lutte contre l’alcool
Qui est en ligne ?
Il y a en tout 47 utilisateurs en ligne :: 4 Enregistrés, 0 Invisible et 43 Invités :: 2 Moteurs de rechercheAnn O'Neam, erilyo, Laubinette, tulipe noire
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 265 le Lun 11 Juin 2012 - 17:08
La rechute "sèche" ou "cuite sèche"
Page 1 sur 1
La rechute "sèche" ou "cuite sèche"
Dominique Lucat , Extraits
La rechute sèche, également connue sous le nom de « cuite sèche »ou«
ivresse sèche »
C’est un phénomène encore assez mal connu des milieux médicaux
Elle est assez fréquemment soupçonnée par les famille des malades et par
les MAB
Cette cuite sèche peut arriver aux personnes abstinentes depuis un
certain temps. « C’est comme quand il buvait, « c’est encore pire
qu’avant la cure » ou « il doit reboire en cachette » entend-t-on dans
l’entourage du malade.
En fait, la personne ressent les symptômes de l’ivresse et/ou du manque
sans avoir pour autant consommé une goutte d’alcool !
Au cours de la rechutte sèche, le plus souvent, le malade supporte mal
les soupçons, l’intolérance de son entourage, mais reconnaît sa
nervosité et son mauvais moral. Il comprend difficilement son trouble
fait à la fois d’éléments dépressifs et d’irritabilité Fatigué au
moindre effort , il est capable de violentes colères au moindre
prétexte. Ces rechutes surviennent le plus souvent brutalement, plus
rarement en quelques jours
Aspect clinique de la rechute sèche :
Aspect psychique : nervosité, découragement, besoin de solitude,
hypersensibilité au bruit, à la lumière, isolement,refus de décrocher le
téléphone, etc ….
Aspect physique : céphalée, sudarion nocturne, crampes musculaires,
tremblements, etc…
Aspect physico-psychique : Les troubles associent un malaise
intérieur (anxiété, nervosité, irritabilité) à une souffrance corporelle
(crampes, céphalées, tremblements)
Traitement : Si le malade n’a pas une aide compétente au cours de sa
« rechute sèche », le plus souvent après plusieurs crises,
l’alcoolisation surviendra.
Sur le plan médical, il faut aussitôt consulter un médecin qui prescrira
certains médicaments indispensables à bloquer ce phénomène (Vitamines,
magnésium, s »datifs, stimulant, neurololeptiques, antidépresseurs).
La rechute sèche n’est pas anodine. Pour cette raison, il est essentiel
qu’une personne qui a cessé de boire et qui ressent ces symptômes fasse
appel à une aide extérieure.
La rechute sèche, également connue sous le nom de « cuite sèche »ou«
ivresse sèche »
C’est un phénomène encore assez mal connu des milieux médicaux
Elle est assez fréquemment soupçonnée par les famille des malades et par
les MAB
Cette cuite sèche peut arriver aux personnes abstinentes depuis un
certain temps. « C’est comme quand il buvait, « c’est encore pire
qu’avant la cure » ou « il doit reboire en cachette » entend-t-on dans
l’entourage du malade.
En fait, la personne ressent les symptômes de l’ivresse et/ou du manque
sans avoir pour autant consommé une goutte d’alcool !
Au cours de la rechutte sèche, le plus souvent, le malade supporte mal
les soupçons, l’intolérance de son entourage, mais reconnaît sa
nervosité et son mauvais moral. Il comprend difficilement son trouble
fait à la fois d’éléments dépressifs et d’irritabilité Fatigué au
moindre effort , il est capable de violentes colères au moindre
prétexte. Ces rechutes surviennent le plus souvent brutalement, plus
rarement en quelques jours
Aspect clinique de la rechute sèche :
Aspect psychique : nervosité, découragement, besoin de solitude,
hypersensibilité au bruit, à la lumière, isolement,refus de décrocher le
téléphone, etc ….
Aspect physique : céphalée, sudarion nocturne, crampes musculaires,
tremblements, etc…
Aspect physico-psychique : Les troubles associent un malaise
intérieur (anxiété, nervosité, irritabilité) à une souffrance corporelle
(crampes, céphalées, tremblements)
Traitement : Si le malade n’a pas une aide compétente au cours de sa
« rechute sèche », le plus souvent après plusieurs crises,
l’alcoolisation surviendra.
Sur le plan médical, il faut aussitôt consulter un médecin qui prescrira
certains médicaments indispensables à bloquer ce phénomène (Vitamines,
magnésium, s »datifs, stimulant, neurololeptiques, antidépresseurs).
La rechute sèche n’est pas anodine. Pour cette raison, il est essentiel
qu’une personne qui a cessé de boire et qui ressent ces symptômes fasse
appel à une aide extérieure.
Jeannot- Assidu
- 19/11/2009
Sujets similaires
» La cuite sèche
» Première cuite sèche
» Fo que je vous parle d un type......... un type bien, y mfais mal au coeur, pire.
» La rechute sèche
» la rechute sèche
» Première cuite sèche
» Fo que je vous parle d un type......... un type bien, y mfais mal au coeur, pire.
» La rechute sèche
» la rechute sèche
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|