partenaires de soins en santé mentale.
3 participants
Onsaide, la vie après l'alcool :: Forums principaux :: ENTOURAGE des malades alcooliques-(co dépendance)
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Les usagers comme partenaires de soins en santé mentale.
Les usagers comme partenaires de soins en santé mentale.
October 14, 2018
Un usager est quelqu’un qui, à un moment de son parcours de vie, a été impliqué dans une relation de soins avec un professionnel de la santé mentale, à sa demande ou non.
Aujourd’hui cette définition inclue de fait l’ensemble des aidants identifiés comme tels par le patient,les proches ou les professionnels, qu’ils soient ou non membres de l’entourage familial.
Se donner réellement les moyens de ce partenariat sera pour les professionnels de la santé mentale une révolution :
Passer de l’ère de la défiance et du silence à l’ère de la confiance et de la transparence.
Concrètement, j’ai été tenu à l’écart malgré la légitimité évidente de mon statut d’aidant.
Ce comportement des responsabilités médicales m’a privé de moyens pour exercer mon droit le plus fondamental et le plus cher à mes yeux :
Prendre soin de la femme que j’aime et en ce faisant protéger ma famille. https://www.fh3g.net
October 14, 2018
Un usager est quelqu’un qui, à un moment de son parcours de vie, a été impliqué dans une relation de soins avec un professionnel de la santé mentale, à sa demande ou non.
Aujourd’hui cette définition inclue de fait l’ensemble des aidants identifiés comme tels par le patient,les proches ou les professionnels, qu’ils soient ou non membres de l’entourage familial.
Se donner réellement les moyens de ce partenariat sera pour les professionnels de la santé mentale une révolution :
Passer de l’ère de la défiance et du silence à l’ère de la confiance et de la transparence.
Concrètement, j’ai été tenu à l’écart malgré la légitimité évidente de mon statut d’aidant.
Ce comportement des responsabilités médicales m’a privé de moyens pour exercer mon droit le plus fondamental et le plus cher à mes yeux :
Prendre soin de la femme que j’aime et en ce faisant protéger ma famille. https://www.fh3g.net
Re: Les usagers comme partenaires de soins en santé mentale.
Tu as su pourquoi tu avais été tenu à l'écart ???
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SHALE- Admin
- 01/01/2009
Re: Les usagers comme partenaires de soins en santé mentale.
il n'y a que très peu de centres ou d'hôpitaux qui incluent les conjoints dans les soins et surtout pour les MA. On ne soigne que le MA sans tenir compte du conjoint qui pourrait non seulement aider le MA mais surtout, s'aider lui même en comprenant ce qui lui arrive et ce qu'est cette maladie incompréhensible. Les choses évoluent très lentement mais il y a tout de même quelques centres qui permettent aux conjoints de se joindre aux soins, c'est encore très peu mais je pense que c'est de plus en plus pris en compte.
Mais malheureusement,pour toi,c'est trop tard et c'est bien triste mais ton combat est juste et je suis sure qu'il aboutira
Mais malheureusement,pour toi,c'est trop tard et c'est bien triste mais ton combat est juste et je suis sure qu'il aboutira
cristal- Admin
- 01/01/2009
tenir les proches à l'ecart : une politique institutionnelle
bonjour Shale,
la réponse à ta question est toute simple : ce n'est pas seulement moi qui est été tenu à l' écart mais cela est valable pour tous :
les procédures de l'EPSM de secteur ne prévoient ni réelle évaluation de l'environnement du patient ni réelle orientation des proches vers des structures de soutien et les interfaces avec le médecin traitant ou les autres intervenants qui suivent la famille sont inexistantes ou réduites au strict minimum.
des exemples parmi tant d'autres:
en tout début du parcours inquiet pour ma femme j'ai contacté le CMPS pour savoir si elle s'était bien présentée à son RDV : "nous ne donnons pas ces informations"
la réponse sera toujours la même pour tous tant que le statut d'aidant ne sera pas établi en début de parcours. il est tellement plus simple de s'abriter derrière une politique de stricte confidentialité
Ma rencontre avec le chef de service de l'ensemble des structures d'alcoologie du secteur à son initiative : le seul message qu'il avait à me délivrer : " ne transformer pas vos enfants en sentinelles".
Jamais aucune information à mon intention concernant les traitements délivrés à ma femme. Ils étaient pourtant si lourds que lorsque j'ai présenté une de ses ordonnances à un autre médecin addictologue sa réaction à été de dire : " mais elle n'est pas hospitalisée ?".
j’arrête là mais en analysant les 1000 pages de dossiers médicaux que j'ai récupéré je pourrai entrer dans les détails et entre autres aspects apporter la preuve que je n'était même pas mis au courant des risques encourus.
tu n'as pas répondu à ma question concernant l'article qui défini le co-alcoolisme : qu'en penses-tu ?
la réponse à ta question est toute simple : ce n'est pas seulement moi qui est été tenu à l' écart mais cela est valable pour tous :
les procédures de l'EPSM de secteur ne prévoient ni réelle évaluation de l'environnement du patient ni réelle orientation des proches vers des structures de soutien et les interfaces avec le médecin traitant ou les autres intervenants qui suivent la famille sont inexistantes ou réduites au strict minimum.
des exemples parmi tant d'autres:
en tout début du parcours inquiet pour ma femme j'ai contacté le CMPS pour savoir si elle s'était bien présentée à son RDV : "nous ne donnons pas ces informations"
la réponse sera toujours la même pour tous tant que le statut d'aidant ne sera pas établi en début de parcours. il est tellement plus simple de s'abriter derrière une politique de stricte confidentialité
Ma rencontre avec le chef de service de l'ensemble des structures d'alcoologie du secteur à son initiative : le seul message qu'il avait à me délivrer : " ne transformer pas vos enfants en sentinelles".
Jamais aucune information à mon intention concernant les traitements délivrés à ma femme. Ils étaient pourtant si lourds que lorsque j'ai présenté une de ses ordonnances à un autre médecin addictologue sa réaction à été de dire : " mais elle n'est pas hospitalisée ?".
j’arrête là mais en analysant les 1000 pages de dossiers médicaux que j'ai récupéré je pourrai entrer dans les détails et entre autres aspects apporter la preuve que je n'était même pas mis au courant des risques encourus.
tu n'as pas répondu à ma question concernant l'article qui défini le co-alcoolisme : qu'en penses-tu ?
Re: Les usagers comme partenaires de soins en santé mentale.
Je suis entièrement d'accord avec toi, notamment sur ton article. Ce n'est pas encore demain que les aidants auront un statut, le corps médical a bien trop peur qu'ils s'immiscent dans leurs affaires et qu'ils remettent en cause leurs prescriptions, à mon avis, ça commence tout doucement mais ce n'est pas gagné. Ils ne savent pas encore comment cadrer cette nouvelle fonction qui pour eux est très gênante même si pour les malades , ce serait un gros plus....
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SHALE- Admin
- 01/01/2009
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