lutte contre l’alcool
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La motivation d'arrêter l'alcool et la décision de le faire...
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La motivation d'arrêter l'alcool et la décision de le faire...
Beaucoup de malades alcooliques traversent des moments où ils souhaiteraient arrêter de boire. Si les motivations sont nombreuses , la décision est souvent longue à voir le jour.
Il faut évaluer notre degré de dépendance, ce que nous gagnerons à ne plus boire et souvent consentir à demander de l'aide, car souvent on commence seul et on se rend compte qu'on n'y arrivera jamais tout seul.
Dans la décision d'arrêter l'alcool, il faut trouver le choix du malade concerné, de sa prise de conscience et de la démarche qu'il envisage pour mener ce combat, car il s'agit bien d'un combat..
Avant tout il faut que le malade se rende compte de tout ce que l'alcool lui enlève dans la vie, qu'il prenne conscience de sa dépendance et de tout ce qu'elle implique pour lui.
Ensuite souvent il va se lancer et arrêter seul. Du jour au lendemain. Non seulement c'est dangereux, mais en plus ça ne marchera pas ou très rarement. Là le malade alcoolique se rend compte que c'est un travail énorme qui l'attend pour s'en sortir , il commence souvent à se renseigner sur les mesures d'aide qui existent.
Il fait le tour de tout ce qui existe pour se sortir de l'alcool: CSAPA, groupe de parole, MAB, alcoologue, psy ou une équipe médicale spécialisée en alcoologie dans le cadre d'une cure ou d'une hospitalisation.
Le choix de l'aide et de l'intervenant est primordial. Si ça se passe bien le malade doit trouver une relation de confiance avec les professionnels.
Il va aussi falloir de la persévérance et de l'assiduité pour atteindre le but souhaité, il ne faut pas craindre quelques minis réalcoolisations, souvent inévitables pour relâcher la pression, tout au moins au début. Il faut aussi trouver des personnes qui connaissent bien la maladie alcoolique pour qu'elles puissent expliquer aux malades alcooliques, contre quoi ils vont se battre, la dépendance est très mal connue et pourtant c'est indispensable de savoir comment elle fonctionne pour ne pas rechuter.
Il faut évaluer notre degré de dépendance, ce que nous gagnerons à ne plus boire et souvent consentir à demander de l'aide, car souvent on commence seul et on se rend compte qu'on n'y arrivera jamais tout seul.
Dans la décision d'arrêter l'alcool, il faut trouver le choix du malade concerné, de sa prise de conscience et de la démarche qu'il envisage pour mener ce combat, car il s'agit bien d'un combat..
Avant tout il faut que le malade se rende compte de tout ce que l'alcool lui enlève dans la vie, qu'il prenne conscience de sa dépendance et de tout ce qu'elle implique pour lui.
Ensuite souvent il va se lancer et arrêter seul. Du jour au lendemain. Non seulement c'est dangereux, mais en plus ça ne marchera pas ou très rarement. Là le malade alcoolique se rend compte que c'est un travail énorme qui l'attend pour s'en sortir , il commence souvent à se renseigner sur les mesures d'aide qui existent.
Il fait le tour de tout ce qui existe pour se sortir de l'alcool: CSAPA, groupe de parole, MAB, alcoologue, psy ou une équipe médicale spécialisée en alcoologie dans le cadre d'une cure ou d'une hospitalisation.
Le choix de l'aide et de l'intervenant est primordial. Si ça se passe bien le malade doit trouver une relation de confiance avec les professionnels.
Il va aussi falloir de la persévérance et de l'assiduité pour atteindre le but souhaité, il ne faut pas craindre quelques minis réalcoolisations, souvent inévitables pour relâcher la pression, tout au moins au début. Il faut aussi trouver des personnes qui connaissent bien la maladie alcoolique pour qu'elles puissent expliquer aux malades alcooliques, contre quoi ils vont se battre, la dépendance est très mal connue et pourtant c'est indispensable de savoir comment elle fonctionne pour ne pas rechuter.
SHALE- Admin
- 01/01/2009
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